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King Crimson › The night watch - live at the Amsterdam Concertgebouw

12 titres - 84:39 min

  • 1/ Easy Money (6:15)
  • 2/ Lament (4:14)
  • 3/ Book of saturday (4:08)
  • 4/ Fracture (11:28)
  • 5/ The night watch (5:27)
  • 6/ Imrov : Starless and bible black (9:13)
  • 7/ Improv : Trio (6:09)
  • 8/ Exiles (6:37)
  • 9/ Improv : The fright watch (6:03)
  • 10/ The talking drum (6:34)
  • 11/ Larks' tongues in aspic part two (7:51)
  • 12/ 21st century schizoid man (10:40)

informations

Concertgebouw, Amsterdam, Hollande, 23 novembre 1973

line up

Bill Bruford (batterie, percussions), David Cross (violon, mellotron), Robert Fripp (guitare, mellotron), John Wetton (basse, chant)

chronique

Si vous possédez "The Great Deceiver", vous n'avez pas besoin de ce nouveau témoignage posthume déterré des profondeurs de l'oubli. Si vous n'avez pas aimé "Starless and Bible Black", laissez-moi exprimer mon étonnement si jamais vous veniez à trouver ce double CD fantastique ! Sachez que celui-ci restitue l'intégralité du concert d'Amsterdam duquel ont été extraits en leur temps quelques uns des titres qui agrémentèrent alors le disque précité (il s'agit essentiellement de l'improvisation qui donnera son nom au disque ou le superbe Trio). The Nightwatch nous propose donc d'écouter ces titres tels que joués à l'origine et la magie opère toujours ; on continue de s'émerveiller de l'incroyable alchimie qui liait tout un temps ces diables d'hommes. Fracture, Starless and Bible Black, Trio atteignent une espèce de perfection difficilement imaginable dans le contexte d'un concert. Je crois personnellement qu'entre 1973 et 1974 il ne devait pas y avoir beaucoup de groupes à la surface de la Terre capable de rivaliser sur scène avec cette incarnation du roi pourpre. En définitive, The Night Watch sera un compagnon idéal pour qui désire, à moindre frais, avoir un premier contact avec la musique développée alors par cette formation. Mais comme je le disais plus haut, même s'il n'est pas repris dans celui-ci, ce n'est pas de si tôt qu'une publication live de cette période pourra égaler le monolithique box 4 CD "The Great Deceiver", paru en 1992. Sauf, peut-être, une nouvelle version 6 CD... voire plus.

note       Publiée le jeudi 6 décembre 2001

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    commentaires

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    Dioneo Envoyez un message privé àDioneo
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    Tout simplement et littéralement "salle de concert d'Amsterdam", apparemment... Ça flirte avec le délire, une imagination pareille !

    Message édité le 25-11-2023 à 19:17 par dioneo

    Dun23 Envoyez un message privé àDun23

    Oui parce que bon, même les paysbassiens écrivent Amsterdam, par contre concertgebouw, dans leur langue de sauvages amateur de fromages au lait cuit et de cigarette qui fait rire, c'est plausible.

    Message édité le 25-11-2023 à 19:07 par dun23

    Dioneo Envoyez un message privé àDioneo
    avatar

    Ameustèreudameu, même, c'est le côté intrinsèquement méridional de Proggy, ça, qui est revenu au galop... (Non mais corrigé, merci de l'avoir signalé !)

    Dun23 Envoyez un message privé àDun23

    C'est moi où c'est écrit amesterdam dans le titre de l'album?

    Nicko Envoyez un message privé àNicko  Nicko est en ligne !
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    50 ans jour pour jour de ce fameux concert !!

    Note donnée au disque :