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The Mars Volta › De-loused in the comatorium

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FBI      samedi 5 janvier 2008 - 20:39
dorsia21h      samedi 20 octobre 2007 - 11:02
dondiguidon      mardi 1 mai 2007 - 21:10
El Davidodo      jeudi 5 avril 2007 - 08:29
ad2      lundi 27 novembre 2006 - 11:44
crumble72      mercredi 4 octobre 2006 - 22:00
merci pour le fusil...      lundi 24 juillet 2006 - 18:29
beetlejuice      lundi 1 mai 2006 - 10:46
Lord.Anubis      mardi 4 octobre 2005 - 01:22
torquemada      samedi 25 juillet 2020 - 12:48
superbuck      samedi 14 décembre 2013 - 17:56
Grandgousier      samedi 9 mai 2009 - 16:41
hellder      dimanche 8 avril 2007 - 23:23
Dun23      dimanche 26 novembre 2006 - 14:30
Ultimex      vendredi 13 mai 2022 - 23:09
NevrOp4th      dimanche 16 août 2009 - 23:16
SIKTH      mardi 9 octobre 2007 - 12:19
vargounet      mardi 28 novembre 2006 - 18:47
devin      samedi 8 juillet 2006 - 10:09
Saïmone      mardi 26 avril 2005 - 13:48
Progmonster      dimanche 21 septembre 2003 - 11:42
EyeLovya      mardi 7 novembre 2023 - 16:00
julayss      jeudi 29 décembre 2005 - 12:02
mass culture      mardi 20 septembre 2005 - 11:13

10 titres - 60:45 min

  • 1/ Son et Lumiere (1:35)
  • 2/ Inertiatic ESP (4:23)
  • 3/ Roulette Dares [The Haunt Of] (7:30)
  • 4/ Tira Me a las Arañas (1:28)
  • 5/ Drunkship of Lanterns (7:05)
  • 6/ Eriatarka (6:20)
  • 7/ Cicatriz ESP (12:28)
  • 8/ This Apparatus Must Be Unearthed (4:57)
  • 9/ Televators (6:18)
  • 10/ Take the Veil Cerpin Taxt (8:41)

informations

The Mansion, Laurel Canyon, Los Angeles, Californie, USA, 2002

line up

Lenny Castro (percussions), Flea (basse), John Frusciante (guitare), Jon Theodore (batterie), Cedrix Blixer Zavala (chant), Omar Rodriguez-Lopez (guitare, chant, percussions), Jeremy Michael Ward (claviers), Ikey Isaiah Owens (claviers), Justin Meldel Johnson (contrebasse)

chronique

  • alternatif

Je vous le disais, j'ai eu la chance infinie de tomber sous le charme d'un groupe déjà mort né (The Dismemberment Plan) dont le troisième album, "Emergency & I", je le dis et le répète, est tout simplement prodigieux, au moment où l'on me vantait à tire-larigot les mérites de ce Mars Volta qui m'était complètement inconnu et qu'il me fallait donc absolument découvrir. "De-loused in the Comatorium", il faut être sourd pour ne pas l'entendre, est un album ambitieux. Et dans la monotonie ambiante, c'est déjà un (très) bon point. Seulement, comme le suggèrent les premières lignes de ma chronique, ce premier disque de Mars Volta va souffrir, hormis de ma mauvaise foi crasse, d'un fâcheux concours de circonstance qui fait que, disons, j'ai eu la malchance de les découvrir au mauvais moment. Mené par Omar Rodriguez-Lopez et Cedric Blixer Zavala qui viennent incontestablement de quitter pour un mieux At the Drive-In, l'album est outrageusement complexe, fouillé, très technique et virtuose. Mais, et c'est l'impression qu'il me donne, il demeure avant tout un album de musiciens qui aiment s'entendre (se la) jouer. Par contre, je ne suis pas parvenu à percevoir les multiples influences qu'on leur attribue généralement, excepté de persistants pastiche de Santana, ou alors elles ne sont pas aussi prépondérantes qu'on me l'avait promis. Et à part la mise en exergue de leur savoir-faire, je n'ai pas trouvé grand chose à me mettre sous la dent. C'est qu'il leur manque surtout un manque flagrant de nuances. On assiste en effet à un déferlement continu, parfois vite éreintant, de notes et de rythmes qui s'emballent, à quoi il faut ajouter un chanteur charismatique, ce diable de Cedric Blixer, qui se donne à fond dans ses meilleures émulations possibles de Jeff Buckley/Matthew Bellamy/Björk ! Irritant ou plaisant selon les sensibilités de chacun. Bref, je vais arrêter de tourner en rond et de punir injustement ce disque : sa densité est telle qu'elle justifie parfaitement de multiples écoutes. Mais peut-être m'en faudra-t-il encore une demi-douzaine avant de pouvoir m'avouer subjugé par cette heure de musique qui, en dépit des apparences et pour l'heure, me paraît somme toute assez linéaire et prévisible.

note       Publiée le dimanche 21 septembre 2003

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Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

Parfois ça me reprend de lui redonner une chance à cet album

kranakov Envoyez un message privé àkranakov

Première - longue... - écoute. D'emblée un peu rebuté par le mastering super écrasé, les effets de vocoder et la voix vraiment très en avant de Cédric. Les syncopes et changements de rythme le font grave et la guitare assure. A voir dans la durée...

Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

Nouvelle tentative...

saïmone Envoyez un message privé àsaïmone
avatar

En fait c'est le seul qui s'écoute, celui là. Pas jusqu'au bout, mais ça reste agréable, les 3 premiers titres sont cool à la ATDI

Note donnée au disque :       
the_guts_of_darkness Envoyez un message privé àthe_guts_of_darkness
depuis le temps que ça me taraude, j'ai enfin pretté une oreille sur the mars volta et donc sur ce "de-loused...". et ce fut une agréable surprise. c'est tout simplement vachement bien foutu. même si l'album est fouillé et assez complexe dans l'ensemble, je trouve que ça reste terriblement accrocheur. peut-être que cette adhérence presque immédiate que j'ai eu avec cet album jouera en sa défaveur sur la durée, laissant un disque avec lequel je me lasserai assez vite. on verra bien...