Les objets chroniqués

Vous êtes ici › Les groupes / artistesBBillie HolidayLady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique) › Vos commentaires

Billie Holiday › Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)

vos commentaires

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Dioneo Envoyez un message privé à Dioneo...
avatar

Ah ! Ben après je l'avais donc perso acheté en (grosse) boutique - justement en tombant dessus au détour d'un tour de courses-de-noël ou quelque chose du style, si je me rappelle bien... Mais j'imagine qu'il se trouve aussi dans des échoppes plus avouables, ouip. (Bon, en tout cas évidemment qu'en effet ça vaut le coup, vue l'inépuisable qu'on y trouve, hein).

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Sigur_Langföl Envoyez un message privé à Sigur_Langföl...

Merde, Dioneo, les patisseries, on achète pas sur la toile, on perd la fraicheur! Pense petit-commerce-régional-équitable, que diable! (Hum - remarque, je dis ça, mais pour vingts de vos écus, je dois pouvoir faire un effort: ça fait vraiment pas cher le macaron)

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Dioneo Envoyez un message privé à Dioneo...
avatar

Ben... En fait il se trouve facilement à moins de 20 euros ! Je l'avais chopé pour à peu près ce prix là en fnuck et c'est dans les mêmes eaux sur une plateforme de vente en ligne assez connue.

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Sigur_Langföl Envoyez un message privé à Sigur_Langföl...

Ouuuuuh le beau coffret avec Gloomy Sunday dedans! Je vais demander à mon patissier s'il l'a pas en stock, tiens. Pas donné j'imagine, mais il y a de quoi se faire péter le bide jusqu'aux fêtes, alors bon j'en aurai pour mon argent.

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Dioneo Envoyez un message privé à Dioneo...
avatar

Eh eh, oui, il a cet effet "repasser un disque en boucle sans arrêt"... Pas forcément le même pour tout le monde, ni tout le temps le même selon les moments, en fait (même si perso, ça a été un moment le septième, pas longtemps après l'achat et une première écoute "extensive").

Content de lire aussi que d'autres y entendent davantage que la "légende sinistre de la Dame" ! Vu qu'il y a bien plus que ça, oui, chez elle.

EDIT : Et oui, ceci-dit, sa période d'après - je crois que j'en avais parlé à propos de l'album Lady Sings the Blues - sera celle ou les publicistes, éditeurs, maisons de disques... et peut-être bien elle-même il faut l'avouer, exploiterons plus exclusivement cet aspect "tragédie/ambiance plombée" de son art - et de sa vie, ses frasques. Ça n'empêchera pas qu'autre chose affleure encore, tente de percer à travers mais... Il est certain que ça étouffera cette multiplicité vivace qu'on entend pleine, intacte - et qu'on entend se trouver puis grandir, aussi - sur ce coffret.

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
caténaire Envoyez un message privé à caténaire...

Quel bonheur ce coffret. Le chemin de la découverte promet d'être long...Loin des éternels clichés blues/alcool, la lumière surgit de bien des compositions et c'est une impression de complicité, d'amour même, qui surprend l'auditeur...Le CD 3 doit passer en ce moment pour la 4eme fois, peut être ? :)
Parait que chez Verve après, ce ne sera pas le même folklore...

Note donnée au disque :       
Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Thomas Envoyez un message privé à Thomas...

A noter qu'il existe un coffret "The complete Masters 1933 - 1959" de 15 CD pour une quarantaine d'euros, perso j'ai celui là et je le recommande chaudement.

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Dioneo Envoyez un message privé à Dioneo...
avatar

(Décidément, après Robert... Even Twilight gets the blues, eh eh...).

Ce qui est beau avec ce coffret, aussi, c'est qu'il nous la rend dans toute la diversité de son talent, de son expressivité. Cette amertume dont vous parlez est là, déjà - c'est indéniable - mais pas que. Sur les plages des débuts - en gros je trouve qu'un truc change à partir de 1936, quelque chose se passe à ce moment là - on entend encore souvent une légèreté qu'on lui connaît peu, généralement négligée quand on en vient à parler d'elle. Dès le début, c'est sur, il y a ce truc souffrant, dans sa voix, oui... Mais à cette période là, ce trait-ci n'est pas encore devenu une image figée qui empêcherait de l'entendre quand tout le reste s'exprime. (Disons qu'alors quand elle parle d'elle, on n'entend pas à chaque syllabe, en bourdon : destruction... C'est surprenant et c'est un plaisir rare, à chaque fois, de s'en rappeler).

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Shelleyan Envoyez un message privé à Shelleyan...
avatar

La GRANDE Billie Holiday !!!! L'une des rares artistes du genre à figurer dans ma collection...Comme dit Dariev, il y a une pointe d'amertume dans sa voix qui est simplement irrésistible. Elle dégage quelque chose d'unique, de triste et recueilli...

Note donnée au disque :       
Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
Dioneo Envoyez un message privé à Dioneo...
avatar

(Oh ? Imperator, carrément ! Non mais oh, ah, bon... My pleasure. Cimer).

L'absence de Strange Fruit est donc une pure question de droits, hein, je pense. Columbia avait refusé de sortir "ça" à l'époque (mauvaise pub dans les états du sud, l'affaire... "Bizarrement"... La boîte craignait sûrement que ça nuise aux ventes dans ce coin là...). Du coup, z'ont pas pu la mettre sur leur intégrale.

Billie Holiday - Lady Day : The Complete Billie Holiday On Columbia (1933-1944) (Chronique)
dariev stands Envoyez un message privé à dariev stands...
avatar

On ne l'arrête plus ! Impérial Dioneo ! De Billie Holiday, j'ai surtout retenu la façon de chanter... juste unique. Différente, tout simplement. Avec une amertume à la Piaf, mais encore autre chose derrière, un truc qui vient d'on ne sait pas trop où. Strange Fruit pourrait expliquer (10 cd et elle est absente ? Dur, quand même), mais ça serait trop facile. En tout cas en musique sombre, c'est du dévastateur, pas de doute.