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Uriah Heep › Wonderworld

cd • 9 titres • 37:40 min

  • 1Wonderworld04:29
  • 2Suicidal man03:38
  • 3The shadows and the wind04:27
  • 4So tired03:39
  • 5The easy road02:43
  • 6Something or nothing02:56
  • 7I won't mind05:59
  • 8We got we03:39
  • 9Dreams06:10

informations

Enregistré aux Musicland Studios de Munich entre janvier et mars 1974

line up

Lee Kerslake (batterie, chant), David Byron (chant), Mick Box (guitares), Gary Thain (basse), Ken Hensley (claviers, guitares, synthés, chant)

chronique

Uriah Heep continue sur sa lancée et sur le même rythme. Moins d'un an après son prédécesseur, "Sweet freedom", voici que déboule en cette année 1974 "Wonderworld". Alors même si les morceaux possèdent des durées conventionnelles, on sent ici un petit retour à du rock progressif de leurs albums les plus emblématiques, comme sur "Wonderworld" ou le final "Dreams" (avec un petit clin d’œil à "Sweet freedom" sur ce dernier titre), avec toujours cette atmosphère éthérée, aérienne via ce claviers proche de Deep Purple. Dans un style plus rentre-dedans, on a "Suicidal man" et surtout "So tired" très purplelesque ! Les compositions sont aussi dans leur globalité plus lentes, en laissant bien les atmosphères se mettre en place. Et même si ici, il n'y a pas vraiment de titres emblématiques de la formation, il n'y a pas de mauvais morceaux. L'album est vraiment homogène tout en étant varié. C'est ce qui m'impressionne chez ce groupe, c'est leur rendement et en même temps, la qualité de leur inspiration dans des styles différents, progressif, mélancolique, hard rock, toujours avec des mélodies imparables. Et tout ça en restant homogène ! On a des brûlots de hard rock ("Something or nothing" - véritable hit dans le genre d'"Easy living") qui s'enchaînent à des morceaux plus posés et limite dansants comme "The shadow and the wind" ou "The easy road" incluant un orchestre (avec un p'tit côté Alice Cooper période "Lace & whiskey" ici). Encore une fois, on se dit qu'Uriah Heep possède vraiment un réel talent avec un album solide, intéressant et inspiré. Sans faire partie des incontournables de la formation, ce "Wonderworld" reste une valeur sûre de leur discographie !

note       Publiée le mercredi 25 avril 2018

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zugal21 Envoyez un message privé àzugal21

Omniprésente, d'ailleurs, cette basse

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Nicko Envoyez un message privé àNicko
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C'est exactement ça, il a joué avec Hendrix à la fin des années 60 ! C'est son dernier album avec Uriah Heep avant qu'il ne soit remplacé par Wetton (ex-King Crimson). Et il décédera peu de temps après... à 27 ans ! ;)

Et oui, pour revenir à l'album, je pense qu'il doit bien s'accompagner de quelques fumées bien choisies... ;)

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zugal21 Envoyez un message privé àzugal21

Excellent album, avec certains titres assez propices à certaines fumées, notamment le titre éponyme. Sinon, Thain, le bassiste de l'époque, jouait hyper bien ; il rejoignit plus tard le club des 27 ; il avait je crois joué avec Hendrix à ses moments perdus

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