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Epica › Consign to Oblivion

11 titres - 52:40 min

  • 1/ Hunab K'u "a New Age Dawns" (Prologue)
  • 2/ Dance Of Fate
  • 3/ Last Crusade "a New Age Dawns"
  • 4/ Solitary Ground
  • 5/ Blank Infinity
  • 6/ Force Of The Shore
  • 7/ Quietus
  • 8/ Mother Of Light "a New Age Dawns" #2
  • 9/ Trois Vierges
  • 10/ Another Me In Lack Ech
  • 11/ Consign To Oblivion "a New Age Dawns" #3

informations

line up

Simone Simons (mezzo-soprano), Mark Jansen (guitares, chant), Ad Sluijter (guitares), (Coen Janssen (synthé), Yves Huts (basse), Jeroen Simons (batterie)

chronique

  • heavy gothique symphonique

Epica, petit dernier de la famille des groupes de métal à chanteuse hollandais, possède déjà sa horde de fans, tous en admiration devant la ravissante Simone Simons. Si sur leur précédent opus, "The phantom agony", elle passait pour la potiche de service jouant les pseudo mezzo-soprano, cette fois-ci, la demoiselle d'à peine 20 ans, a pris du galon et s'affiche avec beaucoup plus de crédibilité. Musicalement, pas de grande évolution. Le sextet se cantonne toujours au gothic-heavy metal symphonique, toujours dans la lignée des deux premiers albums d'After Forever, le groupe dans lequel Mark Jansen officiait en tant que guitariste-chanteur, et qui dirige désormais Epica. Les influences orientales de ce dernier restent prééminentes, tout comme les chœurs et les parties orchestrales très wagnériennes, qui se dessinent en toile de fond permanente. "Quietus" sort du lot avec son intro médiavalo-celtique, mais le reste de l'album évolue dans un registre épique aux fortes influences classiques. Alors que Mark Jansen avait eu jusqu'ici pour habitude de s'exprimer sur des sujets politiques au travers de ses textes, cette fois-ci c'est essentiellement à la culture Maya qu'il fait référence, ou aux états d'âmes de sa vocaliste. Malgré une production faiblarde, "Consign to oblivion" se veut énergique et puissant, là où "The phantom agony" s'appesantissait. Le chant de Simone s'est également enrichi, tant au niveau des émotions que de sa dynamique et de sa technique, donnant aux mélodies une dimension plus emphatique. Quant à Mark Jansen, il la relaye de temps à autre avec un chant typé black et death selon les moments, et laisse sa place à Roy Khan (Kamelot) pour un duo romantique sur fond de clavecin. Il est cependant dommage que le groupe nous ressorte encore des rythmiques d'un autre âge, qui cumulées aux chœurs "bon marché", font de "Consign to Oblivion" un album relativement kitsch, bien que sommes toutes, plutôt prenant...

note       Publiée le lundi 2 mai 2005

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    Note moyenne        13 votes

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    commentaires

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    Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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    Vu au fury fest au Mans, donc c’est lié aux rillettes dans ma mémoire Epica!

    (N°6) Envoyez un message privé à(N°6)
    avatar

    Vazy Arte passe nous du Epica un peu, que je meurs moins idiot ! Je dois bien dire que le côté très littéral de la chose me plait. Epica, c'est comme le Port-Salut, c'est marqué dessus. Leur musique c'est très exactement tout ce qu'on imagine d'un groupe de métal symphonique qué s'appelerio Epica. Après moi mon kiff c'est Earth, mais bon, on ne kink shame pas.

    (magnifique police Papyrus sur cette pochette)

    Message édité le 25-06-2022 à 18:14 par (N°6)

    Metatron Envoyez un message privé àMetatron

    Et les chroniques des albums suivants ?

    brighter_paëlla_now Envoyez un message privé àbrighter_paëlla_now

    Mouahahaha, je les ai vu DEUX fois. Mais pas exprès.

    empreznor Envoyez un message privé àempreznor

    si je vous dis qu'en plus d'avoir 2 albums je suis allé les voir en concert? Ils avaient massacré un morceau de Death à la fin du concert

    Note donnée au disque :