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Les concerts auxquels vous avez assisté

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(N°6) › jeudi 6 juillet 2017 - 11:11
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Karma to Burn. VOID @ JuppéCity

Ca manquait un peu de riff et il faisait un peu frais dans la cave. (pardon à dimeGOAT et Mr. Boombastikfantastik de replacer la même vanne qu'hier soir)

Bah non. C'était un sauna et on a eu droit à une séance de rifffuckery non-stop (sauf au début où ils réglaient un truc, du coup le guitariste passait le temps en gratouillant du AC/DC). Oui, du riff, du Riff, du RIFF, du RIFFFFFFFF!!!!!!!!!!!!!

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nicliot › jeudi 6 juillet 2017 - 12:15

Bien déçu de ne pas avoir pu vous rejoindre dans la fournaise. Ce n'est que partie remise (vous avez vos places pour l'Interceptor ?)

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(N°6) › jeudi 6 juillet 2017 - 12:58
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Si je suis toujours dans le coin, c'est sûr que me je taperais bien les Swans... (et puis She Past Away passent aussi au VOID en Septembre). JuppéCity, ville Gutsienne 2017.

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saïmone › jeudi 6 juillet 2017 - 16:18
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pareil, je crois que je vais remettre le couvert... de la dernière tournée du dernier line-up du dernier tier de la der des der

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Klarinetthor › samedi 16 septembre 2017 - 12:44
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Saurien, 11ème etage et Pierre & Bastien, la Pointe Lafayette, 15/09/17

Direction Stalingrad plutot qu'à Montreuil où jouaient les dansant Api uiz et les brutaux et locaux Darfour. le fait d'avoir deja fait un concert bien bourrin la veille aux Instants a dû certainement jouer, ainsi que ma curiosité de voir 11ème etage live.

Début de Saurien juste apres des dernieres balances tardives, 22h quand même, c'est le WE, le bar est sympathique sur les horaires et ne ferme pas à 1h du mat, donc on prend son temps. Saurien, c'est un gratteux seul avec sa BaR et sa gratte en boucle. Très typé cold, assez aggressif par moment. moins lancinant que Jess93 mais moins brut que Teledetente666. Je remonte après 4 morceaux, j'ai deja l'impression d'avoir entendu ces choses là 20 fois et je retourne à l'étage.

Redescente au (11ème) sous-sol pour les pantinois. J'étais venu voir un truc pateux et collant noise-blues assez bizarre et bancale, en duo, et je me retrouve avec une clavieriste supplémentaire et une musique carrée et assagie. Avec la BaR encore, une gratte sourde derrière et des synthés bien présent et parfois bien dissonant. Une chanteuse qui tantôt parle de macron, guéant, de DST et de police nationale, tantôt part plus dans la poesie. Ca me rappelle doucement Stinky toys et Taxi girls. Strychnine aussi dans certaines intonations. Rien à voir avec la musique sur le bandcamp. une partie du groupe me confirme après coup que le groupe a pas mal évolué dans sa musique et son line-up.

Dernier round vers minuit avec Pierre & Bastien. J'ai dejà vu le groupe lors de son "explosion" vers 2015, ou pas mal de monde se sont mis d'un coup à écouter, scander, regurgiter leurs paroles et refrains drôles et nihilos. Passé la vague, il ne me tardait pas trop de les revoir. J'en rate le premier quart d'heure pour casser une petite graine en haut. Je me dis qu'ils vont jouer encore 20-25 minutes, et que je vais rester les voir, jusqu'au bout, dans un coin. La salle est evidemment bien bondée et danse, mais ils joueront devant leur public dh'abitué d'abord, puis vers 1H du matin vers les 15 derniers pelos encore motivés que nous étions. En forme, ils le sont toujours. Dans le genre stakhanoviste du poum-tchak, le batteur avec une jambe en miette et qui pouvaient à peine marcher n'avait l'air de rien devant son kit minimaliste. Mais ce coup-ci je les ai trouvé fort à propos. ca envoie meme du solo de gratte sur 4 notes pendant des minutes ici et là, quand le morceau est bien lancé. l'impression d'etre embarqué dans un tunnel. Le punk, c'est du rock, comme aime le rappeler souvent Mark Perry, et Pierre & Bastien, et dans le cadre bien serré de la cave de la Pointe Lafayette, je ne les ai jamais vu nous balancer aussi tendre et aussi long. Direction le froid dehors, mais avec la banane, le tee shirt maculé de rouge,aiqnsi qu'un ptit 7 pouces offert à chaque entrée par le groupe (Victime, une piste de 2 minutes, et au dos, une vieille piste bruyante avec l'avertissement au tippex: "Ne peut être écouté"). Et l'envie de se reprendre ça à pas d'heures un jour.

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WZX › lundi 18 septembre 2017 - 01:54

Musica Elettronica Viva, Teatro Colón, Buenos Aires (14/09-17/09)

Série de quatre concerts s'étalant du jeudi au dimanche. Trois soirs en solo, Curran, Rzewski et Teitelbaum dans l'ordre, puis concert du groupe entier le dimanche. Pour ma part ce sera les samedi et dimanche.
Concert de Teitelbaum solo :J usqu’au lendemain je serai persuadé qu’il s’agissait de Rzewski, à cause d'un changement de planning non annoncé ! C’est un vieux monsieur, marchant tout doucement, qui arrive. Courte présentation où il annonce deux pièces : For Pauline, en hommage à Pauline Oliveros, et BA, pièce improvisée. Le concert commence...par de longues minutes de silence. Une main tremblotante sur le touchpad de l’ordi, l’autre immobile sur le clavier du synthé, mais rien ne se passe. Les premiers sons émergent, à la limite de l’audible ; la pièce ira pas beaucoup plus loin en terme de volume sonore. Quand elle s’achève l’incrédulité (ou l’agacement pour certains) augmente d’un cran. Je suis assez perplexe. La deuxième pièce sera plus immersive, plus contrastée, Teitelbaum sort différents petits objets avec lesquels il fait de drôles de sons, pousse le volume. Un peu dur d’accrocher, essentiellement parce que visuellement, il ne passe quasiment rien, à l’opposé de toute notion de spectaculaire, réduisant le geste musical à presque rien ; impossible de juger ce qui provient du musicien et ce qui était déjà dans l’ordi. Ressorti un peu sur ma faim, même si la seconde pièce tenait quelque chose. Déroutant.
Concert de MEV au grand complet donc. Au moment de rentrer dans la salle, j’ai comme l’impression d’assister à quelque chose d’important. Dès les premiers instants je sais que ça va être un beau moment. Une qualité de son, une souplesse, jamais l’équilibre ne se rompt, jamais l’attention ne s’éparpille. Pas spectaculaire, même si Rzewski et surtout Curran sont plus expressifs que le toujours immobile Teitelbaum, mais ça remue des fibres ancrées au plus profond. La richesse des assemblages de timbres, des associations d’instruments, l’utilisation prodigieuse de l’électronique, les contrastes abrupts comme les moments murmurés d’une grande douceur (Robert Ashley n’est pas si loin), rien ne fait effet ou greffe. A chacun ses prédilections bien sûr (Rzewski presque toujours au piano, avec une qualité de son révélatrice d’un apprentissage par la musique classique, Teitelbaum discret, sachant s’effacer comme faire déferler l’électronique en rafales de basses fréquences, Curran entouré de nombreux claviers, de son électronique et d’un shofar au son incroyable, dont tout le corps retransmet l’intensité musicale) mais c’est un ensemble fabuleusement soudé qu’on entend, symbiose résultant de cinquante ans de pratique commune. Une heure de musique qui se poursuit, belle idée, par une bonne demi-heure de questions entre la salle et les musiciens. Grand moment donc, beau et généreux.

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Arno › lundi 18 septembre 2017 - 06:56

L'Orfeo de Monteverdi par Garcia Alarcon et son ensemble. C'est définitivement le plus bel opéra italien.

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Klarinetthor › samedi 23 septembre 2017 - 13:12
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Arrivé tard, j'ai pu tout de même entendre 5 min de poesie beat (ça parlait de la guerre du Vietnam), puis Joachim Montessuis faire du drone noise avec sa guitare acoustique - bien prenant en fait, comme une version solo de Sunn o))), moins pesante evidemment mais plus rugueuse.

Enfin Lydia Lunch clôt la soirée. Première fois que je vois la dame de la no wave sur scène, tout type de groupes et de spectacles confondus. Tant de rencontres sur disque mais tant d'occasions manquées de la voir. "the past is everything you failed", comme elle dira à peu près au début de son set. 20-25 minutes à lire ses textes, après une petite minute à s'assurer que tout le monde l'écoute et que personne ne l'interrompra en gloussant ou en applaudissement pendant les blancs. Pour ça elle a une maitrise et une aura hors du commun. Elle fait du spoken word depuis les début de son art, en fait, me disait JF des Instants. Les textes sont assez facile d'accès pour qui n'est pas en froid avec son anglais. J'ai l'impression d'etre rentré dans Deviations on a theme rendu vivant, avec des thèmes plus prenant encore peut-etre. Ca parle de la guerre, en alternance de façon générale et précise, des orphelins ("little orphans running through the bloody snow, through the blood, through the blood...."), des veuves, elle cite les pays ensanglantés un par un, c'est long, forcément. Elle ne s'encombre pas de pointer du doigt coupables, mais se penche du coté des victimes et de leur douleur. Aucune compassion maternelle ici, c'est un cri, un sentiment partagé avec ceux qui ont toujours fait parti du camp malchanceux. Elle parlent pour les damnés, les vaincus. Ceux qui n'ont pas la parole. Ceux qui ne lisent pas de la poésie à l'Université de chicago à paris et recoivent des prix en récompense de leur confort masculin et blanc. Le cri à la face du monde sans la plainte, l'engagement sans le militantisme obtu. Avec ce ton, ce rythme haletant et bien maitrisé à la fois. Ceux qui sont hors des textes sont ramené dans le texte par sa stature, son ton, sa voix son corps qui parlent à chacun un par un dans la salle. Chapeau, Lydia Lunch.

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(N°6) › dimanche 24 septembre 2017 - 03:40
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She Past Away VOID @ JuppéCIty

C'est par une tiède nuit d'été indien que je rejoins le centre de JuppéCity, Ville Gutsienne 2017 (bientôt : Swans). Ahhh, le VOID, la salle (cave ?) de concert la plus sympa de la ville. L'avantage d'un concert goth, c'est qu'il y a des gens lookés (oui, je parle cool comme dans les années 80, je suis cablé) et c'est toujours agréable ma foi (enfin à un concert goth, pas au Pitchfork festival...).J'aurais du mettre ma chemise pourpre satinée, ça m'aurait fait un bon look de turkish pimp. Mais bon, du coup j'avais ni look ni ami, ce qui tombe bien vu que j'étais là pour DANSER et expurger au passage quelques démons anatoliens... Le DJ qui chauffait la salle, hasard ou signe du destin, jouait Paris-Orly de mes petits chouchous de Deux (cf chro par ma gueule), si c'est pas du signe ça ! Bon, ya aussi une nana qui dansait tellement en faisait la fofolle qu'elle a entrainé une autre fille dans sa perte, bowling style. Ceci va être une bonne soirée.

Alors, Doruk Öztürkcan ressemble à une bonne goule turque, sortie d'un vieux film de la Hammer. Volkan Caner, le chanteur/bassiste, est plus étonnant. Avec ses cheveux effrayés, sa chemise bling-dark cachant un léger embompoint et son maquillage de lendemain de cuite sévère, il me faisait penser à un de ces personnages louches qu'on trouverait dans les films de Kitano du côté de Kabuki-cho, ou dans les bars mal fréquentés d'Okinawa. Aucune idée si il est aussi oriental au naturel. Ou bien j'ai beaucoup trop d'imagination. Le set ? Ben les cocos, She Past Away, si tu connais pas, t'as l'impression que c'est toujours un peu pareil. Mais en fait non, d'autant que dès qu'ils jouent des morceaux du (très cher) premier album, c'est l'impression d'entendre des tubes. D'ailleurs le public ne s'y trompe pas (moi non plus), l'apex du concert vient avec l'énorme "Kasvetli Kutlama" qui va finir de plonger le VOID dans la coutumière ambiance de fournaise. Déjà qu'il attaquent le concert par "Belirdi Gece", qu'ils vont aussi sortir le très beau "Insanlar" et surtout ré-enquiller le rappel par la reprise de Replikas "Kemir Beni", qui va manquer de finir de lessiver les dernières forces des plus vaillants. Evidemment, ENORME kiff personnel d'entendre ça en live (cf mes chros de Replikas et blabloubli), d'autant que les salauds envoient quand même bien la sauce. Bref, un peu comme d'hab au VOID, ça se finit liquide pour ceux qui ont le courage d'affronter la cave sans s'arrêter ni aller prendre l'air au bar.

Bon, ben She Past Away en live, je comprends qu'ils jouent en général à guichet fermé (ben oui, j'ai mis la news trop tard ici, les derniers billets sont partis dans la journée). Groupe culte, sans aucun doute.

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taliesin › dimanche 24 septembre 2017 - 09:50

Ah moi je viens de rentrer il y a quelques heures de ceci :

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dimegoat › dimanche 24 septembre 2017 - 09:59
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Donc ça existe encore Witch Cross

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taliesin › dimanche 24 septembre 2017 - 13:18

@Dimegoat : ouiiiiiiiiii !
Pareil pour les gars de Killer, 1er groupe belge de hard/heavy en 1980, ils tiennent toujours la forme !

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Klarinetthor › dimanche 24 septembre 2017 - 13:29
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Last night 4 orgas saved my life. Du beau monde pour un petit concert - on sera 20-30....en tout. Un concert pas prévu, je devais rejoindre des gens pèpères dans un bar pour assister au DJ set de l'ami jungle Khol... laissé en plan je decide à presque 23h de délaisser la foule de la rue St Maur pour rejoindre la bise de Stalingrad la frétillante. Pas de Spook du coup, j'arrive pour le début de Sheik Anorak, qui a sorti l'artillerie no wave. un torrent de batterie de plus en plus gros. Je ne l'ai jamais vu jouer aussi fort, vite, dedans... un set parfait pour lancer Deathcrush. Je parle vite fait avec le grand bassiste blond norvégien, de la musique de son pays (me dit que l'un des autres est mouillé avec Noxagt, j'ai retrouvé nul trace de ça, en revanche le batteur est aussi dans Arabrot), bref Oslo, Oslo ce coin où la musique bruyante et bizarre est bien vivace ces derniers temps. Me dit aussi que Deathcrush est le meilleur Mayhem, j'ai pas osé engager le débat).

Alors que je m'attendais à un set dans notre gueule, le son n'est pas si fort, la musique pas si aggressive. La gratteuse surtout, le bassiste un peu, chantent. Rapent presque. Ca a coté grungy 90s que je retrouverai sur leur disque. Ca reste quand meme assez bizarre, on sent un bon fond de poisse, de gens qui doivent se la coller au milieu de toute sorte de musique, de stimulants (tee shirt seyant the Prodigy pour l'une, sans-manche Mayhem pour l'autre). Plus dur à décrire le set que ça; d'autant plus que parmi les 15-20 personnes devant le groupe, une nana décide de faire pogoter tout ça, en sortant tout coude dehors, tapant presque, renversant à peu près toute biere, tuc qui traine à l'arrière de la pointe lafayette. un ptit gout de poisse de plus. Heureusement l'ouragan Irma n'aura fait que passer et on sera à peu pres tranquille pendant 10-15 min et que le patron de la Pointe décide à 0h35 de faire sauter le jus. Bizarre, ce n'était ni fort ni tard. Le groupe explique qu'ils n'avaient qu'une minute de plus à finir de jouer, donc que c'est plier. Bonne route à eux à Rennes, lyon et au delà. ils ont pas fini de faire danser et se pousser leur public cavernicole.



Ouais il y a plus la petite rousse mais un grand blond à la place, c'est pas une raison pour ne pas aller les voir

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Scissor Man › dimanche 24 septembre 2017 - 14:44

Pas de SPOOK du coup ! Ils ont pas joué ?
J'ai un pote qui est parti vers 11h de Saint Méry pour voir SPOOK. J'ai pas eu de ses nouvelles !!!

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Klarinetthor › dimanche 24 septembre 2017 - 16:23
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pas de Spook pour moi vu l'heure. Ils ont bien ouvert vers 22h (l'heure de début du coup quand il y a trois groupes). et du coup je vois bien qui c'est ces trois personnes, vu que je sirotais mon excellente kro près d'eux dehors à un moment. la membre du groupe etait en béquille, d'ailleurs.

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Scissor Man › dimanche 24 septembre 2017 - 17:53

Ils sont passés vers 9h. Pas de bol sur ce coup les gars. Mon pote a pu discuter avec eux et acheter le cd. Quand même content.

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boumbastik › mercredi 27 septembre 2017 - 14:34

@N°6 - fournaise au Void

Il me semble que fut un temps la salle était équipée d'un ventilo géant, non ? J'ai ce souvenir d'une douce sensation de brise rafraîchissante sur la nuque.

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Scissor Man › jeudi 28 septembre 2017 - 22:50

Le seul bon moment du festival Crak 2017 quoique l'église saint Merry n'est pas adaptée pour ce genre de performance, une galerie ferait mieux l'affaire. EDDIE PREVOST & JOHN TILBURY (photo), ONCEIM & JOHN TILBURY ça devait être pas mal aussi.

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(N°6) › vendredi 29 septembre 2017 - 00:04
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@booombastik : je ne saurais dire, je ne fréquente la salle que depuis un peu plus d'un an, n'étant pas sur JuppéCIty avant. Je l'ai toujours trouvé assez surchauffé, le comble étant durant le fameux concert de Kap Bambino en Mai 2016 qui restera mon plus gros souvenir là-dedans.

Sinon, une salle avec de la clim, c'est la cale de Iboat où KaS Product venait jouer pour les 6 ans du bateau à la prog assez cool (j'y ai vu des artistes aussi divers que Aquaserge, Xosar, The Hacker, Princess Nokia). Concert gratuit. Concert qui prouve encore que KaS Product étaient bien en avance sur leur époque. Public de 50 (les originaux) à 20 ans, comme à Paris il y a quelques années. Mona Soyoc doit toujours garder précieusement un portrait dans son grenier, elle tient une forme olympique, c'est toujours une bombe. La voix n'a pas changé non plus, bien sûr. Etant moi-même devant la scène mais un peu excentré, elle n'aura pas pris ma tête comme accoudoir, dommage, je me serai prêté volontier à devenir un homme-objet le temps de quelques couplets. Pas de surprise pour qui les a vu ces dernières années, c'est toujours aussi dynamique, et avec un répertoire impeccable comme le leur, c'est satisfaction garantie. Mona, oh Mona.

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Klarinetthor › vendredi 29 septembre 2017 - 01:14
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On va pas refaire le concert, mais à paris il y a quelques ans j'avais trouvé le kas product un peu décongelé quand meme. Musicalement. C'est vrai que physiquement elle a une forme incroyable.