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Enregistré au Sound Suite Studio 1999. Produit par Terje Refsnes.
Anita Auglend (chant), Glenn Nordbo (guitare, chant), Arild Christensen (guitare, chant), Ingfrid Stensland (claviers), Stig Johansen (batterie), Anders Thue (claviers), Ola Aarrestad (Bass) Musicien additionel: Pete Johansen (violon)
The Sins of Thy Beloved nous avaient déjà montré de quoi ils étaient capables avec leur dernier opus, à savoir "Lake of Sorrow" ; avec Perpetual Desolation, ils explorent de nouveaux horizons aux sonorités plus électroniques. En effet, cet album contient beaucoup plus de sons synthétiques, ainsi que plus d'originalité et de surprises. Conséquence de cette évolution, le groupe perd un peu de son côté émotionnel au profit d'une puissance accrue, bien sûr les belles mélodies romantiques n'ont pas disparu, mais ce n'est plus la clé de voûte de leurs compositions. Le violon est un peu moins présent, et utilisé de façon plus horrifique et les morceaux sont plus diversifiés, avec des structures plus complexes, et beaucoup plus d'arrangements. Le travail au niveau des vocaux est remarquable, la première chanson (The Flame of Wrath), en est le parfait exemple, où Anita Auglend nous enchante de sa voix angélique et où le vocaux masculins sont plus variés. Des effets sont d'ailleurs souvent utilisés sur les voix, ce qui est sans doute une des raisons à leur diversité. Comme je le disais avant, cet album est plus puissant, plus grandiloquent aussi, les amateurs de sobriété n'y trouverons certainement pas leurs compte. Terje Refsnes, toujours à la production pour ce genre de disque, a fait du très bon travail, leur donnant un son personnel et adapté au style. L'ambiance qui se dégage de la musique est plus torturée et inquiétante que sur "Lake of Sorrow" grâce aux nappes de synthé plus froides et à certaines parties vocales étranges (orgasme, rire, voix frêle). Les guitares sonnent moins doom et sont plus agressives, avec un son mis plus en avant. Ceux qui avaient trouvé "Lake of Sorrow" trop " mielleux " devraient donc tout à fait trouver leur compte avec ce Perpetual Desolation, pour ma part je les apprécie autant l'un que l'autre !
note Publiée le mercredi 15 janvier 2003
Note moyenne 11 votes
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Je fouille dans les vieilles archives de cd mp3 et là je tombe sur cet album dont une chanson m'avait choqué parce que ça mêlé cri orgasmique et délire au violon : cherché pas, Nebula Queen est le morceau du groupe à écouter.
l n'y a pas eu de split annoncé. mais c'est vrai que ça fait longtemps que l'on a aucune nouvelle => je confirme : Le groupe s'est dissout sans splitter. Il est ne léthargie en somme...
Un album d'une richesse incroyable pour le genre ! C'est diversifie, inspire... d'ou aussi le point faible a une telle profusion : c'est parfois ridicule, malheureusement... J'ai surtout un probleme avec la chanteuse -parfois seulement ! ne soyons pas injuste !- : les geignardises, "orgasmes" et autres soupirs plaintifs, moi, ca ne passe pas. Mais bon ! Beaucoup de passages superbes, des violons magnifiques qui ne defaillent jamais, le tout parseme d'agreables passages aux claviers... La touche synthetique surprends mais est un bon plus indeniable... On sent aussi pas mal de travail derriere cet opus ! Je salue l'effort : 5 boules.
Putain, tu déconnes nicliot, cette pochette m'en colle une demi molle..... Mouais, bof, finalement t'as raison, c'est naze comme pochette....