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The Young Gods › L'eau rouge
- 1988 • Play it again sam BIAS 130 cd • 1 CD
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Membre | Note | Date |
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Klozer | lundi 30 novembre 2020 - 22:52 | |
Raven | mardi 20 septembre 2016 - 08:43 | |
sergent_BUCK | lundi 22 décembre 2014 - 02:25 | |
necromoonutopia666 | mercredi 27 novembre 2013 - 21:33 | |
Harry Dickson | mercredi 26 juin 2013 - 20:42 | |
Eliphas | mercredi 1 décembre 2010 - 11:48 | |
Dioneo | vendredi 9 juillet 2010 - 13:40 | |
Jacques Capelovici | mercredi 5 novembre 2008 - 23:03 | |
asdrubal | vendredi 13 avril 2007 - 20:14 | |
Bernard | vendredi 23 juillet 2004 - 14:53 | |
taliesin | vendredi 16 mai 2003 - 07:47 | |
cyberghost | vendredi 16 mai 2003 - 01:12 | |
Les.Mondes.Gothiques | mercredi 14 mai 2003 - 20:08 | |
bubble | mercredi 14 mai 2003 - 12:22 | |
asharak | vendredi 1 mars 2024 - 20:58 | |
Ultimex | mercredi 8 juin 2022 - 11:33 | |
floserber | mercredi 29 janvier 2014 - 06:36 | |
Kobahlt | jeudi 13 janvier 2011 - 21:32 | |
E. Jumbo | dimanche 13 décembre 2009 - 15:04 | |
amaterasu | dimanche 20 septembre 2009 - 12:56 | |
Solvant | mercredi 5 novembre 2008 - 23:19 | |
The Gloth | jeudi 14 février 2008 - 09:44 | |
Walter Benjamin | mercredi 13 février 2008 - 23:24 | |
DrMuller | vendredi 10 août 2007 - 12:56 | |
torquemada | dimanche 27 novembre 2005 - 17:22 | |
Slugbait | vendredi 22 juillet 2005 - 02:05 | |
Marco | jeudi 21 juillet 2005 - 20:05 | |
Dead26 | mardi 2 novembre 2010 - 19:05 | |
GinSoakedBoy | vendredi 15 mai 2009 - 22:29 | |
born to gulo | samedi 18 juillet 2020 - 12:27 | |
Faust Méphistophélès | jeudi 13 novembre 2014 - 16:08 | |
Nerval | vendredi 22 juillet 2005 - 13:45 |
cd • 10 titres
- 1La fille de la mort
- 2Rue des tempêtes
- 3L'eau rouge
- 4Charlotte
- 5Longue route
- 6Crier les chiens
- 7Ville nôtre
- 8Les enfants
- 9L'amourir
- 10Pas mal
informations
Artag Studio, Zürich, Suisse. Produit par Roli Mosimann
line up
Franz Treichler (chant), Use (batterie), Ces (machines)
chronique
Le rouge est assurément la couleur de ce second album du trio suisse, le rouge du sang, de la passion, de la rage, de la vie, du feu…Nos jeunes dieux y déploient un talent et une maîtrise stupéfiante, disséquant le chaos pour en extraire la beauté, explorant la violence pour y découvrir la pureté. Cette quête débute par ‘La fille de la mort’, superbe pièce en plusieurs tableaux : débutant sur des boucles très hypnotiques, le morceau s’enfle au rythme de samples de violons grinçants, frappés ensuite de percussions lourdes et de sons inquiétants avant que n’explose un final apocalyptique où la batterie s’accélère. Franz s’y fait poète écorché hurlant ses poèmes surréalistes jusqu’à l’apothéose. ‘Rue des tempêtes’ fait cohabiter samples symphoniques et guitares sur des tempi rock rapides pour une intensité émotionnelle plutôt jouissive que l’on retrouve sur ‘L’eau rouge’. Le groupe manie à merveille tension retenue et explosion de sentiments, puissance organique et rage brute jouant sans cesse avec les nerfs de l’auditeur. En véritables artistes décalés, ils nous livrent soudain une valse étrange, ‘Charlotte’, aux atmosphères très fanfare, dernier répit avant l’ouragan ‘Longue route’ qui mêle toute la puissance d’un morceau de Ministry avec le doigté d'orfèvre de nos jeunes dieux. Cette énergie se retrouve sur ‘Crier les chiens’ et ‘Ville nôtre’ construits à nouveau sur des alternances de rythmes saccadés, comme un cœur essoufflé en attente, et des explosions de samples de guitare, le tout ponctué de bruits inquiétants. Beaucoup plus martial, ‘Les enfants’ oscille entre rituel et symphonie pure de par le fracas des boucles néoclassiques qui ponctuent la chanson…une merveille de maîtrise de l’art de l’échantillonnage. Le très bon mais plus classique ‘L’amourir’ renoue avec les structures rythmique dépouillée en totale fusion avec la voix / jaillissements de samples de guitare, pour une efficacité maximum. Pour conclure cet album intense, ‘Pas mal’, titre plus métal indus. En parfaite continuité de ‘The Young gods’, le groupe a affiné encore l’alchimie entre les éléments percussifs, la voix et les machines qui en deviennent presque instruments organiques. Toute l’énergie païenne des éléments, renforcée par la voix grondante et rocailleuse de Franz, fusionne avec la technologie industrielle en un ballet violent et grandiose où le feu et les métaux se tordent pour expulser de leurs entrailles une poésie primale à la beauté rouge et sauvage. Un album indispensable pour une formation qui ne l’est pas moins.
note Publiée le mardi 13 mai 2003
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- sergent_BUCK › Envoyez un message privé àsergent_BUCK
Grandiose et Imparable...
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- necromoonutopia666 › Envoyez un message privé ànecromoonutopia666
Bon je vais crâner un peu. La semaine prochaine je rencontre Franz Treichler et il va certainement pouvoir me signer mon LP de L'eau Rouge.Ma fibre groupie en trépigne déjà.
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- Harry Dickson › Envoyez un message privé àHarry Dickson
Metallic K.O.
- Note donnée au disque :
- Eliphas › Envoyez un message privé àEliphas
il est classe ce disque.
- Note donnée au disque :
- Kagoul › Envoyez un message privé àKagoul
ce soir concert à lure a deux pas de chez moi ! mon sixième concert facile je crois d'eux... je m'en lasse pas ! en acoustique c'était sympa, mais me tarde de les revoir avec leur électronique !