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Watchmaker › Kill.Crush.Destroy.

11 titres - 33:52 min

  • 1/ Broken by refraction
  • 2/ Dummy text
  • 3/ Mournful visage
  • 4/ Salt fertile earth
  • 5/ Watchmaker
  • 6/ Flowers of evil
  • 7/ Invert and crush
  • 8/ Arise in might
  • 9/ Like Saturn devouring his children
  • 10/ Gunscope transplant
  • 11/ The darkness of mere being

informations

Enregistré aux New Alliance Studios, titres 1 à 4 en décembre 200 et titres 5 à 11 en janvier 2000 ainsi qu'en mai 2002 aux Last Sound of the Left Studios

line up

Brian Livoti (chant), Paul Vaughan (guitares), Tim Donovan (guitares), Nicholas Kirlis (basse), Michael Garret (batterie)

chronique

Ce premier album des bostoniens de Watchmaker... Pas facile à dégotter le bougre... En fait, de premier album, il s'agit de deux enregistrements (un de 2000, l'autre de 2002) mis à la suite, mais ça, on s'en fout, parce que le but de Matchmaker, c'est de te défourailler méchamment les conduits auditifs, quelle que soit la date d'enregistrement ou je ne sais quoi d'autre. Point. Sur ce plan, les horlogers le font à merveille, mais ayant découvert le groupe avec leurs efforts suivants, je trouve ce "Kill.Crush.Destroy." pas encore assez abouti, avec des plans un peu trop redondants (notamment au niveau du chant) et un poil (mais léger) moins intense/efficace que sur leurs derniers albums. Pour vous donner une image, là, Watchmaker, c'est plus du grind hardcore stylé Nasum (avec quand même pas mal de parties mid-tempo) alors que la suite fait plus référence à du gros bordel ultra-énergique à la Revenge ! Vous allez me dire que déjà Nasum c'est pas le genre de truc qu'on foutrait en guise de quart d'heure américain et vous aurez raison (c'est vrai quoi, comment emballer une nana sur du Nasum ? Peut-être que Saïmone peut nous éclairer sur ce point...), ce premier album de Watchmaker ne manque pas de virulence ni de déchaînement, mais c'est juste que comparé à la suite, il en devient moins fort. Les américains posent ceci-dit là les bases d'un jeu très frappant et percutant, il subsiste encore des longueurs, mais déjà le potentiel est là. La machine de guerre est en marche. Dommage qu'elle se soit arrêtée après trois albums...

note       Publiée le samedi 2 août 2008

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    Bernard Envoyez un message privé àBernard
    Mon préféré (celui par lequel j'ai découvert le groupe) juste avant Erased From The Memory Of Man et loin devant Kill.Fucking.Everyone. Il y a ce petit truc limite "indus" (répétition quasi-mécanique des riffs) qu'on ne retrouvera plus par la suite. En tout cas pour moi, au moment de sa sortie c'était en gros le truc le plus bestial et nihiliste au côté de Codex Necro d'Anaal Nathrakh (sorti l'année d'avant). J'adoooore.
    Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
    avatar
    Bon bah voilà, il a trouvé une meilleure oreille que la mienne ! =)
    blub Envoyez un message privé àblub
    La pochette du dernier Today is the Day est quasi identique mais en négatif et en inversé! ah les grindeux ricains quand-même!!!
    born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo
    effectivement, plus le disque avance, plus il se saborde en répétition ; mais il a ce côté raw qui claque bien