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Kate Bush › Never for ever
- 2005 • EMI records TOCP-67817 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Richard | mercredi 22 février 2017 - 10:24 | |
The Gloth | lundi 12 novembre 2012 - 13:12 | |
zugal21 | dimanche 11 novembre 2012 - 20:28 | |
stankey | dimanche 11 novembre 2012 - 20:24 | |
SEN | lundi 2 janvier 2012 - 11:47 | |
benni | mardi 28 juin 2011 - 09:26 | |
Serge | samedi 11 juin 2005 - 10:17 | |
Raven | dimanche 19 mai 2013 - 01:45 | |
EyeLovya | dimanche 1 janvier 2012 - 17:45 | |
fc | samedi 13 février 2010 - 11:57 | |
pinnickX | samedi 6 juin 2009 - 20:34 | |
canardo | mardi 8 juillet 2008 - 22:09 | |
toliveistodie | mardi 8 janvier 2008 - 17:46 | |
DrMuller | samedi 30 juin 2007 - 14:25 | |
Fabb74 | vendredi 28 juillet 2006 - 10:37 | |
P@sc@l | samedi 1 mai 2004 - 15:50 | |
GrahamBondSwing | dimanche 10 juillet 2022 - 20:57 | |
HGBDC | dimanche 11 avril 2010 - 17:31 | |
Nicko | vendredi 29 septembre 2006 - 19:26 | |
Progmonster | samedi 17 avril 2004 - 12:39 |
11 titres - 37:23 min
- 1/ Babooshka (3:20)
- 2/ Delius [Song of Summer] (2:51)
- 3/Blow Away [For Bill] (3:34)
- 4/ All We Ever Look For (3:48)
- 5/ Egypt (4:12)
- 6/ The Wedding List (4:15)
- 7/ Violin (3:15)
- 8/ The Infant Kiss (2:50)
- 9/ Night Scented Stock (0:51)
- 10/ Army Dreamers (2:58)
- 11/ Breathing (5:29)
informations
Abbey Road et Air Studios, Londres, Angleterre, 1980
Il s'agit du pressage catonné japonais à tirage limité
line up
Ian Bairnson (guitare, basse, chœurs), Brian Bath (guitares, chœurs), Kate Bush (piano, claviers, chant), Paddy Bush (harmonica, mandoline, balalaika, basse, sitar, koto, voix), Stuart Elliott (batterie), Larry Fast (claviers, prophet, synthétiseur), John Giblin (basse), Roy Harper (choeurs), Preston Heyman (percussions, batterie), Gary Hurst (chœurs), Duncan MacKay (claviers), Max Middleton (claviers, Moog, Fender Rhodes, arrangement cordes), Alan Murphy (guitare, basse), Del Palmer (basse, chœurs), Morris Pert (percussions), Kevin Burke (violon), Andrew Bryant (choeurs), Martyn Ford (chef d'orchestre), Mike Moran (claviers, Prophet 5), Adam Skeaping (violon)
chronique
Oui, il y eut "Wuthering Heights" et ses émois qui en découlèrent à voir une jeune ballerine hallucinée, de dix-huit ans à peine et aux yeux de braise, faire ses petits pas de danse dans un décor enfumé tout droit sorti d'une dimension parallèle. Oui, il y eut la confirmation d'une sensibilité unique au gré d'une ritournelle mémorable et pourtant oubliée qui s'appelait "The Man with The Child in His Eyes". Mais la jeune Kate Bush, après "The Kick Inside" et "Lionheart", se fondant parfaitement aux canons de l'époque mais sonnant aujourd'hui incontestablement datés, n'avait alors vraissemblablement plus envie de rester l'image papier glacé qui lui colle à la peau. Il était temps de passer à autre chose. "Never for Ever" est l'illustration explicite de cette volonté farouche à progresser. Et le bond est considérable. Ok, l'album s'ouvre sur un autre méga tube, "Babooshka", qui a, en définitive, pour seul défaut d'avoir été trop rabâché au point d'en devenir presqu'insupportable. Mais dès la seconde plage, le magique "Delius", on prend toute la mesure du chemin accompli en si peu de temps. Mystérieux, harmoniquement fouillé, référentiel, dans un exercice presque faussement progressif, Kate Bush trouve sa voie dans la sophistication. Et si les arrangements des titres à sa suite nous rattachent malgré tout à l'époque et à ses essais précédents, ils sont d'une inventivité et d'une fraîcheur sans commune mesure avec tout ce que l'on avait pu entendre d'elle jusqu'ici, allant se nourrir des modes d'expressions néo classiques et jazz pour donner plus de relief à ses compositions ("Blow Away"). C'est dans les nuances que se mesure donc l'évolution de la chanteuse, et excepté "Violin" ou "The Wedding List", plus simplement rock, "Egypt" ou "Breathing" (déclinaison angoissante sur les craintes d'un holocauste nuclaire), font preuve d'une redoutable profondeur. C'est à partir d'ici qu'il y a lieu de s'intéresser à Kate Bush autrement que pour des critères simplement esthétiques.
note Publiée le samedi 17 avril 2004
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- Rastignac › Envoyez un message privé àRastignac
Petit faible pour celui-ci aussi, il y a une sorte de tranquillité et d'onirisme là-dedans qui dépasse encore les dingueries des premiers albums. L'impression d'halluciner aux pays des merveilles prêts à tourner bad trip à tout moment. Bien fou (dans tous les sens du terme).
- Richard › Envoyez un message privé àRichard
En lisant la première biographie en français sur Kate Bush écrite par F.Delage, je réécoute avec plaisir par ordre chronologique toute la discographie de l'Anglaise, et là, pour moi, pas de doute, ce troisième album est le meilleur ("The Dreaming" n'est quand même pas loin). Le bond effectué entre "Lionheart " et " Never For Ever " est tout simplement fantastique. C'est le plus baroque, le plus varié, la voix donne de suite de formidables frissons. On rentre de plain- pied dans un imaginaire à nul autre pareil. Le voyage est fabuleux !
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- Procrastin › Envoyez un message privé àProcrastin
Je découvre et j'adore!
- The Gloth › Envoyez un message privé àThe Gloth
Meilleur album, pas de doute.
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- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
+ 1
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