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Vous écoutez quoi là ?

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No background › lundi 21 décembre 2020 - 15:49


Brockhampton - Saturation (2017). Histoire d'essayer un peu de rap moderne. Y a très peu d'autotune, mais les feats chantés sont à chier. En fait, à part le premier morceau, bof bof.

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Klarinetthor › lundi 21 décembre 2020 - 16:08
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du vieux death metal moderne, bref, old school, avec un son bien référencé. Pour autant les riffs, les solos ont l'air bien miam.

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Procrastin › lundi 21 décembre 2020 - 17:00

SATAN - Toutes Ces Horreurs (2020)

Il me plait de plus en plus celui-ci, bien en phase avec l'état d'esprit des textes.

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Dioneo › lundi 21 décembre 2020 - 17:37
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Thin Lizzy - Renegade

Et en fait... Bah il est beaucoup mieux que le souvenir que j'en avais. Vraiment. Genre là je le trouve bien bon. Certes, y'a quelques synthés qui marquent bien leur âge/époque (1981, hein) mais je les trouve bien utilisés, pas kitschos comme ça peut facilement l'être, le hardrock à synthés eighties. Ça reste du solide, ce Lizzy "tardif".

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Dioneo › lundi 21 décembre 2020 - 18:15
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Synthés eighties encore :

Solaris - Marsbéli Krónikák (1984)

Y'en a pour le coup abondamment, de ces claviers-ci, là-dedans - c'est même nettement ce qui domine le son d'ensemble, je dirais. Prog hongrois, à peu près instrumental (les quelques voix sont sans parole, des choeurs, des espèces de rires chelous sur la première plage...). Premier album du groupe, "concept" sur les Chroniques Martiennes de Bradbury.

Eh ben je suis toujours partagé, sur ce disque. Je lui trouve de chouettes passages atmosphériques - et qui ne sont pas des interludes ambient mais bien des compos structurées... mais j'ai toujours du mal, autant, avec certains autres moments, très prog-pompier, sympho-épiques "classicisants" qui tournent facilement klougg. (Après bon... Dans le style, pour les amateurs, c'en est sans aucun doute du bon. Je crois même que le disque est assez "culte" dans les cercles néoprog). Y'a beaucoup de flûte, aussi. Vraiment beaucoup.

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Raven › lundi 21 décembre 2020 - 18:46
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@Dio : oui, le late Lizzy regorge de pépites, tout autant que celui de l'époque "dorée"... en fait après les avoir bien redécouverts et appréciés sur les années (Thin Lizzy est le groupe de hard rock le plus long en oreilles d'entre tous), je dirais maintenant qu'il faut tous les avoir entre Vagabonds et Thunder, lives inclus, et surtout pas se limiter à Jailbreak et Black Rose !...

Sur Renegade "Angel of Death" est une de leurs meilleures chansons épiques ! Et "Hollywood (when your dooown on yout luck)" une de mes chouchoutes perso... Ce qui séduit toujours avec eux - à part son inénarrable loubard métis à belle gueule - c'est cette alliance reconnaissable entre mille de mélodies fleuries et de riff hardos bien secs, et Renegade est pas en reste à ce niveau, il faut le laisser "grower" tranquille. Petite préférence pour Thunder & Ligthning (because Sun goes down / Cold sweat / Baby please don't go) mais ça se joue à un chouia !

Avec le temps j'ai fini par l'aimer autant que Bad Reputation, ce "petit" Renegade.

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Dioneo › lundi 21 décembre 2020 - 18:59
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Ouep, Angel of Death est très très cool. Et on est d'accord sur la mélodie, chez eux - qui fait que c'est presque sournoisement "mieux que du hardrock de base", sans renier du tout que ça en soit, du hardrock... Je réécouterai Johnny the Fox très bientôt, aussi, je pense, et Chinatown et... Bah oui, à peu près tout je pense. (Ça me reprend assez régulièrement, avec eux, même si je ne me suis pas toujours attardé sur cette dernière période du groupe, les autres fois).

Là, une autre sorte de "heavyness" :

Spacemen 3 - Sound of Confusion

Chargé, ouais, toujours autant de réécoute en réécoute. Et m'fout toujours en joie scotchée, le gobasson.

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Raven › lundi 21 décembre 2020 - 19:04
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Johnny the Fox est aussi merveilleux que sa pochette.

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Dioneo › lundi 21 décembre 2020 - 19:31
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Ben justement, en route pour les dorures et le goupil croqué fable-sous-la-lune :

Thin Lizzy - Johnny the Fox

Tout à fait le son dont je me souvenais, pour le coup, celui-là. A savoir : très proche de celui de Jailbreak dont tu causais, Raven. Ce qui n'étonnera pas vu que les deux sont sortis la même année (1976), avec les mêmes gratteux et le même batteur, derrière le Philou. (Et Phil Collins qui apparaît aux percus apparemment - ce détail m'avait jusque là échappé). Sacré bassiste, aussi, le Lynott, et ça s'entend bien, là - toujours juste ce qu'il faut de rondeur et de muscle dans les lignes qu'il roule/balance. (Oui, ça roule, Thin Lizzy, ça groove, ça se contente pas de bastonner teutoniquement, du tout, sous le perf à chaînes).

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No background › mardi 22 décembre 2020 - 13:23


Primitive Man - Caustic (2017). Essai dans un autre registre, sludge doom ils disent. J'y connais pas grand-chose mais la voix lorgne trop vers le death pour moi. C'est sûrement le concept, mais qu'est-ce que c'est long... bref pas pour moi non plus.

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No background › mardi 22 décembre 2020 - 14:16


Oxbow - Thin black duke (2017). Disque assez insaisissable. Comme le dit Saïmone dans sa chronique, certains cuivres débarquent de manière un peu incongrue. C'est suffisant soft pour être écouté tranquillement mais trop étrange pour être confortable. Pas vraiment d'avis pour l'instant, il gagnera à la réécoute très probablement.

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No background › mardi 22 décembre 2020 - 15:30


Open Mike Eagle - Brick body kids still daydream (2017). Conscious hip-hop bien chill. Pour le coup ça passe tout seul ça, rien de révolutionnaire certes, mais très sympa.

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Rendez-Moi2 › mardi 22 décembre 2020 - 16:16

Un basique mais vraiment quelle grosse bulle de basses.

J'ai fait des recherches et je trouve vraiment pas d'aussi bons albums de glitch metal.

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Klarinetthor › mardi 22 décembre 2020 - 17:34
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Excellent le Satan, oui, il faut que je le trouve

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Dioneo › mardi 22 décembre 2020 - 18:06
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Excuse 17 - Excuse Seventeen (1994)

Groupe d'Olympia (la ville de l'état de Washington), avec Carrie Brownstein avant Sleater-Kinney. Lofi, mélodieux, le son bien cru, un sens de l'écriture à la fois directe et joueuse pas loin de Pavement en forme, et un chant très... Faux ! Mais c'est beau de chanter avec une telle assurance, en ratant comme ça la note ! (Je ne sais pas si c'est Brownstein qui assure le chant principal ou l'autre nana, Becca Albee - j'ai l'impression de reconnaître parfois son timbre, à la Carrie, mais dans Sleater-Kinney elle chante juste alors bon... En passant, ladite Becca formait aussi un duo - Heartless Martin - avec l'autre future chanteuse-guitariste de Sleater-Kinney (décidément), Corin Tucker).

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Dioneo › mardi 22 décembre 2020 - 19:32
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Puis tiens du coup :

Heavens to Betsy - Calculated (1994)

Corin Tucker donc, cette fois, elle aussi avant Sleater Kinney. Et elle aussi a l'air là-dedans de prendre souvent la note comme elle peut - même si on reconnaît déjà ses aigus bien caractéristiques, c'es curieux de l'entendre souvent "déraper" comme ça, vu comme elle maîtrisera la puissance, l'amplitude de son chant comme la hauteur, bientôt. Bon, et sinon c'est davantage "grungy", par moments presque rockab', qu'Excuse 17. Avec parfois des accents Babes In Toyland, ouais, voire L7. On va dire que le côté garage fait le lien (avec Excuse, Brownstein, et leur groupe en commun d'après - Sleater, donc, où y'aura aussi Janet Weiss, qui comptera VRAIMENT PAS pour rien dans l'affaire, vu comme son jeu de batterie pourra booster le bidule pas qu'un peu).

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Klarinetthor › mercredi 23 décembre 2020 - 11:54
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Il est pas mal cet opéra de Weber... C'est clair qu'à ce moment là Wagner n'est pas à l'avant garde musicale; il est encore tout jeune certes.

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No background › mercredi 23 décembre 2020 - 14:47


Mourning Dawn - The dead years (2017). Le genre de black doom à écouter quand on se sent vide, bon à rien. J'aime toujours leur son.


Daughters - You won't get what you want (2018). Pour se rebooster avant cette trêve hivernale. Bonnes fêtes de fin d'année à tous.

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Dioneo › mercredi 23 décembre 2020 - 19:51
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Lee Scratch Perry - Upsetter in Dub

Titre bateau et quelques "classiques des productions du gars" dans la liste (War Inna Babylon de Max Romeo, Police & Thieves de Junior Murvin, Solid Foundatino des Congos...) mais au vrai sélection impec' de versions, faces B de l'époque Black Ark. Basses bien lourdes, déformations psyché de l'espace, sens de la boucle obsessive... Premier truc de Perry que j'avais acheté, il me semble. Bonne pioche, somme toute.

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Klarinetthor › mercredi 23 décembre 2020 - 19:53
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Quelle piste finale. Un album en pot-pourri mais finalement réussi.