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Robert Schroeder › Paradise 2014

cd • 11 titres • 61:47 min

  • 1In Memory of Paradise 8:03
  • 2Moments 5:04
  • 3Deep Dream 5:00
  • 4Balance 0:57
  • 5Future Memories 3:31
  • 6SkyWalker (Orig.) 4:57
  • 7Time Machine 8:48
  • 8Timeless 7:14
  • 9Bonus tracks
  • 10SkyWalker (Live Version of 1990) 10:59
  • 11Paradise Epilogue 8:33

informations

Composé et produit par Robert Schroeder en 1983. Initialement paru sur Innovative Communication KS 80.029 en 1983, en CD sur Racket Records RRK 715024 en 1984 et finalement en 2008 sur une version amplifiée sur le label de Schroeder News-Music et finalement remasterisé à partirdes sources originales en 2014 pour le label allemend Spheric Music

Pour en savoir plus sur Robert Schroeder et entendre des échantillons sonores, visitez son site web; http://www.news-music.de/home_e.html

line up

Robert Schroeder (Synthétiseurs, claviers et effets électroniques)

Musiciens additionnels : Guenther Beckers (Guitare acoustique Roal-Ho et guitare synthétiseur sur Timeless) Ecky Zillmann (Batteries Simmons sur Skywalker)

chronique

Voilà une sortie qui a créé tout un enthousiasme dans le cercle de la MÉ. Plus de 40 ans après sa sortie initiale et après un puissant sound-lift en 2009 sur son propre label, News-Music CDR-12.005, Robert Schroeder passe un nouveau coup de brosse à son Paradise. Autant le dire d'emblée, il n'y a pas beaucoup de différences entre la version de 2009 et celle-ci. J'entends une sonorisation plus nuancée, un son plus riche. Il y a aussi un intéressant titre de plus et cette nouvelle version de Spheric Music est disponible en réel format CD. La version de 2009 présentait une modernisation et une amplification du son sur un format CD-r très professionnel, une nouvelle mode afin de diminuer les coûts de production. Paradise 2014 ne fait pas peau neuve. En ce sens que Robert Schroeder ne remixe pas les bandes originales. Il les revoit et les révise avec les technologies d'aujourd’hui afin de garder intact toute la profondeur ambiosphérique de cette œuvre phare de la New Berlin School. Donc ne vous attendez pas à des nappes de synthé et des gazouillis électroniques supplémentaires. De ce côté, Schroeder opte pour le respect de son œuvre plutôt que de la canarder avec toutes sortes de nuances soniques. Ce qui est très bien car Paradise n'a pas besoin de retouches ni d'artifices pour séduire et nous faire entendre combien l'œuvre est excellente. Je vous inviterais à lire la chronique que j'ai écrite à son sujet en Juin 2011. Mais je peux vous parler de "Paradise Epilogue" et de son intro ambiosonique où scintillent mille prismes soniques. Des accords séquencés minimalistes tracent un rythme sobre mais entraînant comme une danse de penseurs qui est supporté par des percussions tout autant modérées et enveloppé par des larmes de synthé aux couleurs de bruine. Les ambiances sont aussi mélancoliques que sur les autres titres qui forgeait la face A de Paradise. Des chœurs errants sur des harmonies soumises plongent les ambiances de "Paradise Epilogue" dans un sombre motif patibulaire alors que les synthés, et leurs habits de Vangelis, tracent des solos rêveurs et des paysages cosmiques qui caressent un rythme dont la danse des séquences et les frappes de percussions de la 2ième portion animent d'un rythme biphasé. Trop bon, j'en veux d'autres!

note       Publiée le dimanche 16 mars 2014

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