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Dead Can Dance › The Serpent's Egg
- 1988 • 4AD CD
cd • 10 titres
- 1The host of seraphim
- 2Orbis de ignis
- 3Severance
- 4The writing on my father’s hand
- 5In the kingdom of the blind the one eyes are kings
- 6Chant of the paladin
- 7Song of Sophia
- 8Echolalia
- 9Mother Tongue
- 10Ulysses
informations
Morceaux 3,4,5,6,8 et 9 produits par Dead Can Dance, morceaux 1,2,7 et 10 produits par Dead Can Dance et John A. Rivers.
line up
Musiciens additionnels : David Navarro Sust (Voix), Alison Harling (Violon) , Rebecca Jackson (Violon), Sarah Buckley (Viole), Andrew Beesley (Viole), Tony Gamage (Violoncelle)
chronique
Dead can Dance ouvre les portes de ses influences. Plus loin encore dans l’acoustique de sa démarche puisque même les indiscernables synthés ont disparu, le groupe marque plus avant son goût pour les rythmes orientaux, les percussions, mais aussi, et surtout, la lumière. « Severance » ou « Ulysses », s’ils appartiennent à la famille sonore et structurelle de « Within the realm… », sont en effet des morceaux plus libérés, plus tournés vers la clarté et la simple beauté. Seul « In the kingdom of the blind… » reprend la route tortueuse des ténèbres d’antan. Un album qui offre un merveilleux voyage musical, aux ambiances sonores uniques et fines, un album qui commence aussi à prendre la mesure de sa vocaliste. Lisa Gerrard est une des plus grande voix du siècle. Son chant d’exercice est sans comparaison. Nasillarde, cristalline, Douce, puissante, sur-aïgue, profonde… cette artiste peut faire surgir n’importe quoi de ses cordes vocales. La première pièce de cet album repose entièrement sur la qualité de son timbre et de sa technique, seuls capables de révéler et de tenir la beauté de la composition. « Orbis de Ignis » est un morceau A capella où les voix fonctionnent en contrepoints, régulièrement ponctuées d’une clochette, très inspiré des pièces religieuses anciennes d’Europe du Sud. « Echolalia » révèle l’écoute des folklores d’Asie centrale… Dead Can Dance a décidé de penser à l’avenir et cherche dès maintenant à s’extraire de l’icône gothique du précédent album, il entame sa marche heavenly. Médieval, classique, oriental, le duo cherche dans tous les sens. Mais il le fait toujours très, très bien. A la croisée des chemins, Dead Can Dance nous offre un de ses albums les plus personnels.
note Publiée le samedi 27 avril 2002
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commentaires
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- Shelleyan › Envoyez un message privé àShelleyan
Quelle merveille, son dépouillement si plein d'espace sied parfaitement à des besoins de recueillements pour réfléchir...
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- Flesheaters › Envoyez un message privé àFlesheaters
Zugal21, oui les remasters en vinyle sonne très bien :)
- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
Il y a eu remasters de plusieurs Dead Can Dance , et je me tâte de les choper . Quelqu'un ici en a-t-il écoutés ? Ca vaut le coup ?
- Note donnée au disque :
- Coste › Envoyez un message privé àCoste
Je vois que des hérétiques ici n'apprécient pas la voix de Brendan. Mais foutre ! "Severance" ça vaut bien le paradis aller-simple.
- Note donnée au disque :
- bubble › Envoyez un message privé àbubble
il vit au pays des métaphores ...