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Frank Zappa › You can't do that on stage anymore (Volume 1)

  • 1995 • Rykodisc RCD 10561/62 • 2 CD

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Membre Note Date
kranakov      jeudi 7 février 2013 - 12:47
dju21      lundi 7 février 2005 - 16:19
Progmonster      jeudi 16 mai 2002 - 17:26

cd1 • 14 titres

  • 1The Florida Airport Tape1:03
  • 2Once upon a Time4:37)
  • 3Sofa No.12:53
  • 4The Mammy Anthem5:41
  • 5You Didn't Try to Call Me3:39)
  • 6Diseases of the Band2:22)
  • 7Tryin' to Grow a Chin3:44
  • 8Let's Make the Water Turn Black, Harry You're a Beast3:27
  • 9The Groupie Routine5:41)
  • 10Ruthie Ruthie2:57
  • 11Babbette3:35)
  • 12I'm the Slime3:13
  • 13Big Swifty8:46
  • 14Don't Eat the Yellow Snow20:16

cd2 • 14 titres

  • 1Plastic People4:38
  • 2The Torture Never Stops15:48
  • 3Fine Girl2:55)
  • 4Zomby Woof5:39
  • 5Sweet Leilani2:39
  • 6Oh No4:34
  • 7Be in My Video3:29
  • 8The Deathless Horsie5:29
  • 9The Dangerous Kitchen1:49
  • 10Dumb All Over4:20
  • 11Heavenly Bank Account4:05
  • 12Suicide Chump4:55
  • 13Tell Me You Love Me2:09
  • 14Sofa No.23:00

informations

Florilège des performances publiques des Mothers of Invention, de 1968 à 1984

line up

Frank Zappa (guitare, chant), et ses différentes versions des Mothers of Invention

chronique

Parallèlement à sa dernière tournée, à l'ambition clairement affichée d'influencer l'électorat américain, et la réédition de l'intégralité de son catalogue supervisée par ses propres soins, Frank Zappa se lance dans un autre projet colossal, à la mesure de sa démesure : mettre à jour la montagne d'archives des concerts des Mothers of Invention qu'il possède depuis leurs origines. Cette série de six doubles compact disques, emplis jusqu'à plus soif, vont se retrouver sous le bannière générique de "You Can't Do That On Stage Anymore" ("Plus possible de refaire ça sur scène"). Le premier volume de cette imposante collection paraît en 1988, précédé d'un sampler pour jauger l'intérêt du public pour la chose. La réponse ne se fait pas longtemps attendre… Sélectionnés pour la qualité de leur prestation, leur aspect inédit ou leur valeur historique, les titres sont enchaînés sans ordre chronologique apparent et définissent la volonté de Zappa de faire de sa carrière une œuvre entière, les morceaux de 1968 se fondant dans d'autres de 1984, et ceux-ci côtoyant des extraits issus des concerts de 1978, tout cela dans une symbiose totale, qui ne fait que confirmer le bien-fondé de l'entreprise. Notre homme y va de son petit commentaire sarcastique pour chacune des plages présentées, nous aidant parfois à mieux nous replonger dans le contexte (comme sur "Disease of the Band", par exemple). Des six volumes à paraître, celui-ci est, sans conteste, le plus éclectique ; il fait aussi un fameux détour par des interprétations essentielles de quelques unes des pièces clés du répertoire de Zappa, comme "Let's Make the Water Turn Black", "Don't Eat The Yellow Snow" ou "Big Swifty".

note       Publiée le jeudi 25 avril 2002

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    Dun23 Envoyez un message privé àDun23

    Zappa in New York, t'enfiler tu dois!

    boumbastik Envoyez un message privé àboumbastik

    Cool ce truc. Ma porte d'entrée à l'oeuvre protéiforme et pharaonique du bonhomme ?

    kranakov Envoyez un message privé àkranakov

    Splendide compilation, certes très orientée chansons, mais pourvue de pièces maîtresses du domaine dont "Don't Eat That Yellow Snow" (soit les quatre premiers morceaux de "APOSTROPHE (')" avec un final inédit et une participation "spontanée du public" et un "The Torture Never Stops" jubilatoire. Quasi-indispensable !

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