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Ruins (JAP) › Symphonica
- 1998 • Tzadik TZ 7215 • 1 CD
détail des votes
| Membre | Note | Date |
|---|---|---|
| blub | jeudi 5 novembre 2015 - 14:00 | |
| cyprine | mardi 30 décembre 2008 - 10:25 | |
| Antropophage | vendredi 11 novembre 2005 - 15:38 | |
| ogami | samedi 16 octobre 2004 - 11:35 | |
| mroctobre | lundi 18 novembre 2002 - 19:08 | |
| Saïmone | jeudi 5 novembre 2015 - 14:01 | |
| snooky | mercredi 11 février 2009 - 19:16 | |
| julayss | jeudi 22 décembre 2005 - 19:53 | |
| DukeOfPrunes | mercredi 23 novembre 2005 - 20:48 | |
| Progmonster | jeudi 16 mai 2002 - 16:38 | |
| taliesin | vendredi 11 juillet 2003 - 19:49 |
8 titres - 57:19 min
- 1/ Thebes (7:40)
- 2/ Graviyaunosch (6:21)
- 3/ Big Head (7:34)
- 4/ Praha in Spring (4:37)
- 5/ Thrive (5:00)
- 6/ Infect (10:13)
- 7/ Brixon Varromiks (8:41)
- 8/ Bliezzaning Moltz (7:12)
informations
Gok Sound Studio, Tokyo, Japon, fin 1997
line up
Aki Kubota (chant), Kenichi Oguchi (claviers), Hisashi Sasaki (basse), Tatsuya Yoshida (batterie, chant), Eleonola Emi (chant)
chronique
- jazzcore > expérimental > noise
"Symphonica" n'est pas un album comme les autres. Il serait d'ailleurs curieux de savoir comment Tatsuya Yoshida a débouché sur un tel projet. Habituellement orchestré autour des maltraîtances répétées d'une batterie possédée et d'une basse insoumise, Ruins s'étoffe exceptionnellement par la présence d'un claviériste, et fait encore plus extraordinnaire, deux chanteuses (dont l'une débauchée du groupe rival ; Bondage Fruit). Dans un tel contexte, les influences progressives sont difficilement dissimulables, et l'attachement à la scène Zeuhl est désormais évidente. Ce qui est plus étonnant, c'est que ces renforts proviennent, ni plus ni moins de Koenji Hyakkei, un des nombreux groupes annexes conduit aussi par Yoshida et qui se prête justement à ce genre de jeu. Alors, "Symphonica" serait-il un album de Koenji Hyakkei sous le nom de Ruins ? Ce serait plutôt Koenji Hyakkei qui interpréterait à sa manière les titres les plus fameux de Ruins. Ainsi, "Thebes", "Graviyaunosch" ou "Big Head" se révèlent sous un autre jour. Et il en va de même pour "Infect", "Bliezzaning Moltz" ou "Brixon Varromiks", ce dernier perdant peut-être un peu au passage de sa pugnacité. Un album à recommander pour ceux qui veulent que leur musique reste indomptable, énergique et loufoque à la fois.
note Publiée le samedi 4 mai 2002
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- saïmone › Envoyez un message privé àsaïmone
La tronche de l'Alien, découvrant ça, ça te coupe l'appétit !
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- blub › Envoyez un message privé àblub
Rajoujoute une bouboule! (p*tain c'est ça qu'il faudrait envoyer dans les sondes spatiales)
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- blub › Envoyez un message privé àblub
Bien m'a pris d'approfondir mon Tatsuya dernièrement, j'était complétement passé a côté de cet album... Le meilleur de Ruins et de Koenji Hyakkei réunis en une seule pépite. Génial!
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- vincenzo › Envoyez un message privé àvincenzo
Les Ruins ! fascinant ! Je sais que ça peut saouler certain... Pour moi, un duo avec un véritable univers, qui s'est éloigné de ces racines hardcore punk pour atterrir sur Kobaïa si tu aimes celui là : en avant vers Koenji hyakkei. Quel batteur quand même ! non ?
- snooky › Envoyez un message privé àsnooky
Album d'une puissance et d'une énergie hors du commun, qui virevolte dans tous les sens et finit par vous filer le tournis. Personnellement,je n'ai pas écouté les autres albums de Ruins, mais franchement, celui là, c'est un vrai tsunami... Géant.
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