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Decadence › Where do broken hearts go ?
- 2005 • Cold meat industry CMI147 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
---|---|---|
novy_9 | jeudi 16 mai 2013 - 16:46 | |
Wotzenknecht | mardi 29 janvier 2008 - 01:29 | |
Werk | dimanche 25 novembre 2007 - 14:20 | |
Serge | mercredi 14 décembre 2005 - 01:38 | |
canardo | dimanche 13 avril 2008 - 22:36 | |
Shelleyan | mercredi 4 janvier 2006 - 04:20 |
cd • 10 titres
- 1Good boys go to Heaven-Sperm & honey
- 2Sin
- 3Happily !
- 4Cold winter sun
- 5Farewell of living
- 6By the time we sleep the deepest sleep
- 7Do not resist
- 8Everything I am
- 9When my hands seek yours
- 10With a dream and a gun
extraits audio
informations
Ecrit et enregistré par Decadence au studio Danceless, Grèce, 2004-2005.
CD+livret couleur 24 pages.
line up
Elias Negrin (guitares, arrangements), Petros "Evolution" (chant), Petros Sgardelis (guitares, arrangements), Eyphrosine Papamihalopoulou (chant)
chronique
Silencieux depuis leur précédent opus en 2003, les grecs de Decadence refont surface directement chez Cold Meat pour un album où sensualité rime avec finesse et mélancolie. La voix suave et monocorde de Petros 'Evolution' (une version romantique de Boyd Rice ?) récite des textes aux senteurs de poésie maudite, d'amours déçues et de douces perversions. En contrepoint la voix angélique d'Eyphrosine se lance dans des vocalises heavenly agréables et emportées pas les arrangements de cordes et de guitares folk ('Sin'). Ce mélange dark-folk/heavenly est pour le moins prenant et original, souvent réduit à sa plus simple expression (guitare, chant et claviers sur le très beau 'Cold winter sun') et parfois sublimé par des élans épiques et martiaux comme sur l'instrumental 'By the time we sleep the deepest sleep' et l'excellent 'Do not resist'. Sans vraiment tomber pleinement dans l'un ou l'autre de ces registres, Decadence joue sur une alternance d'envolées lyriques et d'accords folk posés avec une simplicité déconcertante. Cela dit, la conviction fait un peu défaut, peu de variations dans le chant masculin et celui d'Eyphrosine est quand même sous-exploité dans l'ensemble si l'on excepte les titres cités ou encore les magnifiques 'When my hands seek yours' et 'Everythin that I am'. Une belle oeuvre, musicalement et visuellement classieuse, un peu stérile si l'on cherche à tout prix l'originalité mais après tout plus que digne d'intérêt.
note Publiée le lundi 12 décembre 2005
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
- COMPLETEMENT cucul, guimauve et gay. j'adore
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- Werk › Envoyez un message privé àWerk
- Excellent, je vais essayer de me procurer les précédents albums.
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- Shelleyan › Envoyez un message privé àShelleyan
- Hé bien, quel changement, c'est nettement plus léger, plus gai que les précédents travaux...pas mal du tout mais un brin banal aussi, je préférais nettement leur côté supra dépressif...
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- Serge › Envoyez un message privé àSerge
- je trouve cet album tout bonnement magnifique !
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- Shelleyan › Envoyez un message privé àShelleyan
- Un nouveau Decadence ? Waooow !
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