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Interview : Loïc Grobéty (Convulsif) - Les PdZ (Besançon), 20/04/2023

Dioneo › dimanche 23 avril 2023

C'est l'un de ces groupes dont j'ai rencontré la musique en pleine période catastrophiste mondiale – la pandémie COVID19 dans toutes les villes (de tous les pays, tous les continents). Les inconnus croisés, et les connus – tous furtivement pendant longtemps, tous masqués, presque toujours. Les endroits qu'on aimait – fermés jusqu'à nouvel ordre. (Certains ne s'en remettraient pas). Les concerts arrêtés – interdits. Des Suisses au nom qui sentait la crise, l'accès libérateur ou fatal – Convulsif. Le titre du disque sorti à ce moment-là bien dans le ton – accidentellement ou non. Extinct. La Fin de Tout ? La suite logique des événements ? Le mot jeté en alarme ou en exorcisme, pour passer au-delà, essayer autre chose ? ... La musique avait tourné, en tout cas, ici. Dans une ville, grande, d'abord (Lyon), où toujours rien ne pouvait se passer, où rien ne se débloquait franchement – ou alors pas toujours, vraiment pas, pour le mieux. Puis dans une autre ville, moins grande (Besançon), où les choses reprenaient doucement, tout doucement leur cours. J'avais guetté, espéré - qu'ils se remettent à jouer dans les salles qui restaient, rouvraient. Qu'ils passeraient dans le coin, à l'occasion d'une tournée ou de l'autre. 2021 : non, rien par là. 2022 : toujours pas. Et puis voilà : 2023. Les agités placides de 939K15 l'annonçaient enfin : Convulsif allaient passer par là, jouer sous le capot de la DS – aux Passagers du Zinc, à peine au-dessus de Battant. Et le jour dit m'y voilà, zoom en main. Rendez-vous pris avec Loïc Grobéty - bassiste et créateur du groupe - pour échanger quelques paroles, quelques questions, questionnements, avant qu'ils se mettent à lâcher leur boucan fluide et complexe, noir et vivifiant, vivant. Trois mots pour prendre contact, deux tabourets, un rapide test-son. C'est parti.
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Interview : Shaxul

Ntnmrn › mercredi 22 février 2017

Shaxul est une figure majeure du Metal français : hier co-fondateur de Hirilorn et Deathspell Omega, aujourd'hui propriétaire de l'écurie internationale Legion of Death et fervent défenseur du "Hard Metal" pictavien avec Manzer, sa verve et son franc-parler n'ont pas tari en plus de 20 ans au service des arts noirs. La preuve en interview, qui malgré quelques accrocs est l'occasion d'un retour intéressant sur son parcours, sa vision du Metal, et ses dernières sorties.
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Entretien : La Nóvia (avec les membres de Jéricho et Toad), Jardin des Chartreux, Lyon, le 16 juillet 2015

Dioneo › lundi 27 juillet 2015

Il fallait bien qu’on en vienne là… Qu’on cesse de rater l’occasion, de remettre à plus tard. J’avais abordé Yann Gourdon avant l’un de ses concerts lyonnais – au Café du Rhône, en duo avec An Tez, sous le nom de Vaacum – pour lui proposer… Plutôt qu’une interview, un entretien, une discussion. À propos de La Nóvia – ce collectif dont il est un des membres, peut-être le plus visible… Pas le seul - ceux là font corps, d’un groupe à l’autre, singuliers, distincts... Manifestement d’accord. Je voulais parler de cette… Communauté ? Oublions, alors, toute connotation baba et, ou, encore plus, sectaire... J’aurais dit volontiers « commune » - sans jamais penser « chauvinisme ». Ça m’intriguait – ça continue de m’enchanter, de me surprendre… – cette idée surtout pas fixe mais à quoi ils tiennent. Ce mouvement insaisissable mais jamais dans le vague. Les veillées de la Baracande, les bourrées, valses, polkas, de Toad. Les chants intoxicants de Jéricho. Les voix du Cantal qui remontent de la terre et tombent de ce ciel là pour saisir, chez Faune. Les particules sonores en nuages, nuées, constellations, du Verdouble… Le Verdouble, je le savais, devait jouer quelques semaines plus tard au festival Échos, à la ferme du Faï, dans les Hautes Alpes. (Je vous ai conté ça, ailleurs, il y a peu). Il y aurait là Yann Gourdon, donc, et son comparse dans ledit duo, Yvan Étienne, autre vielleux. Rendez-vous avait été pris, convenu. Puis… Sur place – circonstances, charges, nuits blanches – différé. Quelques semaines après, d’autres groupes du collectif devaient encore jouer à Lyon - au Jardin des Chartreux, dans le cadre des jeudis des Musiques du Monde, organisés tout l'été par les CMTRA (Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes). Jéricho, justement, et Toad, et le duo Violoneuses. Cette fois devrait bien être la bonne.
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CTM Festival - Electric Wizard, Extreme Precautions - Astra Kulturhaus, Berlin, 25/01/2015

Rastignac › mercredi 4 février 2015

"Berlin est une ville qui fait la moitié de la France." C'est ce que je me suis dis en me faisant emporter à toute berzingue par une bagnole là-bas, dans ces méandres d'avenues énormes, pleines de bars, de trucs cachés, d'histoire contemporaine. Cette ville, malgré tout l'éclairage qu'elle subit depuis longtemps reste pour moi un labyrinthe infini... tellement mutant, qui dégage tellement de bizarreries et de paradoxes, de jeunesse et d'interrogations, de combats et de rêveries. En tout cas vous y retrouverez un paquet de machins sombres et expérimentaux, il suffit de lever le nez ou le baisser, c'est bath non ? Un de ces trucs est le festival CTM... Alors, c'est quoi le CTM festival ?
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Interview de VLADIMIR BOZAR'N' ZE SHERAF ORKESTAR

Dariev Stands › vendredi 8 mars 2013

Interview réalisée dans la foulée d'un concert de Vladimir Bozar’n’Ze Sheraf Orkestar & Igorrr à la Java, 11 Mai 2012
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GONG + JACK DUPON aux Abattoirs, Bourgoin-Jailleu, le 27 Octobre 2012

Dariev Stands › lundi 29 octobre 2012

C’est en ce samedi soir de blizzard furieux soufflant sur notre engin motorisé à couleur Pot-Head Pixie que nous avons bravé la déferlante (digne d’un album de Bathory, ce vent, sans rire), pour atteindre la salle de concert, bucoliquement nommée les Abattoirs, où Gong se produisait ce soir-là. Groupe issu d’un accident (Daevid Allen, australien expatrié à Londres, reste coincé au Havre faute de papiers en règle, au retour d’une descente sur la riviera avec son groupe Soft Machine), Gong aura par la force des choses développé des connexions privilégiées avec notre riant pays, intégrant même une majorité de musiciens français dans ses rangs à ses débuts. On les a longtemps associé (à tort), à Magma, et aujourd’hui encore, la pauvreté accablante des lieux de concerts en France les force à utiliser les mêmes réseaux pour se produire (dans les 70’s, c’était le fameux réseau des MJC, tissé entre autres par la tête chercheuse Giorgio Gomeslky). Du coup, c’est sans surprise que Gong, ne pouvant pas se produire à Lyon, passe dans la même salle que Magma quelques mois plus tôt, qui a d’ailleurs déjà accueilli quelques grands noms du Canterbury par le passé…
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Necroblaspheme - interview pour la sortie de leur album XXVI - the deeper, the better - mars 2012

Stéphane › mardi 27 mars 2012

A l'occasion de la sortie de leur nouvel album "XXVI : the deeper, the better", nous n'avons pas pu résister à l'envie de retourner interroger les p'tits gars de Necroblaspheme qui nous ont répondu collégialement. Au programme, un bilan du chemin parcouru depuis leur première interview sur guts of darkness, les difficultés pré natales du nouveau né et des explications sur l'ensemble de leurs choix artistiques qui en auront dérouté plus d'un.
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Top 10 2010

Phaedream › vendredi 4 février 2011


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THE YOUNG GODS - Interview avec Franz Treichler, le 9 Octobre 2009

Dariev Stands › jeudi 3 décembre 2009

A l'occasion de leur passage au superbe Theatre Denis de Hyères, nous avons pu réaliser une interview de Franz Treichler, chanteur et leader des Young Gods, groupe suisse d'indus/rock, venu pour jouer ce soir en acoustique, que les amateurs connaissent bien. Un Franz détendu et jovial, dispo pour aborder tous les sujets durant une bonne heure... Rarement fait une interview aussi simple et agréable, moi.
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Festival Rock In Opposition, 13, 14 & 15 Avril, Le Garric (Tarn)

Dariev Stands › mercredi 25 avril 2007

Haut les cœurs, Saïmone et moi-même sommes revenus sains et saufs de cette expédition dans le bas-ventre moite de la France profonde : j’ai nommé le Tarn. Du charbon, des cloportes, des bunkers de brume, des hectolitres de rosée matinale (et du soir et de l’après midi aussi), mais aussi des paysages fort sympathiques et un cadre plus qu’agréable, bien éloigné des habituels festivals… Tout ça pour vous ramener quoi ? Une review sur l’un des plus aventureux événements musicaux de ces dernières années, un festival dédié au Rock In Opposition ! Oui, ce même mouvement musical sous médiatisé (et c’est un doux euphémisme) dont proggy a maintes fois creusé les arcanes… Un genre d’excroissance sans compromission du rock de la fin des années 70, qui lui, en faisait trop justement, des compromis (que ce soit dans le progressif ou non finalement). Un mouvement qui dérangeait bien plus que le punk (j’en connais qui jubileront à la lecture de cette phrase), et qui a vite été jeté aux oubliettes de l’histoire, dans le même sac que le progressif. Un peu trop vite. Et c’est ainsi que le R.I.O. refit surface a la fin des années 80, via des groupes américains notamment, alors qu’il s’agissait principalement d’un courant « européen ». Aussitôt enterré, aussitôt ressurgi, c’est un festival qui se veut dans la continuité du festival « R.I.O. » originel, monté à l’origine par Chris Cutler à Londres… Mais avec une ouverture d’esprit certaine, permettant à toute une frange aventureuse du « progressif » de se retrouver. Michel Besset et Roger Trigaux, organisateurs du festival, ont par exemple tenu à clôturer le festival par Magma. Le Zeuhl et le Rock In Opposition furent donc les deux « genres » les plus à l’honneur pour cette première édition. Tiens, comme par hasard, les rares styles des années 70 a ne pas être devenus cultes entre temps, à notre époque passéiste à souhait ! C’est peut être qu’ils n’appartiennent a aucune époque justement. Que la flamme qu’ils ont allumée n’a pas encore brûlé de toute sa puissance…
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La musique électronique

Nicko et Phaedream › mardi 13 juin 2006

La musique électronique (MÉ) trouve son berceau aussi loin que le début des années 1910 avec L’Art des bruits, du mouvement Dadaïste. Un mouvement de liberté artistique, plastique et littéraire, crée par de jeunes artistes de toutes nationalités durant la 1ière Guerre Mondiale. Certes ce n'était pas de la réelle MÉ, mais c'était la naissance d'une nouvelle forme d'art. Un mouvement important qui allait ouvrir la porte aux plus audacieux.
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Petit bréviaire du progressif selon G.O.D.

Progmonster › mercredi 31 août 2005

La ligne éditoriale de notre site a toujours fait débat. Et tant que ce débat continuera à être alimenté par nos détracteurs, nos partisans et cette foule de plus en plus nombreuse qui vient gonfler nos rangs jours après jours, le coeur de Guts of Darkness pourra continuer de battre de ses pulsations anarchiques que beaucoup nous envient.
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Précisions quant à la musique dite contemporaine

Trimalcion › jeudi 18 août 2005

Suite à des questions posées sur les différences entre musique "classique", musique "contemporaine" et musique "populaire", voici quelques pistes de réflexion. Pour en discuter, rendez-vous sur le forum !
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