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Yes › The Yes Album
- 2001 • Atlantic AMCY-6282 • 1 CD
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Membre | Note | Date |
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Ramon | lundi 8 juillet 2013 - 12:48 | |
franmart | mardi 7 juin 2011 - 09:51 | |
Guy Liguili | mercredi 23 juillet 2008 - 20:06 | |
NevrOp4th | dimanche 2 septembre 2007 - 18:17 | |
Khyber | lundi 19 juin 2006 - 19:03 | |
Aladdin_Sane | vendredi 7 avril 2023 - 20:55 | |
Ultimex | jeudi 19 mai 2022 - 14:49 | |
gregdu62 | lundi 2 mai 2022 - 11:26 | |
SEN | mardi 18 janvier 2022 - 19:08 | |
EyeLovya | mercredi 26 août 2020 - 22:49 | |
GuyLiguili | jeudi 20 février 2020 - 08:43 | |
Nicko | vendredi 15 mai 2015 - 20:19 | |
Jean Pierre Moko | samedi 27 décembre 2014 - 15:32 | |
Eridan | lundi 6 octobre 2014 - 12:37 | |
eridan99 | vendredi 26 septembre 2014 - 12:57 | |
Jean Rhume | mardi 14 août 2012 - 16:05 | |
HGBDC | lundi 18 janvier 2010 - 22:24 | |
Dun23 | mardi 9 juin 2009 - 22:55 | |
Johnny Jewel | mercredi 29 avril 2009 - 23:54 | |
ellington | vendredi 3 avril 2009 - 16:00 | |
prog | jeudi 9 juin 2005 - 00:21 | |
Brainback | samedi 14 mai 2005 - 10:45 | |
sergent_BUCK | samedi 1 novembre 2003 - 13:51 | |
fracture | mardi 27 mai 2003 - 13:51 | |
torquemada | lundi 2 septembre 2002 - 15:21 | |
Progmonster | - : | |
julius_manes | mercredi 16 février 2011 - 07:49 | |
sog | lundi 5 juillet 2010 - 19:19 | |
mercebel | dimanche 13 décembre 2009 - 23:45 | |
Deadinside | jeudi 9 juin 2005 - 17:00 | |
dju21 | mercredi 13 août 2003 - 01:46 | |
taliesin | lundi 20 janvier 2003 - 08:52 | |
COLDSTAR | samedi 2 juin 2007 - 02:04 | |
passage | mardi 30 décembre 2003 - 13:03 | |
Charisman | mercredi 26 novembre 2003 - 12:49 | |
Seijitsu | mardi 14 août 2012 - 14:51 | |
cyprine | dimanche 23 août 2009 - 09:46 |
lp vinyle • 6 titres • 40:56 min
- face a
- 1Yours is no disgrace9:26
- 2The clap3:07
- 3Starship trooper9:23 [Life Seeker] [Disillusion]
- face b
- 4I've seen all good people6:47 [Your Move] [All Good People]
- 5A venture3:13
- 6Perpetual change9:50
informations
Advision studio, Londres, Angleterre, automne 1970
Il s'agit du pressage cartonné japonais à tirage limité
line up
Jon Anderson (chant), Bill Bruford (batterie), Steve Howe (guitare, chant), Tony Kaye (claviers), Chris Squire (basse, chant)
chronique
Difficile à dire si le départ de Peter Banks (rejoint bientôt par Tony Kaye avec qui il réalisera deux albums pour le compte de Flash), pourtant loin d'être un guitariste déméritant, et la venue de Steve Howe en remplacement est à la source de cette transformation. Car transformation il y a. Yes s'ouvre enfin à des horizons qu'il va être le premier à explorer. Ce changement de personnel coïncide avec le premier album où Yes tente, enfin, de créer son propre langage, raison, sans doute, pour laquelle le titre de l'album est si explicite. Certaines plages prennent du coffre, lorgnant vers les dix minutes ("Yours is no Disgrace"), mais au-delà des longueurs, nécessaires ou utiles selon la sensibilité de chacun, ce qui frappe, c'est l'insolente réussite du groupe qui parvient à graver six titres aux mélodies imparables gorgées de constructions riches et complexes qui ne donnent qu'une envie à l'auditeur ; celle de s'y replonger encore et encore. Après "Time and a Word" et sa tentative à moitié ratée de s'adjoindre un orchestre symphonique, Yes invite encore les dernières techniques studio pour façonner un univers où tout semble possible, où tout reste à inventer. De plus, la production est excellente et, en comparaison, est de loin beaucoup plus nerveuse que la suite de leurs aventures fantastiques. Inoubliable ce "Starship Trooper" et son coda à l'incroyable intensité. Superbe ce "I've Seen All Good People", hommage appuyé aux Beatles (les mélodies, les textes) et où Jon Anderson semble avoir trouvé pour la première fois la manière idéale et définitive d'exploiter au mieux tout le formidable potentiel de sa voix. Emballant enfin ce "Perpetual Change" où Eddie Offord, leur producteur désormais attitré, s'amuse à tirer profit au maximum de l'effet stéréo en balançant l'enregistrement sur un canal pour lui juxtaposer sur l'autre un enregistrement différent, où le groupe s'essaye à une autre rythmique, aboutissant à un résultat ludique, dense et détonnant, et loin d'être cacophonique. La légende de Yes commence ici.
note Publiée le jeudi 3 janvier 2002
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- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé àAladdin_Sane
Bah moi, le coda de The Starship Trooper, il me fait toujours autant d'effet.
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- Ramon › Envoyez un message privé àRamon
YES!!!!
- Note donnée au disque :
- NevrOp4th › Envoyez un message privé àNevrOp4th
Paix et amour.
- Note donnée au disque :
- docteur.justice › Envoyez un message privé àdocteur.justice
rien que pour la partie dee guitare de your is no disgrace (tout sauf have you seen indigeste festif)
- Seijitsu › Envoyez un message privé àSeijitsu
Ah ouais Big Generator, sa pochette horrible et sa réputation donne pas envie de s'y mettre... Mais pour le coup, c'est du subjectif pur jus oui, je ne comprends pas non plus pourquoi je bloque sur celui là mais bon.
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