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King Crimson › Live at Plymouth 1971

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kaplan      samedi 19 mars 2011 - 12:14
Progmonster      jeudi 19 décembre 2002 - 10:55

11 titres - 95:29 min

  • 1/ Cirkus (10:08)
  • 2/ Pictures of a City (8:53)
  • 3/ The Sailor's Tale (15:32)
  • 4/ The Letters (4:48)
  • 5/ Lady of The Dancing Water (2:52)
  • 6/ Cadence and Cascade (4:26)
  • 7/ Get Thy Bearings (13:24)
  • 8/ In The Court of The Crimson King (8:09)
  • 9/ Ladies of The Road (9:05)
  • 10/ 21st Century Schizoid Man (8:58)
  • 11/ Mars (9:14)

informations

Plymouth Guildhall, Angleterre, 11 mai 1971

line up

Boz Burrell (basse, chant), Mel Collins (saxophone, flûte, mellotron), Robert Fripp (guitare, mellotron), Peter Sinfield (VCS3), Ian Wallace (batterie, chœurs)

chronique

Adjoint aux sessions du "Summit Studio" et aux performances éprouvées sur le "Live in Detroit, 1971" à venir, ce "Live in Plymouth, 1971" constitue la source première qui alimentera le double live officiel "Ladies of the Road" à paraître fin 2002. Grâce au King Crimson Collector's Club, cette deuxième mouture du groupe à arpenter les planches gagne enfin ses galons, et par la même occasion une reconnaissance plus vaste et méritée. Elle eut le seul tort d'être intercalée entre la formation d'origine, puissante, inventive et en avance sur son temps, et celle de 1973-1974 où siégeront des gens prestigieux comme Bill Bruford ou John Wetton. Certes, il y a très peu de rebuts dans le chef de la prise de son, bien que certaines parties manquantes ont nécessité l'utilisation de bandes de moins bonne qualité pour colmater les brèches (sur "Get Thy Bearings"), mais quelques points viennent obscurcir le tableau quand on se permet, comme moi, de faire la fine bouche (c'est ça aussi être critique). À présent relativement bien documentée, cette période peut faire l'objet de comparatifs. En dépit de sa piètre qualité, "Live at Jacksonville" reste insurpassable au niveau de l'intensité de l'interprétation, ceci couplé à un répertoire intelligemment choisi. "Live at Summit Studios" bénéficie quant à lui d'une excellente prise de son et s'avère satisfaisant en bien des points, notamment au niveau de ses tentatives post bop assumées et quelques surprises non négligeables. Le présent disque est lui un peu longuet et ne propose pas de versions nécessairement diamétralement différentes de ce qui nous a été donné d'écouter jusqu'ici. Seul "The Sailor's Tale" s'écarte de sa version d'origine, tentative aventureuse et alternative suffisamment intéressante que pour en motiver l'acquisition mais on lui préférera toujours la version dite classique. Et puis il y a le VCS3, ce synthétiseur (abominable) utilisé à tort et à travers par Pete Sinfield pour inonder d'effets souvent inadéquats les parties chantées de Boz Burell ou les solos de Mel Collins. Un détail qui a son importance.

note       Publiée le jeudi 19 décembre 2002

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