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Antonio Vivaldi (1678-1741) › Stabat mater

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Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
taliesin Envoyez un message privé à taliesin...

@bouclelunaire : clap clap clap ! Bravo, rien à ajouter, magnifiquement commenté, je plussoie comme on dit de nos jours ;-)

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Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
Moonloop Envoyez un message privé à Moonloop...

Il y a un aspect très "lumineux" chez Vivaldi... Sa musique est à la fois vivante et vivifiante. Elle véhicule une grande énergie, une force dans le rythme, une aisance, une "justesse" à travers les humeurs parcourues. Un aspect très aérien aussi; versatile mais toujours dans la clarté et la sincérité de l'expression... Ce que Sheer-Khan a résumé dans le terme "d'évidence"... Pour ce qui est des 4 saisons, je crois que la pièce a été un peu dénaturée, comme tant d'autres dans le "classique". Plus d'un serait pris d'éructations dès l'entame et pourtant, cette œuvre aussi est un monument (après, c'est selon la sensibilité de chacun, bien sûr)...

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Anomaly Envoyez un message privé à Anomaly...
=')
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Arno Envoyez un message privé à Arno...
Y a un "que" en trop...
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Arno Envoyez un message privé à Arno...
Ce que je voulais dire, c'est que sur GOD, la note en bas d'une chronique de musique "classique" et que la chronique elle-même font toujours référence à la composition et pas à l'interprétation... Comme tu l'auras remarqué, les remarques sur l'interprétation sont dans "remarques"...
Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
juj Envoyez un message privé à juj...
merci ;-) et puis ça a son importance parce que si ici je mets 5 au lieu de 6 (la partoche ? 60/6, pas moins), ds le cas des 4 saisons (et peut-être, je n'ose l'imaginer, de certaines interprétations du stabat, que je prie pour ne jamais entendre) c'est parfois le grand écart, on trouve des horreurs qui expliquent tout à fait que certains y soient allergiques ; ach, maintenant ça me revient, l'autre fois juste avant le concert de scorn j'ai dû subir ds un bar une version avec beat electronica pseudo-lancinant du stabat ... le sacrilège, ç'a parfois du bon ... et parfois non, NOM DE DIEU ! AU GIBET !
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darkoverwestphalia Envoyez un message privé à darkoverwestphalia...
dans l'absolu, je serai d'accord avec la logiqu de jul. Seulement, la variété d'enregistrements pour une oeuvre est si grande que la probabilité que la personne désirant apporter son petit commentaire aie réellement écouté l'enregistrement en question est assez faible. Donc, notez ce que vous voulez, mais précisez ce que vous notez (comme tu l'as fait).
Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
juj Envoyez un message privé à juj...
ah ben (arf) moi j'l'entends pas comme ça, l'imagette et le tracklisting sont pas ceux d'une participation, en plus le site m'aide il est précis : il parle d'objets (d'art) chroniqués ; et il indique la ref harmonia mundi, le "line-up" ...; on critique bien la prod sur ts les disques non-classique, et tant mieux - enfin pour parler juste pour moi je suis pas musicologue malgré de longues années de solfège, je ne saurais critiquer une partoche (d'ailleurs je l'ai pas, hihi), mais ce que j'entends, comme je peux j'en parle ; la musique n'est pas qu'une formule, faut qu'elle prenne réalité, et tous les interprètes ne lui donnent, c'est une évidence que tu m'accorderas, pas la même forme sensible - oulà, va falloir bientôt demander l'avis d'eros necropsique, hoho, hem
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Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
Arno Envoyez un message privé à Arno...
Hé ben faut mettre 6 mon gars, parce qu'ici, on critique la partition et pas l'interprétation...
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juj Envoyez un message privé à juj...
bon, j'aurais mis 6 si c'était la version James Bowman,indépassable, j'aime moins le Scholl ... mais sur çui-là ya quand même sileant zephyri qu'est une splendeur, o mai cessate pas dégueu non plus mais j'connais les versions Gérard Lesne et surtout Derek Lee Ragin (le King pour les cantates du père Tonio) ; et la version Bowman comprend un Nisi Dominus de toute beauté . et puisque d'aucuns parlent des 4 sais' , faut écouter ça par Trevor Pinnock/the english concert, ou il Giardino Armonico, ç'a une autre trempe que la version ronronnante veneziano qu'on édite au kilomètre , c'est du violent ...
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Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
darkoverwestphalia Envoyez un message privé à darkoverwestphalia...
Et les "leçons des ténèbres" de Couperin, je suis assez d'accord pour dire qu'on a une représentation assez parfaite de ce que peut être la beauté absolue au service du sombre..enfin ...hmmm...sauf ceux qui ne supportent pas le registre contre-ténor..
Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
darkoverwestphalia Envoyez un message privé à darkoverwestphalia...
Ceci dit, les quatre saisons sont sublimes également
Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
Hymnos Envoyez un message privé à Hymnos...
Moi aussi je l’ai celui-ci parce que Vivaldi c’est une de mes idoles et que Vivaldi ce n’est pas que "les quatre saisons" et que Vivaldi ce n’est pas non plus que l’inventeur du concerto… c’est aussi plein plein de musiques sublimes et tellement vivantes, notament religieuse. Cette version je l’ai acheté sur les conseils de la presse spécialisée tant il est vrai qu’une œuvre classique ne se suffit pas à elle seule, il faut aussi l’interpréter… et là, c’est, c’est… comme tu dis sheer-khan "un monument".
Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
marine-mia Envoyez un message privé à marine-mia...
C'est fascinant. J'apprécie beaucoup les "Quatres saisons", d'ailleurs c'est avec Vivaldi que j'ai découvert le classique et l'intensité que cette musique nous offre.
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Antonio Vivaldi (1678-1741) - Stabat mater
Dan le Sale Envoyez un message privé à Dan le Sale...
Vivaldi...pas aimé çui-là pendant longtemps jusqu'à ce disque justement...Merde! Vivaldi c'est pas que le gars qui a écrit les Quatre (barbantes) Saisons. Ce Stabat Mater, je le range à côté du Requiem de Berlioz et des Leçons de Ténèbres de Couperin eu rayon des musiques les plus sombres, les plus émouvantes, les plus larmoyantes de la musique. J'en deviendrais presque croyant tellement c'est beau! Le disque nous gratifie aussi de quelques autres bons moments comme cette Cantate "Cessate, omai cesate" qui est un vrai petit bijou avec ses violons aériens qui sont un écrin parfait pour une superbe mélodie et la voix d'Andreas Scholl.