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Guns n' Roses › Appetite for destruction

  • 1987 • Geffen GED 24148 • 1 CD

cd • 12 titres • 53:50 min

  • 1Welcome to the jungle04:34
  • 2It's so easy03:23
  • 3Nightrain04:28
  • 4Out ta get me04:24
  • 5Mr. Brownstone03:49
  • 6Paradise city06:46
  • 7My Michelle03:40
  • 8Think about you03:52
  • 9Sweet child o' mine05:56
  • 10You're crazy03:17
  • 11Anything goes03:26
  • 12Rocket queen06:13

informations

Enregistré aux Rumbo Studios, au Canoga Park, au Take One Studio et au Can Am Studio

line up

Steven Adler (batterie), Duff Mckagan (basse, chant), W. Axl Rose (chant, claviers, percussions), Slash (guitares), Izzy Stradlin (guitares, chant, percussions)

chronique

Les choses sérieuses commencent réellement maintenant ! On dit que l'appétit vient en mangeant, après l'apéro que représentait l'EP de 1986, voici le premier album ! Et quel album... Comment parler d'un tel monument du rock en quelques lignes. De toute manière, tout le monde le connait par cœur, tout le monde sait que c'est un chef d'œuvre, donc je n'ai plus grand chose à ajouter... Voilà, en 1987, Guns N' Roses, c'est le groupe de rock des Etats-Unis du moment, celui qui fait peur à tous les parents avec ce premier album qui se vendra à un rythme soutenu pour atteindre à l'heure actuelle 28 millions de copies (putain, 28.000.000 ! Presque la moitié de la population française !!). Bon, je vais pas me la jouer, "le plus tu vends, le meilleur t'es", mais en termes de phénomène mondial, ça a son poids. Sérieusement, sur cette galette, TOUS les morceaux sont monstrueux. Ce n'est que du rock n' roll, comme le disait si bien Mick Jagger, mais des fois, c'est un peu plus que ça... L'alchimie entre les cinq musiciens est parfaite, le front-man qu'est Axl a un charisme démentielle, une attitude et un chant très personnels dirons-nous. Souvent haïs, le groupe n'en fera souvent qu'à sa tête. A la guitare, on découvre un musicien hors pair qui deviendra par la suite l'un des plus prisés des 6-cordistes des années 90, Slash et sa célèbre Les Paul (sans oublier son fameux chapeau) apportent un feeling à la fois bluesy et terriblement inventif pour des solos fabuleux et quelques morceaux de bravoures comme l'énormissime intro de "Sweet child o' mine". Qu'il s'agisse de rock direct et énergique comme avec "Mr. Brownstone" ou "Nightrain" ou des morceaux plus recherchés et aux structures plus alambiquées comme l'excellent "Rocket queen" ou le hit "Paradise city" (qui n'a pas chanté à tue-tête le refrain pendant des mois et des mois ???), le groupe propose un style unique et un feeling dantesque. Tout est à la fois réuni dans ces 12 titres, un chant qui va à 100 à l'heure avec des riffs facilement assimilables, des solos magiques et une rythmique de plomb. Voilà ce que je considère comme un album parfait, en terme de pur rock n' roll. Mais ce qui sera encore plus fort selon moi, c'est que le groupe réussira à confirmer par la suite avec des disques extraordinairement diversifiés et tout aussi inspirés. Beaucoup considèrent cet album comme le sommet du groupe. Pour moi, il s'agit simplement d'un des très nombreux chefs d'œuvres du groupe. Unique, parfait, légendaire, cet "Appetite for destruction" n'est que l'hors d'œuvre...

note       Publiée le dimanche 10 janvier 2010

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Note moyenne        49 votes

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stickgrozeil Envoyez un message privé àstickgrozeil

Globalement, je suis pas fan de toute cette scène. Mais le Slave to the Grind m'avait filé quand même une bonne mandale qui fait que de temps à autres, j'aime bien me le repasser. Y'avait une "rage" inédite pour du hair metal.

Coltranophile Envoyez un message privé àColtranophile

Slave to the Grind, c’est juste du métal rutilant qui se voulait un peu couillu, leur premier disque était de la pâte à tartiner « hair-métal » pour adolescents. Ça ne les avait pas empêché d’avoir leurs plus grands succès avec les moments émotion qu’étaient « Wasted Time » et « In a Darkened Room ». Le Guns d’Appetite n’a pas grand chose, voir rien, à voir avec ça. C’est juste du simple (et bon) hard-rock, plombé par une ballade de merde comme souvent. C’est plus proche du Aerosmith de « Rocks » ou « Toys in the Attic » que de quoique ce soit de Métal.

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Chris Envoyez un message privé àChris
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Je ne suis pas non plus le plus grand fan de cet Apetite, je lui préfère largement la doublette des Use Your Illusion qui sont eux véritablement impérables.

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nicola Envoyez un message privé ànicola  nicola est en ligne !

Moi, c’est l’inverse : Skid row me laisse froid.

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Tamerlan Envoyez un message privé àTamerlan

Idem. Dans le même style, je préfère largement le slave to the grind de Skid Row.