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N.W.A. › Straight Outta Compton
vos commentaires
- luapluap › Envoyez un message privé à luapluap...
Faut surtout acheter Effil4zaggin, le deuxième album sur lequel les prods sont magnifiques. Album sous estimé et Dre, je le redis, est incroyable dessus.
- Shelleyan › Envoyez un message privé à Shelleyan... Shelleyan est en ligne !
En fait, c'est dommage qu'il manque 'Alwayz into something', du coup, on doit plutôt acheter un best of que celui-ci (oui, c'est du vécu)
- dariev stands › Envoyez un message privé à dariev stands...
Ouais, j'élargis à 87-94 moi. La house music, le hip-hop à samples qui explose, madchester, la house music encore, l'acid house, les machins ambient-dub inclassables mais encore bien frais voire drôles, KLF, la house music, Psychic TV qui sort 50 albums, l'eurodance (ben quoi ? qui n'a jamais eu 7 ans en 92 me jette la pierre) Skinny Puppy qui vire dégueu, l'indus qui effectivement mute avec tout ça, etc etc... y'avait encore une "unité", ce que 1994 allait définitivement enterrer.
- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo... Dioneo est en ligne !
Oui, je pense qu'on est d'accord là-dessus... Ça partait vraiment dans tous les sens et les producteurs (au sens de ceux qui faisaient la musique) de cette période se permettaient des trucs bien plus fous - dans un contexte "mainstream", j'entends - que ce qui s'est fait ensuite... Les trucs du Bomb Squad entre autres, oui, c'était quand-même sacrément audacieux, de sortir ça sur un label dont l'idée était nettement de cartonner niveau ventes etc. (et ça a beau être un, euh "exemple extrême", ça ne fait pas tache dans ce qui a pu sortir par ailleurs à ce moment là).
- Coste › Envoyez un message privé à Coste...
C'est vrai que le propos, le contexte social n'est pas exactement le même mais l'énergie est la même. La fin des années 80 quoi...quelque chose d'ultra-téméraire qu'on ne retrouve plus du tout dans les productions lissées d'aujourd'hui.
Notez bien cette période : 88-92. Quelque chose de fou, de totalement spontané dans la production à mettre en parallèle avec l'indus de la même période.
- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo... Dioneo est en ligne !
En moins délinquant, pour le coup, Terrordome... Mais oui, ce morceau est bien cintré, sinon (dans une veine "putain j'en ai ras-le-cul, je nique tout").
- Coste › Envoyez un message privé à Coste...
C'est bien vrai que le titre éponyme est une sacré tuerie. La voix nasillarde de Eazy-E est une incitation à la délinquance.
Dans la même veine couillue sous-crack : Welcome to the Terrordome de Public Enemy.
- nowyouknow › Envoyez un message privé à nowyouknow...
J'aimerais bien savoir comment ils abordent les embrouilles entre Eazy-E et Dre à l'époque de The Chronic. Ce bon vieux Eazy E avait consacré un album entier à s'acharner sur Dre, saluant la "mort" de son ex-pote sur la pochette et glissant au passage dans l'artwork une photo de Dre plutôt ambigüe sexuellement, ça vaut le détour et le coup d'oreille...
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- Alfred le Pingouin › Envoyez un message privé à Alfred le Pingouin...
Tiens, au passage, y en a comme moi qui ont subi le film...euuuuh spot publicitaire de 2h pour Dr Dre?
- Shelleyan › Envoyez un message privé à Shelleyan... Shelleyan est en ligne !
Moi qui n'aime pas le rap, je dois dire que le titre 'Straight outta Compton' est une tuerie...Dommage que le reste de ne soit pas de la même trempe.
- dariev stands › Envoyez un message privé à dariev stands...
ah, Jim Carrey n'a visiblement pas attendu Ice Cube pour savourer Napalm Death : https://www.youtube.com/watch?v=T9rdQdz7WRA
Bon, pas sur que NWA aient été aussi moqués à l'époque, par contre ;)
- dariev stands › Envoyez un message privé à dariev stands...
Nick Bullen a écrit une chro super journalistique de ce skeud...(!!) comme quoi y'a pas tant à se justifier de chro ce disque ici, Raven. Reste plus qu'à attendre que Ice Cube nous donne son avis sur "From enslavement to obliteration". Ce dont je ne doute pas bien sûr. Nicholas Bullen (Napalm Death, Scorn): “1988 was the year in which the hip-hop album came to fruition. But in a year characterised by solid competition, nothing could quite match the hardened funk and cavalier profanity of NWA’s Straight Outta Compton. A visceral stolen car-chase through a ghetto landscape of capitalism, drugs, misogyny and violence, the album was a boiling point which defined the nascent Gangsta Rap genre for the future.
The cyclic minimalism of Dr. Dre and Yella’s production gave a tip of the snapback to the preceding electro-inflected era but moved ahead with the urgency of the next minute, mixing a heady gumbo from the drive of sampled funk drum breaks and robotic drum machine, and the insistent repetition of funk guitar licks and horn lines. And despite the inconsistency in levels of quality (common to many of the hip-hop and rap albums of the era), the album contained a trinity of standout joints predestined for vehicle sound system rotation.
Opening the first side of the album, ‘Straight Outta Compton’, ‘Fuck tha Police’ and ‘Gangsta Gangsta’ (the distilled expression of the group’s raison-d’etre with its declamations of “”You don’t like how I’m livin’? Well, fuck you!”" and “”Life ain’t nothin’ but bitchez and money”") featured lyrics which escalated both the violence and the profanity, a conservative libertarian antithesis of the liberal rage of Hardcore Punk delivered at a relentless pace and with the direct potency of a cap to the gut by the thug-toned Ice Cube and MC Ren, and the nasal sex maniac Eazy E.
Retaining its power twenty five years after first hearing (via a cassette tape copied from Oakland, CA Anarchist Punks), the album remains the epitome of straight gangstaism.”
- Rendez-Moi › Envoyez un message privé à Rendez-Moi...
Tu dois essayer l'épo' et "We Can't Be Stopped", des Geto Boys alors ; ) . http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=14930
- stankey › Envoyez un message privé à stankey...
Qu'est ce que je peux me marrer en écoutant ça en bagnole, on parlait des 3 premiers titres, oui c'est vrai, c'est à se pisser dessus et pourtant c'est violent, grossier, arrogant, mais finalement extrêmement jouissif ^^ Je n'ai retrouvé ce feeling ni dans 'EFIL4ZAGGIN' (cette pochette !), aucun album d'ICE CUBE, et 'The Chronic' je ne m'en souviens plus...Reste en effet 'Eazy Duz It', du même panier: un des rares albums de Rap que j'aime toujours autant.
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- brighter_paëlla_now › Envoyez un message privé à brighter_paëlla_now...
Pendant les émeutes de 2005, mon prof de maths, qui avait une excellente émission de radio sur Canal B (Rennes) avait passé Fuck Tha Police, c'était cool.
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- E. Jumbo › Envoyez un message privé à E. Jumbo...
AIIGHT. Perso j'ai découvert NWA assez tôt avec leur greatest hits qui contient une bonne part de cet album, et ce serait assez difficile de décrire l'impression que m'a faite leur musique... Sans jamais avoir vraiment adoré, ça m'a toujours fait un effet particulier. Le parallèle avec le punk ou le thrash est franchement pas idiot, y a quelque chose de bouillonnant et crasseux chez ce groupe. Et, en effet, les 3 premiers titres forment un enchaînement dont on se relève difficilement. Mais je préfère tout de même le funk chaloupé de The Chronic.
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- nowyouknow › Envoyez un message privé à nowyouknow...
qu'est-ce qu'il braille ce zèbre?
mc ren faiasait parti de NWA hein...
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
Tout ca ne vaudra jamais Micko Black
- Raven › Envoyez un message privé à Raven...
grave ; en truc qui claque méconnu y a aussi "namedropping's fuckin' gay" l'pur 1er skeud de mc raven
- nowyouknow › Envoyez un message privé à nowyouknow...
pas fan de rap 80's mais cet album passe très bien. le deuxième album est bien aussi, assez extreme avec leurs "real niggaz don't die" etc... sinon dans le genre bastos méconnue le premier ep de mc ren 'kizz my black azz' (lol) se place là.
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