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Iggy and The Stooges › Raw Power
- 2001 • Columbia records 505056 2 • 1 CD
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asharak | mardi 27 juin 2023 - 21:00 | |
Venomesque | samedi 27 juin 2020 - 18:55 | |
GrahamBondSwing | lundi 18 mai 2020 - 22:42 | |
Mike Darc | jeudi 29 mars 2018 - 12:27 | |
Shelleyan | dimanche 25 décembre 2016 - 10:04 | |
Bernard | jeudi 6 mars 2014 - 14:54 | |
Valer Daviep | dimanche 13 janvier 2013 - 16:21 | |
Karamazov | mercredi 19 octobre 2011 - 22:12 | |
NevrOp4th | samedi 8 janvier 2011 - 11:55 | |
The Hillbillyblues | mardi 29 juin 2010 - 15:24 | |
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Buko | dimanche 1 novembre 2009 - 14:44 | |
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Ayler | jeudi 4 octobre 2007 - 14:53 | |
Schtroumpf Grognon | vendredi 31 août 2007 - 12:05 | |
Gaylord | lundi 6 août 2007 - 00:39 | |
fc | lundi 14 mai 2007 - 19:33 | |
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jeanfi | vendredi 18 août 2006 - 15:22 | |
Deckard | mercredi 9 août 2006 - 18:29 | |
Macbeth | jeudi 5 janvier 2006 - 23:45 | |
DukeOfPrunes | samedi 31 décembre 2005 - 18:30 | |
NAGAWIKA | vendredi 30 décembre 2005 - 19:59 | |
Trimalcion | jeudi 29 décembre 2005 - 23:34 | |
torquemada | lundi 9 février 2004 - 18:29 | |
Thirdeye | lundi 13 février 2023 - 21:52 | |
Int | mercredi 18 janvier 2023 - 21:55 | |
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Seijitsu | mardi 17 avril 2012 - 18:43 | |
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Raven | mercredi 18 novembre 2009 - 01:43 | |
Demonaz Vikernes | mercredi 11 novembre 2009 - 21:46 | |
shinjuku thief | jeudi 24 septembre 2009 - 21:19 | |
GinSoakedBoy | lundi 27 avril 2009 - 20:40 | |
boumbastik | lundi 21 janvier 2008 - 14:18 | |
porc upin | jeudi 31 août 2006 - 16:40 | |
Guy Liguili | jeudi 16 octobre 2008 - 22:26 | |
Aiwass | dimanche 5 août 2007 - 15:18 | |
SangNord | vendredi 27 octobre 2006 - 07:48 | |
heirophant | samedi 8 avril 2006 - 14:22 | |
sergent_BUCK | samedi 31 décembre 2005 - 18:42 | |
_Fred_ | jeudi 7 septembre 2006 - 13:46 | |
born to gulo | vendredi 7 août 2020 - 13:06 |
cd • 8 titres
- 1Search and destroy
- 2Gimme danger
- 3Your pretty face is going to hell (originally titled "hard to beat")
- 4Penetration
- 5Raw power
- 6I need somebody
- 7Shake appeal
- 8Death trip
informations
CBS Studios, Londres, Royaume-Uni, 1972.
line up
Ron Asheton (basse et chant), Scott Asheton (batterie), Iggy Pop (chant), James Williamson (guitare)
chronique
Les Stooges ne se sont pas vraiment remis de l'expérience extrême nommée "Fun house", et ça se comprend. Tout de suite après l'enregistrement de leur brûlot, Iggy fait une petite crise de mégalomanie, fout à la porte le bassiste Dave Alexander, plus assez impliqué, ainsi que Ron Asheton le guitariste, puis découvre le monde merveilleux des drogues dures. Bilan : le groupe a de facto cessé d'exister. Pourtant, alors que les Stooges sont au plus bas, David Bowie, admiratif, qui voit alors tout ce qu'il touche se transformer en or, les aide à se relever en leur donnant l'occasion d'enregistrer "Raw power". Pour cet utime coup d'éclat, Iggy Pop sort de sa manche son joker : le guitariste heavy James Williamson, tirailleur impitoyable qui marque ce célèbre disque de son arme. Ron Asheton revient in extremis par la fenêtre et, privé de sa guitare, se défoule en tenant une basse agressive et vengeresse. Mais le plus grand atout de "Raw power", c'est bien évidemment Iggy Pop lui-même, qui n'a jamais chanté comme ça auparavant, enfin quand je dis "chanter"... tour à tour, il hurle, murmure, vocifère, part dans les basses les plus gutturales ou les aigus les plus stridents. C'est la grande diva punk, celle qui était capable, pour attirer son public, de se donner entièrement à lui en y faisant le grand plongeon, ou au contraire de passer tout un concert en lui tournant le dos. Oui, du punk. On est en 1973 lorsque sort cet album, et alors ? Sex, drugs & rock 'n' roll, c'est l'hymne national remis au goût du jour et balancé par des Américains qui l'éructent depuis la petite Angleterre trop tranquillement embourgeoisée, engluée qu'elle est par le succès des Pink Floyd, Mike Oldfield et autres Yes (yeurk !). Puissance de feu destructrice, heavy-rock rageur faisant passer Led Zeppelin pour un aimable backing-band de crooner (ce qu'ils sont ?). Cette musique est assurément celle des accès violents, de l'énergie animale et féroce qui sommeille en chacun de nous. Ecorchement, fracas, désarticulation, cruauté crue, "sex machine" version rock. Ce disque se dérobe à l'analyse, il se vit comme l'expérience la plus intense. Regardez le titre des morceaux, bon sang ! On n'a jamais conçu plus beau programme.
note Publiée le jeudi 29 décembre 2005
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Note moyenne 48 votes
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- asharak › Envoyez un message privé àasharak
Jamais aimé le mix de Bowie, seul celui d'Iggy trouve grâce à mes oreilles. Le disque mérite enfin son titre.
Message édité le 27-06-2023 à 21:20 par asharak
- Note donnée au disque :
- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
Evidemment qu'on peut trouver encore pire ! Ce n'est pas une raison pour accepter qu'après "The Weirdness", Iggy continue à salir le nom des Stooges avec cet album dont les morceaux oscillent entre le très dispensable et le franchement lamentable. Ce qui fait le plus mal, ce sont les interventions de Steve McKaye au saxo, plus proches de la fanfare de carnaval que des assauts meurtriers de "Fun House".
- Note donnée au disque :
- Shelleyan › Envoyez un message privé àShelleyan
Catastrophe, tout de même...C'est sûr qu'il n'est pas excellent mais j'ai franchement entendu pire comme album de rock.
- Note donnée au disque :
- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
Je suis en train de jeter une oreille à "Ready To Die", c'est une catastrophe (même si ça n'est pas vraiment une surprise).
- Note donnée au disque :
- Lord Tom › Envoyez un message privé àLord Tom
la version remastered est une incroyable catastrophe