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The Farm, Surrey, Angleterre, 1985-1986
Tony Banks (claviers, chœurs), Phil Collins (batterie, percussions, chant), Mike Rutherford (guitares, basse, chœurs)
Il s'agit du pressage cartonné japonais à tirage limité
Huit titres, six tubes. Faites le calcul. Les prétentions artistiques du groupe qui nous avait desservi autrefois quelques solides albums tels que "Foxtrot" ou "Wind & Wuthering" ont définitivement quitté le navire. Les percussions électroniques figent à jamais ce disque dans un espace-temps qu'on aimerait vite oublier, et ce ne sont pas l'atmosphérique "Tonight, Tonight, Tonight" ou l'instrumental "The Brazilian" qui arriveront à racheter cet essai. Avec cet album, Genesis devient énorme, mais aussi plus que jamais insupportable. Le seul mérite qu'on peut peut-être lui conférer est d'avoir été fédérateur, et suffisament motivant que pour pousser quelques curieux (dont votre humble serviteur) à aller piocher dans leur passé pour y déceler les pépites que l'on sait. N'empêche, le titre de l'album résume très bien à lui seul leur nouvelle philosophie : devenir transparent.
note Publiée le jeudi 4 juillet 2002
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Il fait ici son effet 5 boules si pas écouté trop trop souvent .
Coupable de quoi ?
Même pas honte. Je l'aime bien cet album putassier années 80, pour son tube imparable ("Land of confusion" et son clip génial), ses relents prog ("Domino" et sa deuxième électro) et même son petit instrumental final ("The Brazilian", merci Tony Banks). Un vrai plaisir coupable.
Un de mes Genesis préféré et je n'ai pas honte ^^ ça me rappelle tellement de choses ! toujours aussi péchu et réjouissant :-)
Pour ma part, je connaissais seulement Abacab, à l'époque. Et "Mama" en single. Je dois avouer que c'est le "cassage", cette note donnée à celui-ci, qui m'a mené à écouter un triple best of il n'y a pas si longtemps, et à choper du Genesis-Phil Collins ensuite, format albums. Celui-ci, acheté puis écouté de près quelques petites fois, me ravit. A l'époque où ça passait en tubes à la radio, j'écoutais très peu la radio. Du coup tout ceci sonne neuf à mes oreilles, et fort réjouissant aussi.