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Hellfest 2023 - par Dimegoat

dimegoat › dimanche 6 août 2023

Depuis les Fury Fest 2004-2005, mon histoire avec le Hellfest s’écrivait en pointillé avant de lâcher l’affaire en 2015. Je n’ai pourtant pas hésité une seconde lorsque Nicko m’a proposé d’y participer cette année car j’allais enfin avoir l’opportunité de constater quelle tournure avait pris le festival. Ben Barbaud ne s’en cache pas, le Hellfest ne cessera jamais de grossir, en dehors de la musique, de ses murs et de ce week-end de juin. Du point de vue musical, difficile de faire plus ambitieux, à moins de faire venir Jay-Z, et avant d’évoquer des choses qui fâchent, parlons donc musique car elle était bonne. Les roses avant les épines.
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Mordorfest, Grange du Déroc, Nasbinals, Lozère, 12-13/08/2022

Rastignac › lundi 15 août 2022

Des années après mon dernier compte-rendu de voyage alias "report de festival", je me fis attraper par ce besoin irrépressible de dansouiller comme un neuneu sous le soleil, vêtu de t-shirts salis par la poussière, le vin et la paille des chiottes sèches ! Vous avez compris, après ma purge pluri-covidienne, je suis retourné à un festival... ESTIVAL. CAR OUI, on peut le dire, cet été fut chaud, dans les maillots, ET ailleurs.
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Hellfest 2022 - Partie 2

Nicko › dimanche 7 août 2022

Cette année, le Hellfest s'est déroulé en deux week-ends consécutifs avec une pause salvatrice de trois jours entre chaque. nous avons décidé de faire un aller-retour chez nous pour vaquer à nos occupations (boulot/école/repos/donner à manger au chat, etc) et deux jours plus tard, hop, retour dans le TGV pour les quatre derniers jours de cette édition XXL. Alors même si on peut considérer que c'est comme enchainer deux festivals sur deux week-ends consécutifs, il faut quand se dire que le Hellfest est particulièrement intense. La plage horaire chaque jour va de 10H30 à 2h du matin avec à chaque fois trois groupes en simultanée, donc autant de chance de voir un groupe susceptible de nous intéresser. Et le poids des ans ne se fait pas ressentir que pour les musiciens, aussi pour nous festivaliers, habitués à aller à ce genre d'événements depuis des années. Et là, cette année, c'est particulièrement sportif ! Ces quelques jours de repos n'auront pas été de trop !
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John Zorn - The Bagatelles (Jeudi 11 Juillet 2019 - New Morning)

(N°6) › samedi 13 juillet 2019

A quelque chose malheur est bon. On ne connait jamais la portée des évènements qui se produisent. John Zorn et sa bande devaient se produire à la Salle Pleyel à Paris le 11 Juillet dernier pour interpréter les Bagatelles, nouvelles compositions de l'infatigable new-yorkais. Et puis le concert est annulé une semaine avant, pour "raisons techniques". Au-delà du lol magistral, de quoi être dégouté. C'était sans compter l'éthique de Zorn, qui n'est plus à démontrer mais qui quand même faut chaud au coeur. Pas question pour lui de ne pas jouer devant son public à Paris le jour dit, donc voilà qu'il se replie en catastrophe au New Morning, petit club de jazz culte un peu craspect mais délicieusement vintage au coeur du Paris populaire (si, ça existe encore). Avec un prix à l'avenant. L'annulation de Pleyel se transforme ainsi en bénédiction...
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Brutal Assault 2018

Rastignac › mardi 14 août 2018

Au-delà des montagnes, niché au milieu de la grande plaine se dresse la forteresse de Josefov. Construite il y a longtemps, ce reste du royaume d'Autriche devait prendre sévèrement racine au vu de la taille des plantes et arbres coupés bien ras que l'on peut voir sur une partie de ses murs. Vous vous demandez comment je sais ça ? Eh bien c'est simple : j'y étais cette semaine. Et qu'est-ce que je pouvais bien foutre là-bas ? Du tourisme amateur de trucs militaires ou de machins abandonnés à la Fort Boyard ? Mais non, je vous donne ma langue au chat : je me suis tout simplement rincé la gorge et la tête au Brutal Assault !
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Unsane - Poco Loco, Clermont-Ferrand, 17/06/2016

Rastignac › samedi 18 juin 2016

Unsane, Poco Loco, deux noms qui m’ont suivi depuis de nombreuses années : d’un côté, un des groupes que j’ai le plus vu en concert, de l’autre un des salles dans laquelle je suis le plus allé pour voir théâtre ou musique depuis les années 1990... et qui est toujours debout aujourd’hui ! Ce fut donc une occasion en or pour venir un peu s’acoquiner dans les restes de viscères nocturnes du Clermont de nuit, expérience toujours intéressante pour celui qui en a le cran. Et la témérité. Nan, j’déconne (un peu). Allez, affiche !
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015

Dioneo › lundi 19 octobre 2015

Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Entretien : La Nóvia (avec les membres de Jéricho et Toad), Jardin des Chartreux, Lyon, le 16 juillet 2015

Dioneo › lundi 27 juillet 2015

Il fallait bien qu’on en vienne là… Qu’on cesse de rater l’occasion, de remettre à plus tard. J’avais abordé Yann Gourdon avant l’un de ses concerts lyonnais – au Café du Rhône, en duo avec An Tez, sous le nom de Vaacum – pour lui proposer… Plutôt qu’une interview, un entretien, une discussion. À propos de La Nóvia – ce collectif dont il est un des membres, peut-être le plus visible… Pas le seul - ceux là font corps, d’un groupe à l’autre, singuliers, distincts... Manifestement d’accord. Je voulais parler de cette… Communauté ? Oublions, alors, toute connotation baba et, ou, encore plus, sectaire... J’aurais dit volontiers « commune » - sans jamais penser « chauvinisme ». Ça m’intriguait – ça continue de m’enchanter, de me surprendre… – cette idée surtout pas fixe mais à quoi ils tiennent. Ce mouvement insaisissable mais jamais dans le vague. Les veillées de la Baracande, les bourrées, valses, polkas, de Toad. Les chants intoxicants de Jéricho. Les voix du Cantal qui remontent de la terre et tombent de ce ciel là pour saisir, chez Faune. Les particules sonores en nuages, nuées, constellations, du Verdouble… Le Verdouble, je le savais, devait jouer quelques semaines plus tard au festival Échos, à la ferme du Faï, dans les Hautes Alpes. (Je vous ai conté ça, ailleurs, il y a peu). Il y aurait là Yann Gourdon, donc, et son comparse dans ledit duo, Yvan Étienne, autre vielleux. Rendez-vous avait été pris, convenu. Puis… Sur place – circonstances, charges, nuits blanches – différé. Quelques semaines après, d’autres groupes du collectif devaient encore jouer à Lyon - au Jardin des Chartreux, dans le cadre des jeudis des Musiques du Monde, organisés tout l'été par les CMTRA (Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes). Jéricho, justement, et Toad, et le duo Violoneuses. Cette fois devrait bien être la bonne.
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Hellfest 2011

Stéphane › jeudi 23 juin 2011

Festival sold out, ça s'annonçait chaud et peuplé. Qu'en a-t-il été ?
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WROCLAW INDUSTRIAL FESTIVAL [4-8.11. 2009]

Wotzenknecht et Absainte › mardi 20 avril 2010

Début novembre, nous décidâmes avec Absainte (notre chroniqueuse un peu trop discrète) et moi-même (votre serviteur un peu trop présent) de nous offrir un petit voyage en Pologne pour le déjà célèbre Wroclaw Industrial Festival, huitième édition, à l'affiche plus qu'alléchante et à l'organisation hors du commun. Une douzaine de mécènes et partenaires dont la ville elle-même participe à cet événement aussi médiatisé que n'importe quel festival de musique. Il semblerait qu'une fois de plus l'ex-bloc soviétique ait trouvé dans la musique industrielle une nécessaire catharsis à ses démons, en témoigne le succès sans cesse grandissant de ces genres dans cette région de l'Europe !
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KINDERTOTENLIEDER

Wotzenknecht › samedi 10 novembre 2007

Conception : Gisèle Vienne. Texte : Dennis Cooper. Musique : KTL (Stephen O'Malley & Peter Rehberg), + enregistrement de 'The sinking belle(dead sheep)' par Sunn0))) & Boris. Plus d'information ici : http://www.les-subs.com/gisele-vienne.htm
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Festival Rock In Opposition, 13, 14 & 15 Avril, Le Garric (Tarn)

Dariev Stands › mercredi 25 avril 2007

Haut les cœurs, Saïmone et moi-même sommes revenus sains et saufs de cette expédition dans le bas-ventre moite de la France profonde : j’ai nommé le Tarn. Du charbon, des cloportes, des bunkers de brume, des hectolitres de rosée matinale (et du soir et de l’après midi aussi), mais aussi des paysages fort sympathiques et un cadre plus qu’agréable, bien éloigné des habituels festivals… Tout ça pour vous ramener quoi ? Une review sur l’un des plus aventureux événements musicaux de ces dernières années, un festival dédié au Rock In Opposition ! Oui, ce même mouvement musical sous médiatisé (et c’est un doux euphémisme) dont proggy a maintes fois creusé les arcanes… Un genre d’excroissance sans compromission du rock de la fin des années 70, qui lui, en faisait trop justement, des compromis (que ce soit dans le progressif ou non finalement). Un mouvement qui dérangeait bien plus que le punk (j’en connais qui jubileront à la lecture de cette phrase), et qui a vite été jeté aux oubliettes de l’histoire, dans le même sac que le progressif. Un peu trop vite. Et c’est ainsi que le R.I.O. refit surface a la fin des années 80, via des groupes américains notamment, alors qu’il s’agissait principalement d’un courant « européen ». Aussitôt enterré, aussitôt ressurgi, c’est un festival qui se veut dans la continuité du festival « R.I.O. » originel, monté à l’origine par Chris Cutler à Londres… Mais avec une ouverture d’esprit certaine, permettant à toute une frange aventureuse du « progressif » de se retrouver. Michel Besset et Roger Trigaux, organisateurs du festival, ont par exemple tenu à clôturer le festival par Magma. Le Zeuhl et le Rock In Opposition furent donc les deux « genres » les plus à l’honneur pour cette première édition. Tiens, comme par hasard, les rares styles des années 70 a ne pas être devenus cultes entre temps, à notre époque passéiste à souhait ! C’est peut être qu’ils n’appartiennent a aucune époque justement. Que la flamme qu’ils ont allumée n’a pas encore brûlé de toute sa puissance…
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ARKHON INFAUSTUS - interview avec Dk. Deviant (chant, guitares)

Nicko › samedi 16 avril 2005

Arkhon Infaustus sort son troisième album à la rentrée toujours pour la compte d'Osmose Productions, "Perdition insanabilis". Dk. Deviant, chanteur guitariste, nous en dit plus sur ledit album et nous éclaire sur l'univers de la formation parisienne.
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