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Godkiller › The end of the world

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Membre Note Date
psgom      dimanche 11 novembre 2007 - 03:09
E. Jumbo      mercredi 2 décembre 2009 - 14:03
Ares      lundi 19 février 2007 - 12:05
Shelleyan      vendredi 8 avril 2022 - 07:13
Demonaz Vikernes      mardi 23 mai 2017 - 15:44
arckanum      lundi 7 janvier 2008 - 19:20
schockraum      samedi 4 mars 2006 - 23:28
lordkraken      vendredi 8 novembre 2002 - 00:53
solarfall      mardi 25 juin 2002 - 10:06
Brain damage      mercredi 17 janvier 2007 - 20:53
zbr      mercredi 27 décembre 2006 - 00:22
Dead26      mercredi 3 novembre 2010 - 21:59

9 titres - 45:24 min

  • 1/ The end of the world
  • 2/ The inner pain
  • 3/ Down underground
  • 4/ Following the funeral path
  • 5/ Day of suffering
  • 6/ Nothing left but silence
  • 7/ still alive
  • 8/ Waste of time
  • 9/ De profundis

informations

line up

Duke (tout)

chronique

Tel un caméléon, Godkiller nous revient sous une nouvelle peau, un nouveau visage, celui de la modernité. Délaissant le black brutal, Duke se tourne cers des sonorités plus modernes et diverses. Le résultat est bluffant. On se retrouve avec une sorte de black/indus assez lent, entraînant, mais surtout d'un morbide rare. Tout au long du disque, on ressent un malaise constant, un mal-être caractérisé par une guitare saturée distillant des riffs très métal, une boite à rythme très organique, un chant black surgit du fond des abysses, et surtout des claviers discrets mais incroyablement efficaces. Car ce sont bien eux les rois de ce "End of the world". Ce sont les instruments de l'ombre, ils sont omniprésents, tapis derrière le reste, ce sont eux qui créent cette atmosphère désespérante. En résultant de nombreuses perles de metal sombre comme "The end of the world" et sa mélodie enfantine mais si glaciale, "Following the funeral path" d'une froideur impressionnante, "Nothing left but silence" véritable ode à la noirceur, "Still alive" et son incantation blasphématoire, "De profundis" morceau totalement maladif et mélancolique, sans guitare, uniquement avec ce clavier et la boite à rythme et le chant clair. Une vraie réussite. Bref, ce "End of the world" envoie valdinguer à des kilomètres toutes les formations soi-disant "sombre" car Duke est l'un des rares artistes à avoir compris comment faire passer un message. L'émotion et la froideur sont ici à leur apogée, ne passez pas à côté de ce disque...

note       Publiée le dimanche 23 juin 2002

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    Note moyenne        12 votes

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    commentaires

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    Shelleyan Envoyez un message privé àShelleyan  Shelleyan est en ligne !
    avatar

    Voilà près de 15 ans que je louche dessus mais à l'époque, je n'avais pas de culture black metal, maintenant c'est ok. Il est enfin mien et c'est toujours aussi super. Le traitement froid de la production permet de faire beaucoup avec peu d'électronique, la programmation de la boîte est très travaillée et l'aspect mélodique est puissant. Ca s'essouffle un brin sur la fin mais rien de honteux.

    Note donnée au disque :       
    Demonaz Vikernes Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes

    Même si ça n'est pas aussi épique que les réalisations précédentes, "The End of the World" reste un opus qui s'écoute bien et que j'apprécie.

    Note donnée au disque :       
    Harry Dickson Envoyez un message privé àHarry Dickson

    Merci pour le commentaire précédent sur ce skeud, fou rire.

    boumbastik Envoyez un message privé àboumbastik

    un groupe de black monégasque, j'hallucine...

    E. Jumbo Envoyez un message privé àE. Jumbo

    Très bon album mais il semble hésiter entre ambiance moyenâgeuse et cyberpunk... Le mélange n'est pas dégueu mais je crois que j'aurais préféré un genre de diptyque avec deux atmosphères différentes. En tout cas le premier titre poutre sévèrement, et le dernier est magnifique.

    Note donnée au disque :