Séries télé

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Raven › mercredi 18 janvier 2017 - 22:31

C'est un cauchemar sans fin, cette troisième saison de The Affair...

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Scissor Man › mercredi 18 janvier 2017 - 23:19

J'avais tant aimé cette série, même le générique. Snif ! Putain ! Mac Nulty quand même !

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saïmone › lundi 23 janvier 2017 - 17:12

Fini Baron Noir. Ce vieux final qui fait psshhhiiiit.

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born to gulo › samedi 28 janvier 2017 - 10:03

Putain, le dernier épisode de The Affair m'a laissé en tête le meilleur dialogue de Lost Highway - celui entre Rollins et l'autre maton, sur "le type qui a tué sa femme".

Ce qui me fournit une chance de rattrapage toute trouvée pour une remarque qu'on a pas eu l'heur de faire jusqu'ici : ça vous a fait quoi, quand vous avez reconnu Brendan Fraser, putain ?

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Scissor Man › samedi 28 janvier 2017 - 10:59

J'ai pas mis beaucoup de temps à le reconnaitre Brendan Fraser. Il est plutôt crédible en maton psychopathe et effectivement il a abusé des burritos mais je trouve que cette direction est un peu gratuite pour relancer la série ; du coup ça part dans beaucoup de sens mais on s'éloigne de ce qui faisait la force de la saison 1 et 2. Et aussi, la bonne idée de départ qui consiste à alterner les points de vue, sans jamais vraiment savoir qui est le plus proche de la vérité (une faiblesse scénaristique à mon avis, démerdez-vous avec ça !) devient peu à peu tellement divergente, un grand écart qui perd le spectateur, un comble. La meilleure façon de saloper une bonne série c'est de ne pas savoir quand s'arrêter, du coup on multiplie les pistes farfelues pour une série assez addictive au départ.

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Dun23 › dimanche 29 janvier 2017 - 15:52

En ce moment, The Mick: tout nouveau, tout chaud et complètement jeté avec un gamin absolument génial et Dee de It's always sunny in Philadelphia. Petite sœur d'esprit foutraque de l'immense It's always sunny in Philadelphia (qui a repris et qui déçoit pas, 12 saisons et toujours WTF, cf l'épisode du parc aquatique de cette année) mais dans le cadre familial cette fois. Bon, faut voir la famille, hein..

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Scissor Man › jeudi 2 février 2017 - 12:49

Black Mirror
Le ou les réalisateurs de la série ont les technologies dans le collimateur ou plutôt semblent y voire l'opportunité de représenter les dangers d'évoluer dans un monde aseptisé ou la dépendance aux technologies atteindrait un niveau extrême au mépris de l'humain (passif, soumis et spectateur), une description “à peine exagérée” de ce qui nous pend au nez. C'est vrai que de croiser des quadras jouer à Pokemon Go fait peine à voir. Contrairement à Twilight Zone (qui tirait principalement vers le fantastique contrairement au pitch bidon de Black Mirror), ici, on cumule les dystopies avec un crescendo de plus en plus improbable accusant pêle-mêle la téléréalité (S1, épisode 2 on se croit littéralement dans "Hunger games" ou un jury grotesque de téléréalité détient le pouvoir sur des masses aseptisées par leur avatar), les médias, la cyber-dépendance et surtout le positivisme aveugle sans jamais atteindre par le biais d'un seul épisode le génie visionnaire d'un K Dick. Plus on avance, et plus le sentiment de se rapprocher d'un scénario aussi absurde que “The Purge” se dessine à chaque épisode. Le plus aberrant et ridicule : comment croire une seule seconde qu'un premier ministre cède aux exigences tordues d'un inconnu pour sauver une princesse ou la reine d'Angleterre en baisant une truie devant les caméras, sous prétexte qu'il y gagnerait politiquement ?

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saïmone › jeudi 2 février 2017 - 13:40

Je tente un Taboo. Tom Hardy dans un Valhalla Rising en époque Victorienne. Premier épisode très fort.

Je tente une S6 de Homeland. Ce sera non.

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Arno › vendredi 3 février 2017 - 00:45

Bah, je suis toujours attaché aux deux persos principaux... Carrie Mathison et Saul Berenson... Mais c'est vrai que le démarrage tombe un peu à plat...

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(N°6) › vendredi 3 février 2017 - 01:49

Bon ben voilà. J'aurais adoré, mais adoré The Affair S1&2. J'étais pas convaincu qu'une suite s'imposait. Surtout avec l'introduction d'un nouveau perso joué par Irène Jacob. Ca m'a quand même fait plaisir de retrouver Noah, Helen, Allison & Cole. Y a de bons moments, notamment en milieu de saison. Même si comme je le préssentais, la française n'a pas grand intérêt, trop pièce rapportée. C'est bien quand on se focalise sur notre bon vieux quator (et Luisa). Pas fou des séquences de prison. Ceci dit, je doit avouer que j'ai quand même vu arriver le truc gros comme une maison quelques épisodes avant la fin. Du coup ça excuse un peu le côté grosbill de cette intrigue, mais tout en chargeant l'intégralité de la série d'un horrible déterminisme psychologique avec trauma originel et tout le toutim (autant la mort de Gabriel c'était un truc important, autant là ça sent la grosse ficelle de scénar écrit par dessus l'histoire originale). Franchement, ça flingue carrément toute la subtilité et la complexité des rapports humains des saisons 1&2. Quant au final, ça tient carrément du sabotage. Même si le caméo de mon ancienne voisine Maryline Canto m'a bien amusé et que c'est toujours sympa pour moi de revoir des coins familiers de la ville. Ca va, je spoile pas trop des masses ? Du coup mon post est incompréhensible pour ceux qui suivent pas la série. Ben voilà. J'ai aimé passionnément The Affair. Mais là on s'est séparé. C'était une belle histoire de l'été dernier. Ils parait qu'ils reviendront pour une saison 4. La curiosité m'y poussera peut-être (comme pour GoT). Mais l'histoire est terminée.

(SPOILER : non mais c'est moche d'avoir quand même abandonné la moitié du cast principal dès l'épisode 8 putain, on se tape les histoires de Juliette dont on a rien a foutre et qu'on avait oublié depuis la mi-saison pour la finale et on oublie carrément Allison, laissée toute seule à Montauk ? Ils ont obtenu un financement du CNC qui les obligeait à tourner un épisode à Paris pour avoir du pognon ou quoi ?)

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Raven › vendredi 3 février 2017 - 02:23

Je me retrouve dans ce verdict. Très accessoire, cette dernière saison - malgré Cole, Luisa, Vik... et Oscar (oui !) ; assez vilaine aussi. Foireuse en fait. Et pénible à suivre à force. D'ailleurs j'ai décroché vers avant la fin, un peu agacé, après avoir quand même cru à une espèce de charme nauséeux-noir qui irait crescendo ; mais non, c'est bien une banale saison en trop - comme tu le dis, une pièce rapportée. C'est plus qu'une série US de plus à ranger, triviale. Les ficelles et dentelles de la première et d'une bonne part de la seconde sont devenues des espèces de gros câblages d'attraction redondante. Avec ce truc du trauma mal amené à partir du gimmick du maton psychotortionnaire, qui me rappelle - en plus rance ou éventé - ces manoeuvres assez familières des séries, pour sauvegarder une audience à peu de frais de plume avec du sordide bien collant qui veut pas lâcher (cf. la pipe forcée immortalisée au 3310 de the Shield ; ou le gay molesté de Six feet under...ou pinkman). Du pur réchauffé quoi, qui ici captive un temps et saoule en long... ...Et donc, du coup SPOILEUR ils sont pas allés jusqu'au bout du bout avec Noah, à nous faire tourner le truc jusqu'à la nausée ? en révélant que papa lui avait fait des cochonneries ou des tentatives de poussage au suicide, après la mort de maman, ou un truc comme ça ? Il se suicide pas à la fin, d'ailleurs, après s'être tranché la bite puis l'avoir jetée dans un yaourt ? ou sur la tombe familiale ? ou à la face de sa frenchie laissée en plan ("tiens,vlan !") ? ça avait l'air bien parti... The Affair a viré polyester, ouais.

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born to gulo › vendredi 3 février 2017 - 08:07

Je suis pas d'accord ; vous avez sûrement raison (sans ironie aucune) sur la mise en scène, les ficelles, tout ça, choses auxquelles je suis assez aveugle/passif ; en revanche, sur les "thèmes" - le couple, les histoires interrompues mais pas finies, et le merdier que vient faire d'être parent au milieu de ça... Je ne suis toujours pas déçu, voire toujours moins.

Et j'ai eu horreur d'Irène Jacob tout le long, et que le finale de la saison soit sur elle plutôt que sur Montauk, moi aussi.

Je trouve le dernier plan très aguicheur pour la suite : OK, t'es redevenu superpapa, tout le monde est supercontent, toi y compris... et ? Tu fous quoi, ce soir ? Avec tout le monde qui est heureux et recasé ?

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(N°6) › vendredi 3 février 2017 - 12:27

Ben c'est à dire que tant qu'on reste focalisé sur les histoires du quator et leurs relations compliquée, oui, c'était encore bien. Sauf que l'intrigue "policière" collée dessus était un peu lourdingue et que sa résolution est la pire proposition possible. J'aurai préféré une médiocre affaire de vengeance ou de psychopathe plutôt que ça, car ça flingue toute l'histoire en fait, la ramenant à une simple explication (bouillie) psychologisante, voire pire, psychanalitique. Du coup, la complexité des relations est réduite à une bête "il a fait ça à cause de ça" et "elle a fait ça à cause de ça", circulez y a rien à voir. Blah. Ils nous emmerdent les scénaristes avec leurs histoires de trauma originel, c'est tellement naze. Quant à l'explication, au moment où elle arrive, on a quand même déjà dépassé les limites du Vanilla Sky Godwinn Point depuis longtemps. Ok pépé, on avait un peu compris quand même, range tes flashbacks.

Le final à Paris est grotesque à tout point de vue (ooooooh, le parallèle avec le vieux mec agonisant de Irène Jacob, y a pas de hasard tavu, et Noah la déglingue qui donne des conseils sur le couple à sa fifille qui veut faire comme E.T. d'un coup d'un seul). Le plan final sent un peu trop le cliffhanger qu'a pas d'idée et qui prend pas de risque dès fois que la série aurait pas été reconduite. Bah, je regarderais surement la saison 4 pour voir ce qu'ils font avec les perso (sauf Irène Jacob), mais sans excitation aucune.

Truc amusant, apparemment la VO n'avait pas les sous-titres du dialogue avec les copines de Juliette dans la partie Noah, du coup seuls les américains qui parlent un peu français ont pu choper l'échange sur la bite de Noah. Ca c'est assez malin. Et puis Maryline Canto, ah ah.

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Rastignac › lundi 6 février 2017 - 12:10

ben moi finalement je voulais me regarder un nanar, mais ce n'était que le pilote d'une série. Bien nanardesque quand même.

Alias Cobra.

On retrouvera donc le fabuleux et néanmoins charismatique, musclé, et ninja temps partiel tatanne Mickael Dudikoff, qui se cache en ALaska avec un faux nez et une moumoute, qui est sympa avec les autochtones (il amène des ordinateurs), tel un Steven Seagal mais c'est pas lui.

Mais en fait il se fait à moitié buter, et là, la fondation Phoeni... euh, non la fondation Cobra financée par un milliardaire le revitalise, lui change son visage (i.e. lui enlève les postiches), et c'est parti pour une sombre histoire de vengeance et de barbouzerie.

Le potentiel nanard : de grandes et très longs moments d'introspection et de réflexion ; la ganache de Dudikoff qui évidemment en fait des tonnes, mais n'est pas crédible une seconde ; le pompage sur des machins type Rick Hunter / A Team / McGyver à outrance (ah l'agence avec la carte du monde qui clignote et les mecs sur les ordis qui tapotent) ; et des habitués de la lose comme Dudikoff encore mais aussi :

James Tolkan

et le méchant usual :

ex Flash Gordon Sam Jones...

donc c'est mou, c'est chiant, mais c'est rigolo parfois.

(et j'oubliais évidemment le sidekick féminino-potiche habituel à la DiDI McCall ou la copine de Matt Houston - mais comment donc quoi ? Mais comment donc Houston !)

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Klarinetthor › lundi 6 février 2017 - 17:07

Bah ca arrive relativement souvent les passages en francais pas traduit, ou traduits ultérieurement par les personnages de facon approximative (je pense a la version allongée d'apocalypse now ou on a 20 minutes de french au milieu a peu pres traduit). Et oui d'accord sur l'épisode parisien completement wtf; enfin completement "realiste" et inutile, en particulier quand on a ca devant les yeux en permanence.

Sinon la saison ne m'a pas decu tant que ca finalement, voir Noah couler et Helen avoir son sursaut de culpabilité, c'est pas surprenant, un peu jouissif pour le pervers justice warrior que je suis quand je mate ca. Je ne pense pas avoir perdu de vue le fait que ca reste une série americaine avec son traitement moral sous-tendu: malgré les originalités des points de vue.

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Dun23 › mercredi 15 février 2017 - 10:36

En plein The man in the high castle S2 en ce moment. Moins fort que la première saison pour l'instant mais ça reste du bon.

Fini Westworld et j'ai aimé, surtout, comme beaucoup je pense, le personnage de Maeve. Alors oui, les "flashback émotionnels" comme j'ai pu lire ici peuvent gonfler sauf que, comme qui dirait, ils sont juste indispensables. Pour une série qui nous joue du Radiohead, j'ai été étonné qu'il n'y ai pas eu Everything in its right place dans le final, tant c'est le sentiment que j'ai eu à sa vision. Car autant le dire, je n'avais pas vu venir la révélation de l'identité du man in black. Entre autre. Et les flashbacks contribuent magistralement au sentiment du "Noooon!!! Sans déconner! Trop fort!" Je suis curieux de voir la suite.

Sinon, vu The Queen, à cause ou grâce à ma moitié. Ça fait plus que se regarder, en fait. Ce qui n'est pas le moins étonnant me concernant, en ayant plus ou moins rien à foutre de la famille royale anglaise. Mais c'est vachement bien fait, il y a un Lithgow absolument magistral en Churchil, un ancien Dr Who en prince Philip réellement bon et bien sur, une reine jouée à la perfection. Du coup, j’attends vraiment la suite ou Dexter est annoncé en tant que Kennedy.

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Dun23 › jeudi 16 février 2017 - 14:08

Fini cette seconde saison de The man in the high castle et je revois mon jugement d'il y a 2 jours: les 2 derniers épisodes sont d'une force incroyable, ce qui est du, encore une fois, aux petits détails parsemés ici et là au fil de cette saison prenant totalement leur sens dans cette fin absolument excellente. Le seul reproche est qu'ils auraient pu condenser ça en 6 épisodes peut être. Encore que, finalement, pas si sur.

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Arno › mardi 21 février 2017 - 21:10

Homeland Saison 6 ... J'avais dit que c'était pas top top. Je revois mon jugement. Il faut absolument aller jusqu'à l'épisode 5. C'est un des plus beaux sacs de nœuds que la série nous a offert jusqu'à présent. La tension !

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saïmone › mercredi 22 février 2017 - 10:59

Legion.

ça commence bien

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kama › jeudi 23 février 2017 - 09:30

Fini Ash Vs Evil Dead saison 2. Toujours aussi cool de suivre Ash, régalade comme on dit chez nous.

Taboo Saison 1. Premier ep cool, mais je n'ai pas réussi a rentrer dans les persos (contrairement au héro, si je puis dire..). Vraiment l'impression que Tom boy s'est écris un role de badass anti héro sur mesure sans aucune subtilité, et surtout, sans aucun 2nd degrès qui va bien chez ce genre de perso (Snake Plysken ou McLane). Bon et l'intrigue l'essoufle pas mal de mon coté.

Bates Motel. Ca se regarde comme un bon ep de Desesperate Housewives. J'en attendais rien du tout, du coups je me suis laissé prendre. Pas la série du siècle et pas mal de trucs irritants, mais le perso de Norman est pas dégueu et y'a certaines bonnes idées.

It's Always Sunny In Philadelphiasaison 12: Toujours plaisant de retrouver Charlie, et c'est la seule série humouristique actuelle avec Curb your Enthousiasm qui arrive a me faire sourire. Dee joue moins les hystéro, c'est pas pour me déplaire. Le pauvre Danny DeVito commence a prendre cher par contre. 72 piges papi, et encore a faire des blagues de sale gosse.