Vous êtes ici › Les groupes / artistes › A › Anathema › Alternative 4
Anathema › Alternative 4
- 1998 • Peaceville records CDVILEM 73 • 1 CD
cd • 10 titres
- 1Shroud of false
- 2Fragile dreams
- 3Empty
- 4Lost control
- 5Re connect
- 6Inner silence
- 7Alternative 4
- 8Regret
- 9Feel
- 10Destiny
informations
Enregistré aux Windings en Janvier et Février 1998
line up
Vincent Cavanagh (chant, guitares), Daniel Cavanagh (guitares), Duncan Patterson (basse), Shaun Steels (batterie)
chronique
- metal atmosphérique
Avec cet "Alternative 4", les anglais poursuivent leur éloignement du metal et se dirigent vers une sorte de rock très propre et très travaillé avec un côté atmosphérique très prononcé et permanent. Les vocaux sont de plus en plus clairs et se marient parfaitement aux instruments. La production est particulièrement bien soignée, il y a un bon équilibre général entre les différentes pistes d'instruments et de vocaux. Les compos sont d'un bon niveau sans pour autant atteindre l'extase. On a souvent l'impression lors de l'écoute du CD que l'on a déjà entendu certains passages, mais le groupe s'en sort parfaitement et maîtrise totalement son sujet. De plus, il est facile d'accès et de ce fait, il s'agit de l'album à ce jour le plus commercial de la formation.
dernières écoutes
tags
Connectez-vous pour ajouter un tag sur "Alternative 4".
notes
Note moyenne 70 votes
Connectez-vous ajouter une note sur "Alternative 4".
commentaires
Connectez-vous pour ajouter un commentaire sur "Alternative 4".
- Code-12 › Envoyez un message privé àCode-12
Bien vu, le coup de l'hygienisme.
Et un sacré prétentieux : le melon du gars dans ses interviews, ses concerts ou à travers ses chansons. Impressionnant !
Entre lui et les frères Gallagher, le rock anglais a accouché de beaux spécimens de gars qui ne passent plus dans l'encadrement d'une porte.
Heureusement, il reste David Gilmour (presque trop modeste et pas assez ambitieux pour le coup, lui) et Anathema (et hop, on retombe sur nos pattes en revenant à m'album chroniqué).
Message édité le 13-09-2024 à 23:11 par Code-12
- Note donnée au disque :
- Coltranophile › Envoyez un message privé àColtranophile
Waters, c’est un hygiéniste. A partir de « Meddle » », déjà, la messe était dite. « Animals » est une forme d’apogée dans le genre. « The Wall », c’est un produit sous vide.
- Code-12 › Envoyez un message privé àCode-12
Je suis totalement en phase avec chaque phrase de Dioneo concernant les albums tardifs du Floyd sous emprise de Waters.
Je ne changerai pas un mot ! C'est l'expression exacte de mon ressenti.
- Note donnée au disque :
- Dioneo › Envoyez un message privé àDioneo
Pour clarifier : dans The Wall, y'a tout ce que je peux ne pas aimer chez le Floyd "tardif" - et que j'entends déjà sur certains passages de Wish You Were Here (Welcome my son/Welcome to the machiiiiiine...). Le côté vieux fond d'aigreur pontifiant qui remonte en nausée, les lamentations faux-cul - ou simplement déplacées - de vieux hippie qui se paye le luxe d'être déçu par le tournant que prennent les choses alors que le mec est désormais depuis un moment une rock-star bien à l'abri dans sa légende... Je ne dis pas que Waters n'est pas sincère ni que ses thèmes "sociaux" sont bidons en soi, hein - plus que dans la façon de la formuler, c'est la définition avant l'heure de tout ce à quoi les générations d'aujourd'hui répondent (parfois un peu automatiquement, c'est vrai) leurs "OK Boomer" parfois un poil désespérés voire exaspérés. Puis bon, musicalement - puisqu'on est là d'abord pour parler de ça - The Wall, je trouve ça pénible, de la grandiloquence mais en formes toujours très propres, du surligné à prétention, j'ai l'impression, de Grande Harmonie et d'OEuvre Totale... Bon, peut-être pas hein, je ne suis pas dans la tête de Waters (et j'ai pas envie d'y aller) mais ça m'a toujours donné ces impressions là.
Message édité le 13-09-2024 à 18:29 par dioneo
- zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
Je trouve The Final Cut incroyablement à chier ; Animals un chef d'oeuvre, The Wall aussi. Cela dit, j'ai tellement bouffé du The Wall depuis sa sortie, que je peux plus. Pour en revenir à ce Anathema, il me hérisse maintenant ( je le descendrais bien à 2 boules ).
- Note donnée au disque :