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Morrisound, Tampa, Floride
Stéphane Buriez (chant, guitares), François Jamin (basse), Nicolas Leclercq (guitares), Thierry Pinck (batterie)
Rahlàlà, qu'est ce qu'elle est pas agréable cette chronique ! Les internautes vont finir par croire que je crache sur tout ce qui est français (attendez mes chros de Massacra héhé) et plus particulièrement sur Loudblast. Mais autant vous livrer le fond de ma pensée : en 87 les Loudblast faisaient du Thrash, en 91 du death, en 93 ils passent au mélo... Stephane Buriez monte Clearcut au moment ou le power/neo était en vogue, et voilà que le groupe se reforme maintenant que l'extrême s'est démocratisé... Loin de moi l'idée de lancer un quelconque débat, ces zicos font ce qu'ils veulent, mais le résultat est là : ce "Disincarnate" est un album sympa sans plus, je me risquerai même à le qualifier de "seconde zone". Old school jusqu'à l'os, dôté d'un son assez mauvais (le Morrisound aura massacré comme transcendé un paquet de disques comme çà), le disque manque réellement de relief. Et même replacé dans le contexte de l'époque, franchement, comparé à un Morgoth, Morbid angel, Obituary ou tout simplement leurs compatriotes Massacra, ce "Disincarnate" manque carrément de patate. Alors certes le son poisseux apporte une aura particulière à l'album, et certains morceaux sont vraiment bons, malheureusement placés en dernier : "Disquieting beliefs", "Wrapped in roses", "Shaped images of disincarnate spirits", mais il m'est personnellement bien difficile de repasser ce disque plus d'une fois par mois...
note Publiée le lundi 23 février 2004
Note moyenne 10 votes
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POurquoi ces cartes postales chez pocket ? Elric, Dune. Pourquoi pas une carte postale Loudblast ? Sinon, jamais accroché. Sauf cross the threshold... Pourquoi ? Parce que c'est passé à la radio à ce moment où j'écoutais du thrash...
Clair.
Pochette de Siudmak, tout lecteur de cette époque de SF reconnaît sa patte.
Album quasi parfait du début jusqu’à la fin. Tout en ambiance, tout en lourdeur avec un super son made in Morrisound bien d’époque. Les influences étaient flagrante ok mais la touche à la Loud ajoutait ce truc unique. Immense plaisir de se recaler ce Disincarnate qui aura marqué la scène death française et encore meilleur maintenant après plus de 25 ans. Génial la pochette aussi !
Suis justement en train de me le réécouter à l'instant même. Il y a des longueurs, certes, mais bon sang, ne fut-ce que pour le 1er titre qui déchire tout !