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Hellfest 2023 - par Dimegoat

dimegoat › dimanche 6 août 2023

Depuis les Fury Fest 2004-2005, mon histoire avec le Hellfest s’écrivait en pointillé avant de lâcher l’affaire en 2015. Je n’ai pourtant pas hésité une seconde lorsque Nicko m’a proposé d’y participer cette année car j’allais enfin avoir l’opportunité de constater quelle tournure avait pris le festival. Ben Barbaud ne s’en cache pas, le Hellfest ne cessera jamais de grossir, en dehors de la musique, de ses murs et de ce week-end de juin. Du point de vue musical, difficile de faire plus ambitieux, à moins de faire venir Jay-Z, et avant d’évoquer des choses qui fâchent, parlons donc musique car elle était bonne. Les roses avant les épines.
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Interview : Loïc Grobéty (Convulsif) - Les PdZ (Besançon), 20/04/2023

Dioneo › dimanche 23 avril 2023

C'est l'un de ces groupes dont j'ai rencontré la musique en pleine période catastrophiste mondiale – la pandémie COVID19 dans toutes les villes (de tous les pays, tous les continents). Les inconnus croisés, et les connus – tous furtivement pendant longtemps, tous masqués, presque toujours. Les endroits qu'on aimait – fermés jusqu'à nouvel ordre. (Certains ne s'en remettraient pas). Les concerts arrêtés – interdits. Des Suisses au nom qui sentait la crise, l'accès libérateur ou fatal – Convulsif. Le titre du disque sorti à ce moment-là bien dans le ton – accidentellement ou non. Extinct. La Fin de Tout ? La suite logique des événements ? Le mot jeté en alarme ou en exorcisme, pour passer au-delà, essayer autre chose ? ... La musique avait tourné, en tout cas, ici. Dans une ville, grande, d'abord (Lyon), où toujours rien ne pouvait se passer, où rien ne se débloquait franchement – ou alors pas toujours, vraiment pas, pour le mieux. Puis dans une autre ville, moins grande (Besançon), où les choses reprenaient doucement, tout doucement leur cours. J'avais guetté, espéré - qu'ils se remettent à jouer dans les salles qui restaient, rouvraient. Qu'ils passeraient dans le coin, à l'occasion d'une tournée ou de l'autre. 2021 : non, rien par là. 2022 : toujours pas. Et puis voilà : 2023. Les agités placides de 939K15 l'annonçaient enfin : Convulsif allaient passer par là, jouer sous le capot de la DS – aux Passagers du Zinc, à peine au-dessus de Battant. Et le jour dit m'y voilà, zoom en main. Rendez-vous pris avec Loïc Grobéty - bassiste et créateur du groupe - pour échanger quelques paroles, quelques questions, questionnements, avant qu'ils se mettent à lâcher leur boucan fluide et complexe, noir et vivifiant, vivant. Trois mots pour prendre contact, deux tabourets, un rapide test-son. C'est parti.
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Motocultor 2019

Nicko › jeudi 5 septembre 2019

Enfin le Motocultor ! Bizarrement, nous n'avions jamais suivi ce festival jusqu'à présent. Entre le manque de disponibilité et certaines affiches moins bonnes que d'autres, jamais les étoiles n'avaient pu s'aligner... jusqu'à cette édition 2019 ! Cette année, nous étions disponibles et en plus l'affiche était particulièrement alléchante. Aussi, pour cette douzième édition, le festival a rajouté une journée le jeudi pour passer à 4 jours pour un événement spécial, une première journée placée sous le signe du rock celtique avec en tête d'affiche la venue de l'opéra-rock Excalibur d'Alan Simon qui fête son vingtième anniversaire à cette occasion avec un set de pas moins de 3 heures et plus d'une centaine de musiciens ! Les trois autres jours sont plus traditionnels avec comme têtes d'affiche les punks de NOFX, les légendes nationales du hard-rock Trust et les coreux d'Hatebreed. Au-delà de ces têtes d'affiche, le festival fait preuve d'un grand éclectisme avec notamment la présence de formations aussi diverses que Hypocrisy, Kadavar, The Night Flight Orchestra, Magma, Gaahl's Wyrd, Incantation, Gronibard, Ihsahn, Marduk, Ange, Les Ramoneurs de Menhirs parmi d'autres, auxquels s'est ajouté Henri Dès qui doit interpréter ses chansons pour enfants en mode punk-rock avec le groupe de son fils ! Bref, le Motocultor est un festival à part que nous nous devions de découvrir. Voici donc le report de cette édition 2019 que nous attendions avec impatience.
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Interview : Shaxul

Ntnmrn › mercredi 22 février 2017

Shaxul est une figure majeure du Metal français : hier co-fondateur de Hirilorn et Deathspell Omega, aujourd'hui propriétaire de l'écurie internationale Legion of Death et fervent défenseur du "Hard Metal" pictavien avec Manzer, sa verve et son franc-parler n'ont pas tari en plus de 20 ans au service des arts noirs. La preuve en interview, qui malgré quelques accrocs est l'occasion d'un retour intéressant sur son parcours, sa vision du Metal, et ses dernières sorties.
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Interview : Mesdames + Live Report : Mesdames/Rozi Plain, Lyon (La Triperie), le 13 octobre 2015

Dioneo › vendredi 13 novembre 2015

Il y a des soirées chaleureuses qui concluent des jours gris, pas très gais. On s’y rend – à l’endroit familier ; ou quelquefois inconnu – et soudain tout change. Sur le chemin, même, on se détend. On prévoit… Mais pas trop. J’avais vu Mesdames, groupe de Chambéry, dans cette même salle – La Triperie, dans les Pentes, le quartier de la Croix Rousse, à Lyon – une première fois, un an à peine plus tôt, en 2014. J'avais été soufflé, tout de suite, par leur énergie ; et l’impression, aussi, d’une délicatesse ; ou plutôt, ou surtout : d’une sensibilité vive, à vif, derrière l’agitation. Compositions remuées et fines… Musique pas cernable. Qu’eux-mêmes ne semblaient pas savoir trop, vouloir vraiment définir, nommer, rattacher… Les morceaux qu’ils avaient joués ce soir là n’étaient pas ceux de l’album qu’ils vendaient, à la fin, au stand. Les versions en studio de ceux-là restaient à venir… J’avais ramené l’objet chez moi, toujours, dans sa pochette-carton un peu rugueuse, avec son titre impossible – Mesdamus Werke Verzeichnis… a-t-on idée. J’avais écouté – et donc découvert, puisque ces chansons en étaient d’autres. J’avais aimé. Beaucoup. On avait idées… J’avais trouvées celles-ci, de pistes, un peu moins rudes, moins vertement balancées que celles entendues en direct. Je vous en avais parlé, en chronique. Et puis… Je m’étais dit qu’ils repasseraient bien par là. On avait discuté un peu – échangé par mails – avec Loup Uberto, chanteur et claviériste, ensuite. Ça leur allait, qu’on cause… Ça leur disait, oui, à la prochaine, qu’on se rencontre. Le deuxième album était arrivé. Pas beige-recyclé, cette fois, mais le fourreau en couleurs qui crient. Et dans les « sillons » – guillemets, puisque que l’objet n’existait alors qu’en CD, que ceux-là n’en on pas vraiment, que ça porte d’autres noms… – ça vibrait plus rudement, aussi ! Fichtre… Ils revenaient, repassaient dans mes parages. Il était dit que j’y serai.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015

Dioneo › lundi 19 octobre 2015

Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Hellfest 2015 par Nicko

Nicko › samedi 22 août 2015

Comme tous les ans maintenant depuis 10 ans, le milieu du mois de juin est synonyme de Hellfest ! Dans le paysage musical français (au-delà même des frontières du metal et du hard rock), le festival s'est imposé comme un événement important annuel. Cela fait maintenant 2-3 ans que le stade des 100.000 personnes sur 3 jours est dépassé, fleurtant même avec les 150.000 festivaliers. Et même si l'affiche de cette année est, pour moi, un peu moins impressionnante que celle de l'année dernière, il y avait encore une fois une affiche alléchante à cette dixième édition. Forcément, je ne pouvais pas louper ce cru, et ce, pour la 4ème fois consécutive en ce qui me concerne. Nouveauté cette année, fini le camping du fest ou les hôtels/gîtes à 40 km du festival, ce coup-ci, c'est hébergement chez l'habitant, à 800 mètres de l'entrée du festival ! Et là, c'est le nec plus ultra ! On dort confortablement et paisiblement pas loin du fest. Donc niveau logistique, c'est plutôt cool. En plus, l'expérience est très appréciable. On rencontre des habitants qui peuvent nous donner leurs impressions sur cet événement annuel dans leur ville. En plus, en ce qui me concerne, l'accueil fut parfait (apéro au muscadet dès 9h30 le matin - rien de tel pour bien débuter le fest !!), je ne remercierai jamais assez nos hôtes tellement nous avons passé un très bon festival. Et merci aussi au Hellfest d'avoir mis en place une plate-forme permettant de mettre en contact les festivaliers et les habitants de Clisson sans quoi cette expérience n'aurait pu se réaliser.
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Entretien : La Nóvia (avec les membres de Jéricho et Toad), Jardin des Chartreux, Lyon, le 16 juillet 2015

Dioneo › lundi 27 juillet 2015

Il fallait bien qu’on en vienne là… Qu’on cesse de rater l’occasion, de remettre à plus tard. J’avais abordé Yann Gourdon avant l’un de ses concerts lyonnais – au Café du Rhône, en duo avec An Tez, sous le nom de Vaacum – pour lui proposer… Plutôt qu’une interview, un entretien, une discussion. À propos de La Nóvia – ce collectif dont il est un des membres, peut-être le plus visible… Pas le seul - ceux là font corps, d’un groupe à l’autre, singuliers, distincts... Manifestement d’accord. Je voulais parler de cette… Communauté ? Oublions, alors, toute connotation baba et, ou, encore plus, sectaire... J’aurais dit volontiers « commune » - sans jamais penser « chauvinisme ». Ça m’intriguait – ça continue de m’enchanter, de me surprendre… – cette idée surtout pas fixe mais à quoi ils tiennent. Ce mouvement insaisissable mais jamais dans le vague. Les veillées de la Baracande, les bourrées, valses, polkas, de Toad. Les chants intoxicants de Jéricho. Les voix du Cantal qui remontent de la terre et tombent de ce ciel là pour saisir, chez Faune. Les particules sonores en nuages, nuées, constellations, du Verdouble… Le Verdouble, je le savais, devait jouer quelques semaines plus tard au festival Échos, à la ferme du Faï, dans les Hautes Alpes. (Je vous ai conté ça, ailleurs, il y a peu). Il y aurait là Yann Gourdon, donc, et son comparse dans ledit duo, Yvan Étienne, autre vielleux. Rendez-vous avait été pris, convenu. Puis… Sur place – circonstances, charges, nuits blanches – différé. Quelques semaines après, d’autres groupes du collectif devaient encore jouer à Lyon - au Jardin des Chartreux, dans le cadre des jeudis des Musiques du Monde, organisés tout l'été par les CMTRA (Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes). Jéricho, justement, et Toad, et le duo Violoneuses. Cette fois devrait bien être la bonne.
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Interview : Zühn

Dioneo › vendredi 10 octobre 2014

J’ai découvert Zühn par un quasi hasard. En cherchant tout autre chose – en continuant de me balader sur le site du label Los Emes Del Oso après y avoir trouvé ce pourquoi j’y étais d’abord venu. J’explorais leur déstabilisant et réjouissant foutoir de catalogue - avec ses objets singuliers, ses albums parfois enregistrés au dictaphones et ses images relevant souvent du montage sauvage, du collage à l'arrache, du brut d’informatique sommaire. Au milieu de tout ça une pochette m’a chopé l’œil. Simple, presque sobre au milieu de ce déchainement de couleurs primaires ; sensuelle très simplement ; une religieuse nue, le sexe caché par un triangle noir mais le vêtement ouvert en grand dévoilant tout son corps. Un nom : Zühn. Et un titre : Los Sueños, Lucifer. "Los Sueños" signifie : Les Rêves... Mon imagination était lancée. Et l’écoute du disque – au son qui plus est cette fois pas du tout lo-fi, pas du tout surproduit mais très lisible, épais – n’avait rien fait pour la calmer… Quatre albums en quatre ans, tous disponibles uniquement en téléchargements gratuits. Aucune indication quant à qui jouait, depuis où… Une prédilection certaines pour l'alchimie des éléments – le feu, la glace – et les thèmes mystiques… Toujours, seulement : une image simple mais évocatrice ; des titres souvent allusifs, noms communs plutôt que phrases, explications. Une vibration prenante - pleine et aérée - dont la richesse se révélait au fil des écoutes. Un doute me venait sur les influences du groupe, ses possibles motifs… Et d’ailleurs était-ce bien un groupe ? Y avait-il vraiment du Earth ou du Morriconne, dans cette musique ? Ou bien des racines plus lointaines, communes à ceux-là – d'Amérique et d'Europe obsédées par un autre Orient ? D'où venait ce souffle vaste ? Cette hantise, cette aspiration que je croyais bien y sentir : d'une fusion, d’une immersion dans l’univers vivant ; aussi, cette conscience aigüe qui y rôdait : de notre solitude ? Renseignement pris – car notre époque permet aussi de contacter d’un seul clic ceux qui sans se cacher ne cherchent pas à s’étaler – Zühn est bien un seul homme - Simon ; la proposition fut lancée - et acceptée - d'une interview. De la quête d’une communion ; de l’incommunicable par les mots ; des guitares à deux sous qui en valent bien certaines autres ; de la musique non-payante mais jamais gratuite… De la nécessité de faire claquer le volume.
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Interview de VLADIMIR BOZAR'N' ZE SHERAF ORKESTAR

Dariev Stands › vendredi 8 mars 2013

Interview réalisée dans la foulée d'un concert de Vladimir Bozar’n’Ze Sheraf Orkestar & Igorrr à la Java, 11 Mai 2012
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Hellfest 2012 par Stéphane

Stéphane › mercredi 20 juin 2012

Le Hellfest inaugurait cette année un nouveau site plus grand et aux infrastructures nouvelles, le faisant entrer dans une dimension supérieure. Ce sont ainsi 115000 personnes qui se sont croisées sur l'ensemble des trois jours avec un pic de fréquentation de 45000 festivaliers le samedi pour Guns n' Roses. Récit d'un week-end chargé.
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Necroblaspheme - interview pour la sortie de leur album XXVI - the deeper, the better - mars 2012

Stéphane › mardi 27 mars 2012

A l'occasion de la sortie de leur nouvel album "XXVI : the deeper, the better", nous n'avons pas pu résister à l'envie de retourner interroger les p'tits gars de Necroblaspheme qui nous ont répondu collégialement. Au programme, un bilan du chemin parcouru depuis leur première interview sur guts of darkness, les difficultés pré natales du nouveau né et des explications sur l'ensemble de leurs choix artistiques qui en auront dérouté plus d'un.
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SJODOGG - Interview avec Dracunculus (guitares)

Nicko › lundi 7 janvier 2008

Voici un nouveau projet sorti tout droit de Norvège avec des membres de Crest Of Darkness et Enthral. Ils viennent de sortir leur premier album sur Osmose Productions il y a un mois, "Landscapes Of Desease And Decadence". Petite interview avec le guitariste et créateur du projet, Dracunculus !
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NEGATIVA - Interview avec le groupe.

Powaviolenza › vendredi 21 décembre 2007

Cette interview est assez spéciale, car date de Juillet dernier ! Certaines réponses sont donc obsolètes – le groupe a depuis fait d’autres concerts, et surtout un cinquième membre a intégré NEGATIVA : Roxanne Constantin (Augury, Quo Vadis). Voici le communiqué de Steeve Hurdle à ce propos : « Ici Big Steeve! C'est avec une joie immense que nous vous présentons notre chanteuse Roxanne Constantin, qui a travaillé par le passé avec Quo Vadis et Augury. Avec sa voix empreinte d'émotion, son amour et sa connaissance de la musique, Roxanne ajoutera de toutes nouvelles couleurs à notre son. Nous sentions qu'il était temps pour nous d'explorer de nouvelles avenues, et nous avons décidé d'apporter des changements significatifs à notre approche musicale. Nous composons maintenant à quatre, ce qui donne à notre son une dimension beaucoup plus large en raison des influences de chacun. Notre musique devient ainsi de plus en plus expérimentale, progressive et ambiante. C'est une évolution naturelle pour nous d'élargir notre son vers d'autres horizons, et nous avons très hâte de partager notre création avec vous tous. En juin dernier, le groupe est retourné au Studio Wild pour enregistrer la version instrumentale de trois nouvelles pièces: Deepen the mystery (9:46); The loss (14:56); …And the unknown (6:52). NEGATIVA sera de retour en studio au début de l'an prochain pour y enregistrer la portion vocale. » Anyway… Interview tout de même très intéressante même si j’aurais aimé y aborder la question du chant féminin ! Enjoy.
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WOLF EYES - Grrrnd Zero, 30 octobre 2007

Wotzenknecht › mercredi 31 octobre 2007

WOLF EYES + Akimbo + Undata + Café Flesh + Deadsons au festival Grrrnd Zero, Lyon, 30 oct 2007
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