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Weather Report › Black market

7 titres - 37:22 min

  • 1/ Black market (6:33)
  • 2/ Cannon ball (4:40)
  • 3/ Gibraltar (7:47)
  • 4/ Elegant people (5:05)
  • 5/ Three clowns (3:28)
  • 6/ Barbary coast (3:13)
  • 7/ Herandnu (6:36)

enregistrement

Devonshire Sound, North Hollywood, Californie, USA, décembre 1975 - janvier 1976

line up

Alejandro Nesciosup Acuña (percussions), Don Alias (percussions), Alphonso Johnson (basse), Jaco Pastorius (basse), Jaco Pastorius (basse), Wayne Shorter (saxophones soprano et alto), Chester Thompson (batterie), Narada Michael Walden (batterie), Joe Zawinul (claviers)

remarques

Il s'agit du pressage cartonné japonais

chronique

Styles
jazz
Styles personnels
jazz fusion

Bien que Weather Report n'ait cessé d'avoir un succès grandissant (et plus encore avec cet album), tout en s'éloignant de son propos d'origine, leur septième livraison se révèle être une nouvelle étape, une nouvelle transition vers une nouvelle ère. Un peu comme ce fût le cas sur "Mysterious Traveller" qui voyait le départ définitif de Miroslav Vitous, "Black Market" annonce cette fois celui d'Alphonso Johnson, et la venue du petit prodige Jaco Pastorius. Le résultat est pourtant en demi-teinte, malgré les renforts éclairs de Chester Thompson (Frank Zappa) et Michael Walden (Mahavishnu Orchestra). L'écriture devient plus formelle, dirions nous même conventionnelle, pour se rapprocher de certains canons progressifs alors déjà plus en vogue...

note       Publiée le vendredi 8 février 2002

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Note moyenne        10 votes

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mangetout Envoyez un message privé àmangetout

Un album que je n'avais pas écouté depuis un bail, du coup écoute en boucle ces derniers jours, genre toxique ultra-addictif. Tout y participe, les compositions alambiquées, les arrangements luxuriants, les basses sinueuses de Jaco et Alphonso, les percussions tribales, les ambiances portuaires ou de jungle poisseuse tissées par les claviers de Zawinul et les vents de Shorter... un vrai plaisir d'écoute.

aur Envoyez un message privé àaur
"Cannon Ball", l'hommage à Adderley et "Three Clowns" sont de très belles compos, et "Black market" constitue un nouvel hymne de stade, dans la lignée de "Man in the green shirt". Sinon, l'album, pris dans son ensemble, est moins fluide et brumeux que ses prédécesseurs. J 'aime ses ambiances créées par WR avec trois fois rien, leur manière de donner une allure sublime à une ellipse de thèmes désossés joués sur des synthés fragiles qui sonnent acoustique : "Three clowns".
Note donnée au disque :       
radioactivity Envoyez un message privé àradioactivity
rien que pour le morceaux "gibraltar" la venue au monde de cet album est justifiée...et la basse d'un jaco en verve ne peut que rajouter à notre plaisir...alors pas l'album du siécle ce "black market" ?....assurément,nous sommes d'accord, mais pour autant, je ne le flanquerai à la poubelle pour rien au monde....MIAM MIAM
Trimalcion Envoyez un message privé àTrimalcion
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Un tueur, le Jaco Pastorius.