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Pantera › Reinventing the steel

10 titres - 43:59 min

  • 1/ Hell Bound
  • 2/ Goddamn Electric
  • 3/ Yesterday Don't Mean Shit
  • 4/ You've Got to Belong to It
  • 5/ Revolution Is My Name
  • 6/ Death Rattle
  • 7/ We'll Grind That Axe for a Long Time
  • 8/ Up Lift
  • 9/ It Makes Them Disappear
  • 10/ I'll Cast a Shadow

informations

Enregistré à DWG, Texas, USA, aux Chasin Jason studios

Kerry King (Slayer) apparait sur la fin du titre Goddamn electric pour un solo enregistré dans les backstage du Ozzfest à Dallas, Texas, le 13 Juillet 1999

line up

Phil Anselmo (Chant), Rex Brown (basse), Dimebag Darrell (Guitare), Vinnie Paul (Batterie)

Musiciens additionnels : Kerry King (guitare)

chronique

Il aura fallut attendre trois ans pour voir Pantera nous ressortir un album officiel après le live « 101 proof », et plus de quatre ans après leur dernier album studio « The great southern trendkill », c’est avec une certaine impatience que je me jette dans les bacs pour y acheter ce nouveau né qu’est « Reinventing the steel ». En lisant les dernières interviews du groupe, on aurait dû avoir affaire à une tuerie ultime, reléguant la concurrence à un rôle de seconde zone. Mais la déception fut grande en plaçant le CD dans le lecteur, car dès la première écoute on se retrouve face à un album d’une qualité moyenne, ne parvenant pas à la hauteur de ses prédécesseurs. En effet, l’ensemble semble décousu, les compositions étant pour certaines, mal mises en place, les riffs s’enchaînant les uns après les autres sans véritable logique. De même, Anselmo me semble en plus petite forme qu’auparavant, sa voix pouvant parfois sonner à côté, ou fausse. Malgré tout, Pantera reste Pantera, et parvient à s’en sortir grâce aux titres les plus lourds, à savoir « Goddamn electric » où Kerry King de Slayer fait son apparition pour un solo tout en feeling, et « It makes them disappear » qui dégage une ambiance sombre et malsaine, grâce à des riffs qui semblent ramper plus bas que terre, et une voix d’Anselmo, torturée, et arrachée vive comme on l’aime. Dommage que l’ensemble ne soit pas de ce niveau durant tout l’album, qui se trouve juste au dessus de la moyenne, mais pas plus.

note       Publiée le dimanche 5 mai 2002

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Note moyenne        45 votes

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commentaires

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cantusbestiae Envoyez un message privé àcantusbestiae

C'est vrai que le remix me l'a rendu plus sympathique qu'à sa sortie où j'avais trouvé cet album d'une fadeur extrême. C'est malgré tout le plus faible de la période Anselmo (je ne me prononce pas sur "Power Metal" que je ne connais pas assez). Les morceaux enregistrés sur la même session mais utilisés pour les BO de "Heavy Metal 2" et "Dracula 2000" auraient tout à fait pu se substituer à certains morceaux de l'album vraiment faibles ("you've got to belong to it", "uplift"), en particulier le hit insoupçonné "avoid the light".

Message édité le 17-11-2021 à 14:50 par cantusbestiae

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dimegoat Envoyez un message privé àdimegoat
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Le premier, surtout, est vraiment cool. Celui d'après est un peu plus pataud mais c'est indexé sur le niveau d'intoxication d'Anselmo à cette époque. Sinon, le remix par Terry Date de ce dernier Pantera est hautement recommandable, pour une fois. Il a fallu attendre la mort de Vinnie Paul pour baisser un peu les potards de la batterie...

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Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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j'avais pas fait gaffe qu'on n'avait pas de superjoint ! superglande superdrogue, oui ça s'accorde bien avec celui-ci.

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yog sothoth Envoyez un message privé àyog sothoth  yog sothoth est en ligne !
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En écoute intensive avec les albums de Superjoint ritual (mais-ils-foutent-quoi-les-chroniqueurs-sur-ce-site-?), qui sont une bien meilleure suite au TGST des texans.

Message édité le 15-11-2021 à 20:05 par yog sothoth

born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

Dans la famille Vieux Motard... On les sent... apaisés, tiens : plus rien à prouver, ni rayon brutalité, ni rayon sombritude (pour la partie ex, ils s'en battent les couilles avec la grosse cuiller en bois), du coup ça donne ce machin poppy, primate, lisible, décontracté, en mode total Seth Gueko ; ultra-chimique, et qui procure le même bien-être qu'un Coca XXL (le Jackda c'est pour les poseurs) après un burger, et le rot assorti qui le suit.