Vous êtes ici › Les groupes / artistesGGenesis › We can't dance

Genesis › We can't dance

  • 1999 • Virgin VJCP-68109 • 1 CD

détail des votes

Membre Note Date
Aiwass      jeudi 31 août 2006 - 04:17
Crimson      mercredi 19 juillet 2006 - 16:18
Metallicum      jeudi 23 mars 2006 - 20:17
Lady_Bathory      vendredi 29 juillet 2005 - 20:09
Walter Smoke      mardi 16 décembre 2014 - 05:33
Lord Sébastyén      dimanche 17 octobre 2010 - 21:32
Logosman      dimanche 29 juillet 2007 - 14:49
Jack_Torrance      mardi 10 octobre 2006 - 10:37
Eskhaton      samedi 10 juillet 2004 - 23:46
Moonloop      lundi 28 juillet 2008 - 15:22
LANARPHABETE      mercredi 10 mai 2006 - 20:54
Trimalcion      mercredi 28 septembre 2005 - 17:20
PLF      lundi 23 avril 2007 - 01:20
heirophant      dimanche 20 novembre 2005 - 23:49
torquemada      jeudi 4 juillet 2002 - 11:25
Progmonster      jeudi 4 juillet 2002 - 11:09
PechMayneau      jeudi 25 juin 2015 - 21:54
Ramon      lundi 8 juillet 2013 - 12:28
JC93      vendredi 30 juin 2006 - 14:04
muffinman      mardi 20 juin 2006 - 15:22
docteur.justice      mardi 17 janvier 2006 - 10:50
gregdu62      mardi 13 décembre 2005 - 10:21
Dan le Sale      dimanche 6 octobre 2002 - 23:15
passage      jeudi 4 juillet 2002 - 11:27

12 titres - 71:23 min

  • 1/ No Son of Mine (6:39)
  • 2/ Jesus He Knows Me (4:16)
  • 3/ Driving the Last Spike (10:08)
  • 4/ I Can't Dance (4:01)
  • 5/ Never a Time (3:50)
  • 6/ Dreaming While You Sleep (7:16)
  • 7/ Tell Me Why (4:58)
  • 8/ Living Forever (5:41)
  • 9/ Hold on My Heart (4:37)
  • 10/ Way of the World (5:39)
  • 11/ Since I Lost You (4:09)
  • 12/ Fading Lights (10:17)

informations

The Farm, Surrey, Angleterre, 1990-1991

Il s'agit du pressage cartonné japonais à tirage limité

line up

Tony Banks (claviers, chœurs), Phil Collins (batterie, percussions, chant), Mike Rutherford (guitares, basse, chœurs)

chronique

La stature imposante de ce Genesis transfiguré ne pouvait l'amener qu'à l'implosion pure et simple. Pourtant, soutenu par une énorme tournée mondiale, le groupe du trio Banks/Collins/Rutherford réalise encore un carton. Le recrutement de Nick Davis (Marillion) au poste de producteur permettra un retour à un son plus acoustique, mais il s'agit là d'un moindre mal. Le principal défaut de ce "We Can't Dance" est sa longueur : 71 minutes et une quantité impressionante de titres dispensables. Parmi ceux-ci, on pointera "Tell Me Why" et "Way of The World", inspirés par la soudaine prise de conscience d'un Collins multi-milliardaire, qui s'émeut désormais des sans-abris, et qui s'occupe de récolter à leur place des fonds supplémentaires dans des chansons exploitant le filon du misérabilisme. Pour contenter la horde de fans qui pleurent plus que jamais la disparition de l'âme progressive du groupe, Genesis nous balance trois longues pièces, aussi poussives les unes que les autres ("Driving the Last Spike", "Dreaming While You Sleep" et "Fading Lights" dont l'atmosphère nocturne est littéralement pompée au groupe The Blue Nile). Seul, "Living Forever" se démarque du reste de la production, coincé dans des tentatives réussies de faire perdurer le succès avec des ersatz de leurs tubes passés ("No Son of Mine" pour "Mama", "Jesus He Know Me" pour "Anything She Does", "I Can't Dance" pour "Land of Confusion" et "Hold On My Heart" pour "In Too Deep"). Genesis est devenu une machine bien plus lourde à manier que celle qui effraya déjà en son temps Peter Gabriel, et qui le poussa à tout abandonner. Phil Collins aura ce même sursaut. On peut juste déplorer qu'une décision aussi sage n'ait pu être prise (beaucoup) plus tôt.

note       Publiée le jeudi 4 juillet 2002

dernières écoutes

    Connectez-vous pour signaler que vous écoutez "We can't dance" en ce moment.

    tags

    Connectez-vous pour ajouter un tag sur "We can't dance".

    notes

    Note moyenne        24 votes

    Connectez-vous ajouter une note sur "We can't dance".

    commentaires

    Connectez-vous pour ajouter un commentaire sur "We can't dance".

    Walter Smoke Envoyez un message privé àWalter Smoke

    Pour être franc, le principal problème de We Can't Dance, c'est sa longueur. Plus de septante minutes, c'est beaucoup trop (déjà que dans le pop-rock, un skeud de plus de 50 minutes, j'ai de plus en plus de mal avec - et c'est là l'un des deux seuls points positifs des vinyles, les artistes étaient bridés à l'époque). Il y a aussi du navet, comme le moralisateur "Tell me Why" - dans la même veine, "Another Day in Paradise" était plus pertinent - ou le chiantissime "Never a Time".
    Du reste, il n'y a que du tout bon. Je retiens en particulier les quatre premières chansons plus "Dreaming while you're sleep", soit les preuves que Genesis a toujours été un grand groupe doué.

    Note donnée au disque :       
    Ramon Envoyez un message privé àRamon

    Non, non, non et encore NON !!!!

    Note donnée au disque :       
    ricccco Envoyez un message privé àricccco

    affreux, et pas faute de l'avoir écouté, ma collègue me le mettait toute la journée quand il est sorti beurk !

    Lord Sébastyén Envoyez un message privé àLord Sébastyén

    Certes il sonne commercial et ce n'est pas leur meilleur... mais il y a "dreaming while you sleep". Ce morceau m'a touché quand j'avais 12 ou 13 ans (bref à sa sortie) et il me touche toujours autant. Un album que j'apprécie car il me rappelle des souvenirs... Et puis, même si les compos sont beaucoup plus faciles qu'avant, l'ensemble s'écoute agréablement, je dirais même avec plaisir... Un petit 4 pour moi.

    Note donnée au disque :       
    Logosman Envoyez un message privé àLogosman
    Lol, je m'attendais presque à cette réponse et je dois avouer que quand des mélodies sont sympas et bien commerciales, j'y adhère un peu naïvement. Donc merci torquemada, j'avoue que je dois avoir aussi des goûts de chiottes.
    Note donnée au disque :