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Kate Bush › Hounds of love

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Alfred le Pingouin      dimanche 10 juillet 2022 - 18:05
Fabb74      mardi 14 juin 2022 - 10:28
Raven      samedi 30 mai 2020 - 02:17
taliesin      lundi 4 février 2019 - 09:17
Aladdin_Sane      dimanche 3 février 2019 - 12:29
PechMayneau      vendredi 9 mars 2018 - 02:22
Jean Rhume      vendredi 30 décembre 2011 - 18:12
benni      mardi 28 juin 2011 - 09:26
Aiwass      dimanche 1 avril 2007 - 09:33
serviette2bain      mercredi 13 septembre 2006 - 23:43
Serge      samedi 11 juin 2005 - 10:18
P@sc@l      samedi 1 mai 2004 - 15:56
Shelleyan      lundi 19 avril 2004 - 01:25
GrahamBondSwing      dimanche 16 avril 2023 - 20:41
Richard      samedi 19 février 2022 - 18:13
Cera      samedi 29 janvier 2022 - 16:03
GuyLiguili      lundi 17 février 2020 - 11:12
SEN      mercredi 6 février 2019 - 21:01
Fryer      dimanche 3 février 2019 - 21:00
SuicidePrince      mercredi 25 novembre 2015 - 22:52
Vixn      vendredi 4 novembre 2011 - 23:25
Seijitsu      mercredi 27 octobre 2010 - 13:53
HGBDC      dimanche 11 avril 2010 - 17:32
Khyber      dimanche 10 mai 2009 - 18:31
torquemada      vendredi 21 mars 2008 - 18:19
DrMuller      samedi 30 juin 2007 - 14:27
lolita999      jeudi 20 mai 2004 - 21:21
vargounet      lundi 19 avril 2004 - 01:32
Progmonster      samedi 17 avril 2004 - 12:40
Nicko      samedi 5 février 2022 - 17:24
EyeLovya      dimanche 21 mars 2021 - 22:36
kaplan      jeudi 3 janvier 2013 - 18:38

12 titres - 46:13 min

  • 1/ Running up That Hill [A Deal With God] (5:03)
  • 2/ Hounds of Love (3:03)
  • 3/ The Big Sky (4:41)
  • 4/ Mother Stands for Comfort (3:08)
  • 5/ Cloudbusting (5:10)
  • 6/ And Dream of Sheep (2:45)
  • 7/ Under Ice (2:21)
  • 8/ Waking the Witch (4:18)
  • 9/ Watching You Without Me (4:07)
  • 10/ Jig of Life (4:04)
  • 11/ Hello Earth (6:13)
  • 12/ The Morning Fog (2:34)

informations

Windmill Lane Studio, Dublin, Irlande, 1984-1985

Il s'agit du pressage catonné japonais à tirage limité

line up

Brian Bath (guitare, chœurs), Kate Bush (piano, claviers, chant), Paddy Bush (harmonica, mandoline, violon, balalaika, didgeridoo, chœurs), Stuart Elliott (batterie), Dave Lawson (arrangements de cordes), Donal Lunny (bouzouki, bodhran), Charlie Morgan (batterie), Alan Murphy (guitare), Liam O'Flynn (cornemuse), Del Palmer (basse, chœurs), Morris Pert (percussions), Danny Thompson (UK) (basse, contrebasse), Eberhard Weber (basse), Jonathan Williams (guitare, violoncelle), Youth (basse), John Carder Bush (voix, narrateur), Richard Hickox (choeurs), Kevin McAlea (synthétiseurs, programmation), John Sheaham (instruments à vent), Medici Sextet (cordes)

chronique

Ceux de ma génération savent de quoi je parle quand je dis que Kate a toujours fait rêver. Oh, bien sûr, il y a ses détracteurs. Et je ne peux pas leur donner tort à cent pour cent quand ils pointent du doigt le fait qu'en quelque sorte, si on l'admire tant, c'est parce que, quelque part, elle incarne un espèce d'idéal féminin, taillé sur mesure pour des hommes en manque d'affection et qui ont une vision faussement romanesque de l'amour. Le monde musical de Kate Bush, même si elle n'officie pas au Lido, c'est un peu strass et paillettes tous les soirs. Un décor factice, loin de personnalités engagées comme Patti Smith ou Joni Mitchell, qui, bien que dissemblables, ont su affirmer tout au long de leur carrière, une forte personnalité de femme, dans leurs différences propres, et non pas dans le conformisme et l'assouvissement d'un phantasme asservi aux besoins masculins. Pourtant, avec "Hounds of Love", on est loin des délires sado maso de "Babooshka". Si l'album contient un tir groupé impressionnant de tubes ("Running Up That Hill", "Hounds of Love", "The Big Sky" et malgré tout l'extraordinaire "Cloudbusting"), Kate n'a jamais paru aussi sûre d'elle, en pleine possession de ses moyens. La première face de l'album nous met déjà sur la piste avec un "Mother Stands for Comfort" époustouflant qui annonce une deuxième face, sous l'intitulé "The Ninth Wave", où la belle anglaise affiche clairement ses prétentions artistiques. Une deuxième partie de disque à l'aspect conceptuel, à priori ambitieux, aux titres presqu'instantanément enchaînés, aux atmosphères hantées et inquiétantes. C'est bien simple, de "And Dream of Shleep" à "Hello Earth", rien n'est à jeter. Chacun de ces titres sont prenants, et donnent littéralement vie au thème récurrent exploité ici, celui de l'aliénation, sous toutes ses formes possibles et imaginables. Si toutefois le disque se referme sur la note douce amère de "The Morning Fog", il le ponctue aussi de la plus belle manière qui soit. La réédition luxueuse de 1997 apporte six titres inédits dont l'apport ne semblait pourtant pas primordial.

note       Publiée le samedi 17 avril 2004

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Note moyenne        32 votes

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Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

Cette face B démentielle

Note donnée au disque :       
GrahamBondSwing Envoyez un message privé àGrahamBondSwing

Je pense qu'on ne souligne pas assez l'énergie incroyable que dégage cette musique. Jig of Life est peut-être mon titre préféré et pourtant la base celtique est plus un handicap qu'autre chose.

Note donnée au disque :       
julayss Envoyez un message privé àjulayss

.

Message édité le 15-07-2022 à 07:25 par julayss

julayss Envoyez un message privé àjulayss

C'est très bien Rosalia, en tout cas les 2 premiers albums (pas trop écouté le dernier)

Message édité le 15-07-2022 à 07:24 par julayss

Alfred le Pingouin Envoyez un message privé àAlfred le Pingouin

Stranger Qui? Connait pas

Note donnée au disque :