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Godflesh › Godflesh

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Membre Note Date
ericbaisons      jeudi 23 décembre 2010 - 20:03
tk1kon      jeudi 28 janvier 2010 - 09:38
sergent_BUCK      mardi 16 septembre 2008 - 02:24
mroctobre      mardi 31 janvier 2006 - 13:48
GodFlesh      samedi 13 novembre 2004 - 18:51
taliesin      jeudi 22 janvier 2004 - 23:46
Klozer      dimanche 29 novembre 2020 - 00:46
EyeLovya      jeudi 24 septembre 2015 - 14:02
Dead26      samedi 21 février 2015 - 13:55
cyprine      vendredi 22 mars 2013 - 22:40
edenbeast      mardi 29 septembre 2009 - 15:20
E. Jumbo      jeudi 25 décembre 2008 - 11:41
crumble72      samedi 12 mai 2007 - 10:23
juj      jeudi 22 juin 2006 - 15:14
cyberghost      jeudi 22 avril 2004 - 12:25
Procrastin      mardi 8 décembre 2020 - 06:12
Seijitsu      samedi 17 septembre 2011 - 10:40
Raven      dimanche 4 juillet 2010 - 17:16
torquemada      jeudi 23 mars 2006 - 16:02
sinical      jeudi 22 avril 2004 - 12:53
Demonaz Vikernes      jeudi 6 février 2014 - 18:56

cd • 8 titres • 52:38 min

  • 1Avalanche master song05:13
  • 2Veins04:30
  • 3Godhead05:01
  • 4Spinebender05:07
  • 5Weak flesh04:23
  • 6Ice nerveshatter06:31
  • 7Wounds13:06
  • 8Streetcleaner 208:41

extraits audio

informations

Enregistré au Soundcheck, Angleterre, juin - juillet 1988

Réédition de 1990 avec 2 bonus-tracks

line up

Justin K. Broadrick (guitares, chant), G.C. Green (basse), Machines (ryhtmes et samples)

chronique

  • industrriel hybride unique

Initialement édité en vinyle puis cassette par le label Swordfish Records en 1988, il faudra attendre 1990 pour qu'Earache réédite le premier effort du duo de Birmingham, agrémenté de 2 titres bonus. La caractéristique principale de ce premier méfait est l'aspect très primaire des structures et des ambiances. Par primaire, j'entends bien évidemment une rage et une violence pulsionnelle que le chant écorché (parfois quasi-guttural) se charge d'accentuer. Pourtant les bases sont bien là : une lourdeur à tout casser, une basse déjà bien présente et hypnotique ('Avalanche master song', dont le nom pour l'anecdote reprend deux titres de Leonard Cohen ! ; 'Ice nerveshatter'), et une guitare lancinante à la limite de la rupture et de la dissonance ('Spinebender', très éprouvant). Les rythmiques enlevées et énérvées sont bien sûr d'ores et déjà utilisées ('Weak flesh', excellent, l'entêtant 'Veins'), tandis que la chant alterne entre agression directe et texture ethérée sur fond de réverb. Tous les ingrédients du Godflesh à venir sont présents, avec ce côté 'punk' qu'ont souvent les premières productions des groupes de ce genre. En bonus donc, un remixe du titre 'Wound' (rebaptisé 'Wounds') déjà présent sur Streetcleaner, ainsi qu'une version de 'Streetcleaner' indus-ambient-bruitiste dérangée. Un début très honorable, une suite encore meilleure...

note       Publiée le lundi 19 janvier 2004

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Note moyenne        21 votes

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Demonaz Vikernes Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes

Godflesh je passe un peu à côté du truc, et en particulier cet album que je trouve franchement inoffensif. La fin de l'album (Weak Flesh / Ice Nerveshatter / Wounds) sauve l'album du loupé total.

Note donnée au disque :       
empreznor Envoyez un message privé àempreznor

celui-ci

gab Envoyez un message privé àgab

Turbolol mécanique

Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
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non

gab Envoyez un message privé àgab

Peut-être du troisième degré?