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Watchmaker › Erased from the memory of man

16 titres - 26:27 min

  • 1/ Dawn of indifference / Nuked to ashes - 2/ Oncrushing advance - 3/ Conquering a dead planet - 4/ Irrevocable change - 5/ Scaffold of deception - 6/ Gunpoint stoicism - 7/ Bonepile of false assumptions - 8/ Relentless post mortem killing - 9/ Therapeutic dirt nap - 10/ Mourning breath - 11/ Failing upwards - 12/ Infidelity's eyestabbing unease - 13/ Swept from all existence - 14/ Lice crawling humanity - 15/ Inescapable melancholy - 16/ Visiting plague / Blood freezing violence

informations

Enregistré aux New Alliance Studios à Boston en juin et juillet 2005

line up

Brian Livoti (chant), Paul Vaughan (guitares), Mark York (guitares), Nick Kirlis (basse), Michael Garret (batterie)

chronique

Putain ! Putain !!! J'ai du mal à m'en remettre...... Mais avant de parler de cet album, revenons au début de l'histoire. J'ai connu Watchmaker l'été dernier via la chronique de Sheer-Khan de leur précédent album, "Kill.Fucking.Everyone", et cela m'avait mis l'eau à la bouche. Pour le successeur de ce méfait, mon attente ne fut pas veine. Quelle pêche, bordel de merde ! Watchmaker, c'est un énôôôôôrme poing dans la gueule, de l'énergie à l'état pur et brut, du bourrinage intempestif fabuleux ! Comme le dit si bien Sheer-Khan, Watchmaker, ce n'est pas du gros blast bœuf stérile, non, non, les bostoniens se la jouent plus up-tempo hardcore/thrash pour t'exploser la gueule comme il faut (même s'il y a du mid-tempo assassin). Au milieu de tout ça, t'as des chanteurs (2-3 ? En fait, on s'en fout !) qui gueulent, n'importe où, n'importe comment, du moment qu'ils s'éclatent leurs cordes vocales. Après, c'est de l'intensité et rien que ça. C'est pas en place, on s'en fout, c'est pas carré, on s'en fout, tout simplement, ça déchire ! Les guitares partent dans tous les sens, ça grésille de toute part, c'est même pas du gros son, c'est juste super agressif et, je le répète, c'est méga-énergique. Non, Watchmaker n'aime pas la finesse, c'est pas trop le genre de zicos qui en répèt' vont se taper sur la gueule parce que le guitariste aura fait 2 fausses notes (en fait, ça serait plutôt le contraire !). Ah putain, voilà 26 minutes de défouloir total, et bordel, ÇA FAIT DU BIEN ! L'album qui te donne envie de tout casser chez toi, encore mieux que les japonais (i.e. l'album rêvé pour Saïmone !). Un must !

note       Publiée le dimanche 26 février 2006

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    born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo
    ah bah c'est pas 'tafait la même optique que Crowpath et consorts
    blub Envoyez un message privé àblub
    clairement pas mon truc ce groupe, trop fourre tout sans réellement de cohérence, j'accroche pas du tout a la gratte et le chant est réellement mauvais! pourtant un groupe de Grind qui site Anti-Pop Consortium (sic!) sur son myspace comme influence a côté d'une tripoté de groupe Metal old-school avait le mérite d'intriguer, a défaut d'éviter le ridicule! à oublier trés vite!
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    juj Envoyez un message privé àjuj
    pour l'instant j'en suis resté aux conseils de l'expert Nanard, donc celui-ci et Kill.crush.destroy, et c'est du nanan - tu pourrais m'en dire un peu plus sur la spécificité de Kill fucking everyone, ou bien ils font quasiment pareil et c'est juste au feeling ?
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    Powaviolenza Envoyez un message privé àPowaviolenza
    avatar
    tu vas loin quand même, mais bon ça reste de la tuerie même si j'préfère kill fucking everyone.
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    juj Envoyez un message privé àjuj
    ça ne renvoie pas tout à fait Pig Destroyer et Converge chez leurs mamans, mais pas loin
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