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Fovea Hex › Bloom

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CeluiDuDehors      vendredi 14 mai 2021 - 16:52
allobroge      jeudi 18 avril 2019 - 10:24
E. Jumbo      jeudi 4 mars 2010 - 11:46
kaplan      jeudi 17 mars 2011 - 21:26
GinSoakedBoy      mardi 8 décembre 2009 - 23:04

3 titres - 17:13 min

  • 1/ Don't These Windows Open? (3:19)
  • 2/ We Sleep You Bloom (9:30)
  • 3/ That River (4:24)

informations

Andrew McKenzie, G*D Facility, Reykjavik, Islande

Première partie de la trilogie 'Neither speak nor remain silent'. Existe une édition limitée 2cd, avec un remix de l'album signé The Hafler Trio.

line up

Clodagh Simonds (voix), Laura Sheeran, Lydia Lasse (voix), Clodagh Simons (cithare sur 1, clavier sur 2, harmonium sur 3)

Musiciens additionnels : Brian Eno (basse sur 1), Roger Eno (harmonium sur 3), The Hafler Trio, Carter Burwell (piano sur 2), Cora Venus Lunny (violon sur 2), Andrew McKenzie (12 cordes, matière organique sur 3)

chronique

avatarWotzenknecht

  • drone-folk-ethereal ?

Imaginez un lieu imaginaire d’une grande fragilité, où viendraient se rencontrer un Coil dernière période, un Hafler Trio et Amber Asylum. Un lieu sans gravité, fait d’antimatière, où la musique ne cherche qu’à s’évaporer, et où seule la voix et quelques drones d’instruments à cordes rattachent encore le réel à une surface polie, aérienne et cristalline. C’est chose faite avec Fovea Hex, fascinant projet réunissant Andrew McKenzie (The Hafler Trio, tiens donc), Brian & Roger Eno, Robert Fripp, Cora Venus Lunny (une violoniste de Sinéad O’Connor), Clodagh Simons (qui a posé sa voix sur plusieurs albums de Mike Oldfield et Current 93, rien que ça) bref un sacré paquet de monde pour dix-sept petites minutes d’onirisme comateux et hors du temps. Deux titres folk éthérés où l’un aurait remplacé sa guitare par des chœurs et l’autre par des drones électroniques, entouré d’une longue pièce dans la même veine que les ‘Musick to play in the dark’ de Coil, dans une version plus féminine et délicate. Le charme ne nous quitte jamais, mais la mémoire semble inapte à retenir la moindre mélodie ; et ce n’est qu’avec un souvenir doux et soyeux que l’on remet le disque en route.

note       Publiée le samedi 27 octobre 2007

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    CeluiDuDehors › Envoyez un message privé àCeluiDuDehors

    Vu la piètre présentation des cds comparé à "Neither speak nor remain silent", je doute que ça arrive un jour...

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    Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
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    Absolument. Le seul groupe qui me fasse encore acheter des CD singles. Dommage que la trilogie Salt Garden n'aie pas sa propre boite de rangement par contre...

    CeluiDuDehors › Envoyez un message privé àCeluiDuDehors

    Je reviens régulièrement vers ces ep qui traversent le temps de manière admirable...et la trilogie "The salt garden" est peut être encore meilleure ! Un groupe qui est resté confidentiel malgré les apparitions de Brian Eno et Robert Fripp, sans compter la promotion de Steven Wilson ou de David Lynch...même avec la cousine d'Ed Sheeran dans le groupe ils suscitent toujours aussi peu l'intérêt du grand public!

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    E. Jumbo › Envoyez un message privé àE. Jumbo

    Magnifique ambient sur lequel se posent des voix divines. Écouté dans le calme et l'immobilité c'est quasi-transcendantal.

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    Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
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    Petite coquille, Fripp n'apparait que sur le troisième EP 'Allure'