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King Crimson › Heavy construKction

30 titres - 184:09 min

  • 1/ Into the frying pan (6:20) - 2/ The construKction of light (8:29) - 3/ ProzaKc blues (5:25) - 4/ Improv : Munchen (8:35) - 5/ One time (5:44) - 6/ Dinosaur (5:24) - 7/ Vrooom (4:44) - 8/ FraKctured (8:46) - 9/ The world's my oyster soup kitchen floor wax museum (7:38) - 10/ Improv : Bonn (9:22) - 11/ Sex sleep eat drink dream (4:30) - 12/ Improv : Offenbach (6:30) - 13/ Cage (3:54) - 14/ Larks' tongues in aspic part four (12:51) - 15/ Three of a perfect pair (3:42) - 16/ The deception of the thrush (8:26) - 17/ Heroes (6:11) - 18/ Sapir (5:40) - 19/ Blastic rhino (4:13) - 20/ Lights please part 1 (0:56) - 21/ cccSeizurecc (6:02) - 22/ Off and back (4:11) - 23/ More and less (3:13) - 24/ Beautiful rainbow (6:59) - 25/ 7 teas (4:07) - 26/ Tomorrow never knows thela (4:49) - 27/ Uböö (7:59) - 28/ The deception of the thrush (11:10) - 29/ Arena of terror (3:24) - 30/ Lights please part 2 (4:55)

informations

Enregistré lors de la tournée Européenne 2000

line up

Adrian Belew (guitare, chant), Robert Fripp (guitare), Trey Gunn (touch guitar), Pat Mastelotto (batterie)

chronique

Veillant depuis dix ans déjà à la destinée de son propre label, Discipline Global Mobile, Robert Fripp a cru bon de parier sur un élégant compromis pour le premier témoignage en concert du nouveau quatuor qu'il compose avec Adrian Belew, Trey Gunn et Pat Mastelotto. Les deux premiers disques font la part belle aux titres de "The ConstruKction of Light" mais ceux-ci, en dépit des efforts consentis et l'aspect moins plat et rébarbatif plombé par une batterie électronique sans âme, révèlent malheureusement leur pauvreté imaginative et ne tiennent pas la route face à leur répertoire passé qui est boudé ici pour des raisons plus qu'évidentes. Le deuxième disque propose une session vidéo sur PC de plus d'une demi heure qui permettra au moins d'essayer de se familiariser avec la technique inhumaine qu'exerce Robert Fripp sur son manche. Pour ceux qui ne le savent pas encore, le code d'accès à cette vidéo est : rome. Le troisième disque a la lourde tâche d'essayer de sauver les meubles avec une collection d'improvisations, répondant ainsi à la fois aux demandes de ceux qui veulent entendre un King Crimson plus aventureux, par opposition au profil consensuel qu'il arbore aujourd'hui. Néanmoins, aucune de ces incartades en territoire abstrait n'arrive au niveau des "ProjeKcts". Difficile à digérer tout de même qu'un groupe s'étant toujours montré inflexible tente de proposer aujourd'hui des produits à même de satisfaire tutti quanti. À l'heure où on attend un nouvel album du groupe pour 2002, on a le droit de se poser la question de savoir si l'heure n'est pas venue de tourner définitivement la page avant que son futur ne persiste à souiller un passé si glorieux...

note       Publiée le jeudi 6 décembre 2001

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Note moyenne        9 votes

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Nicko Envoyez un message privé àNicko
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Un peu rude et indigeste... Le son des années 90 de King Crimson est quand même bien plat et sans âme. C'est froid et chiant. Les titres de "Thrak" ne passent pas trop mal, mais qu'on est loin du génie des années 70 ! C'est vraiment la période la moins intéressante de King Crimson ici. On a certes une pelleté d'improvisations, le groupe explore, mais l'atmosphère générale est mauvaise.

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LANARPHABETE Envoyez un message privé àLANARPHABETE
Ouais, d'accord, on est loin de la grande époque du Crimso, et c'est un peu trop synthétique tout celà, mais j'ai beaucoup de mal à tirer sur l'ambulance Fripp/Crimson. Ma première impression en écoutant le triple album était somme toute mitigée, peut-être en raison de l'"épaisseur" de l'objet. Il n'empêche que je me sui rendu compte au bout de trois ou quatre écoutes que de nouveau j'étais blousé et conquis. Allez comprendre ! C'est à chaque fois pareil, je tombe dans le piège.. Moi ce et ceux que je regrette ce sont Levin et Brufford qui permettaient à eux deux d'échapper à cette surenchère de technique qui parfois, je l'avoue, dénature le son. Mais bon, j'ai voté et c'est un 5 (quoique j'aurais du mettre un 4..)
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summicron Envoyez un message privé àsummicron
Pour les amateurs ce triple CD est un chef d'oeuvre total. Ces morceaux choisis de la tournée en Europe montrent une nouvelle voix pour KC et annonce la fulgurante tournée en 2001 qui a donné, rappelons, l'excellente publication de Level 5. Ce triple live brille par son premier CD avec une improvisation "Munchen", tout simplement époustouflante... Magnifique receuil live, que je pense tout les Krimheads applaudiront au même titre que le receuil Absent Lover ou The Great Deceiver. En live, KC fait la différence avec le reste...
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aur Envoyez un message privé àaur
Irritant, car trop synthétique : de la branlette high tech !!!
fracture Envoyez un message privé àfracture
Même avis que jeanbal et même commentaire que pour ConstruKction of Light. bon, soit dit entre nous, il est conseillé de ne pas "avaler" les 3 CD d'un coup ;-)) 5/6
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