Vous êtes ici › Forums de discussions › L'école des fans › Vous écoutez quoi là ?

Recherche dans les forums


Sujet ou corps des messages :    Auteurs :    


Vous écoutez quoi là ?

résultats 46481 à 46500 sur un total de 68888 • page 2325 sur 3445

Message
Klarinetthor › lundi 14 octobre 2019 - 17:31
avatar



hardcore de Gatineau

Message
zugal21 › mardi 15 octobre 2019 - 19:12
avatar



BAUHAUS - SWING THE HEARTACHE - THE BBC SESSIONS

Message
Glouny › mercredi 16 octobre 2019 - 01:41


UBV76 - S?N

Un des albums de l'année.

Message
Klarinetthor › mercredi 16 octobre 2019 - 14:38
avatar

Message
born to gulo › mercredi 16 octobre 2019 - 21:22

Après une tentative ratée du nouveau Teitanblood.

Message
Dioneo › jeudi 17 octobre 2019 - 13:57
avatar

Tiens, j'avais raté ça, l'année dernière :

Trashley - Joyful Angst (2018)

Toujours plein de mélodies et de son crus, ce côté garage-pop avec ces claviers aussi bruts que les guitares, nervosité ponkrock et goût du petit détail d'arrangement qui fait que ça sonne pas juste ponkrockcon. Ni pop coconne. Comme disent le titre, la pochette, en somme ? EDIT : Marrant, à première écoute, j'ai l'impression aussi qu'ils se sont complètement décomplexés sur les influences hard-rock/heavy/metal de leur tambouille - et en même temps sur le côté "musique de vieux jeux vidéo", sur certains morceaux (Around the Fire, ça me ramène vraiment la sensation de m'exciter en pestant et jubilant à la fois sur un joystick près à casser, un jeu de plateforme hystérique m'agressant tout autant que me ravissant les rétines de ses couleurs pétantes et de ses pixels trash, et de son scrolling épilleto).

Et du coup j'enchaîne bien volontiers sur le précédent tiens :

Trashley - Dance Until the Light Takes Us (2014)

Message
Dioneo › jeudi 17 octobre 2019 - 14:33
avatar

Pi un truc qui fait bien suite :

Pinku Saido - Poketto (2017)

Bon, là c'est encore bien plus littéralement punk mélodique, rien de révolutionnaire, ces lyonnois flanqués d'une jap... Mais le chant claque bien et ça joue serré, dans l'optique "on veut pas choisir entre les A cerclés et les logos thrash-garage sur nos vestes à patches".

Message
Dioneo › jeudi 17 octobre 2019 - 15:44
avatar

Puis changement total d'ambiance :

Grateful Dead - From the Mars Hotel (1974)

Suivi de :

Hawkwind (1970)

Soit, respectivement : un album d'un groupe (le Dead) qui avait déjà plusieurs fois "changé de son", avait passé sa période la plus acclamée, la plus connue sans doute vue d'aujourd'hui, psyché puis folk/country... alors qu'en réalité ils continuaient alors d'être immensément populaires (et de chercher, aussi, de modifier des trucs - tout en restant, je suis d'accord, scotchés sur une éthique/une démarche très "psyché hippie sixties") ; et le premier d'un autre groupe (Hawkwind) qui n'avait pas encore trouvé le sien, de son, le côté motörik à quoi on les associe le plus souvent, psyché aussi, versant lourd, chargé (celui de Doremi..., In Search of Space ou du fameux live Space Ritual). Cet Hawkwind premier du nom est encore bien bluesy et gentiment planouille, en comparaison de la suite ; et celui du Dead part carrément jazz-fusionnesque et "funky", les jams pas délaissées mais (sur disque au moins) bien plus "disciplinées", inscrites dans des compos bien structurées, à ce moment-là.

Bon ! Point commun ? Eh bien... Deux groupes qu'on a souvent tendance - "le gros de la critique", les gens qui n'ont pas eu l'heur de s'y pencher plus que ça (c'est pas une tare, hein, je me suis mis sur le tard à écouter vraiment le Dead, moi-même, n'ayant longtemps pas franchement accroché ; et Hawkwind, j'ai bien traînaillé aussi avant de me rendre compte qu'ils avaient fait des trucs bien cool après Space Ritual) - à réduire à une seule période d'une carrière/disco/parcours en réalité bien longue et variée. Avec dans les deux cas des choses qui méritent qu'on passe ce "blocage". (Bon, et des trucs moins passionnants aussi hein, évidemment).

Message
yog sothoth › jeudi 17 octobre 2019 - 16:13
avatar

Après une tentative ratée du nouveau Teitanblood.

j'ai toujours l'impression que ce groupe dans son ensemble est une tentative ratée. Sinon, ici bas :

Message
born to gulo › jeudi 17 octobre 2019 - 18:00

Ah non, j'aime à peu près tout avant ça, à part le premier, même assez fort ; mais là, ils ont tout dit jusqu'à la prochaine, pour moi.

Message
Dioneo › jeudi 17 octobre 2019 - 18:32
avatar

Jviens de m'envoyer ça, après Banlieue Triste :

Veuve S.S. - Traître à Tout

Ambiance toujours pas cool, chez eux, déménagements et changement de batteur ou pas. Avec un gars qui parle de "mourir à l'humanité pour naître à autre chose", ce coup, samplé - ce qui change du doubleur français de De Niro sur le Viscères EP, OK.

J'y reviens, en tout cas, à ce dernier en date, et il me "plaît", maintenant. (Guillemets parce que ça reste pas inducteur de joie fraîche, comme musique, celle de ces coreux là).

Message
yog sothoth › vendredi 18 octobre 2019 - 10:58
avatar



Ambiance pas cool, ici aussi.

Message
Klarinetthor › vendredi 18 octobre 2019 - 12:24
avatar



Tiens hop je me le remets; trouvé à Montreal à coté de pas mal d'autres trucs DIY français qui ont réussi à se payer un ticket pour l'autre coté de l'océan (croisé du Potagers Natures, notamment).

Meurthe / Veuve S.S.

Message
Dioneo › vendredi 18 octobre 2019 - 12:53
avatar

Ouep, il est trop court mais toujours bon, ce split. A noter que le pote Tomtom - alias Meurthe ici, et c'est marrant parce que j'avais chroniqué le disque avant de savoir que c'était lui - a désormais un autre projet, Châtaucreux (à Sainté, comme l'indique le nom - c'es tla gare de là-bas), dans ce même esprit drone/ambiant pas tranquille, mais qui se développe bien plus que là, truc qui prend de l'ampleur sur la longueur d'un set...

Sinon là, Lyon vénèr' encore :

Hørdür - Húbris (2018)

Coreux, grindeux, avec un côté powerviolence etc. ... Bref, ça joue vite et dur, ça gueule core-punk à l'ancienne (comme dans les quatre-vingt/début quatre-vingt dix versant squat du truc) et ça growle, aussi. Ça passe vite : 20 morceaux, 23 minutes. Y'a le batteur de Michel Anoïa, là-dedans, et le chanteur de feu Karcavul, ainsi qu'un certain Ben que comme ça j'identifie pas, à la gratte et à l'autre chant. Ça fait pas de mal en passant.

Message
No background › vendredi 18 octobre 2019 - 13:13


Killing Joke - Pandemonium (1994). Bon, ça fait plusieurs fois que je l'écoute en quelques années, mais il ne me touche vraiment pas. Je crois que je suis trop resté accroché au premier, faudrait que je remonte la disco peut-être.

Message
Dioneo › vendredi 18 octobre 2019 - 13:14
avatar

Et on continue :

La Hess - Démo 2017

Là aussi donc, du lyonnois pas content. Avec encore un certain Ben à la gratte - je suis pas sûr mais ça peut bien être le même que dans le précédent - un ancien gratteux d'Overmars (le poto Pierrick) à la batterie, le bassiste de Grand Plateau, si je ne me trompe pas (Paul) et le fameux Commissaire à la "gorge" (un gars qui mixe pas mal de trucs de cette scène locale, D7C Lixiviat Warfuck etc.). Donc oui : c'est encore pas dans la subtilité, ici plus "linéaire" que dans Hørdür, pas vraiment de traces de grind dans le bidule. Un côté plus "metal" par contre - au sens où y'en a dans le crust, au départ, où y'a eu des secteurs coreux où la différence, ils s'en tapaient pas mal. Bon, et là encore ça s'attarde pas : dans les 13 minutes pour 10 morceaux.

Je crois, en parlant de ça, que je vais clore la série avec le dernier Warfuck, tiens, justement, avant de passer ptêtre à des ambiances moins tendues.

Message
Dioneo › vendredi 18 octobre 2019 - 15:39
avatar

Changement de ville (Paris... j't'aime plus non-plus. Dédicace) :

10LEC6 - Bone Bame (2018)

Alors contre toute apparence, il s'agirait pourtant bien du même groupe qui avait sorti des trucs punk-lucratemilkiens (Counseilling Orientation ou Cannibal to Be) avec Emy de Trashley/Arrache Toi Un Œil au chant. Sauf que maintenant c'est électro, house "afro" au son cependant pas trop doux, avec une chanteuse camerounaise (Nicole) à la place de ladite Emy. Et quelques guitares qui resurgissent de temps en temps, mais pas du tout le même son même sur ces passages là (elles sonnent "machines" aussi ; et "percus" aussi). Puis des phases dub. Pour l'instant... Ça fait bizarre de l'entendre, l'évolution.

Message
Klarinetthor › vendredi 18 octobre 2019 - 16:09
avatar



DIfférent de la K7 de 1985 qui porte à peu près le même nom. Je trouvais ça plutôt gigotant, et force est de constater qu'en 33t, c'est plus "posé". Bien glauque tout de même.

Message
Glouny › samedi 19 octobre 2019 - 02:51


Merzbow, Keiji Haino, Balazs Pandi - Become the discovered, not the discoverer

Le jeu de Haino est pas vraiment reconnaissable non ? Quelques bons moments quand même.

Message
Dioneo › samedi 19 octobre 2019 - 11:44
avatar

Re-surf/garage/psychorockab' de Rouen :

We Hate You Please Die - Kids Are Lo-Fi (2018)

C'est vrai que Minimal Function, sans doute une des plus "pop", marche vraiment pas mal comme "porte d'entrée"... Le reste est plus "brut", je trouve, accrocheur mais moins reviens-y. Bon... Ça reste pas mal et comme disaient un lecteur et le pote qui m'avait fait découvrir ça : ça semble être un groupe encore très jeune et s'ils arrivent à élargir un peu le champs, affiner/affirmer l'écriture sans perdre leur bonne gniak, y'a moyen que ça se mette à claquer pour de bon, l'affaire !