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Mercury Rev › All is Dream

  • 2001 • V2 1 CD

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ewins      lundi 26 avril 2010 - 12:02
Klozer      samedi 7 mai 2022 - 23:41
Aladdin_Sane      mardi 21 mai 2013 - 20:48
nicot      mercredi 30 mai 2007 - 21:00
mroctobre      mardi 31 janvier 2006 - 18:06
Jeddy3      lundi 5 mai 2003 - 21:02
Spotted Tail      dimanche 9 juin 2002 - 18:33
GrahamBondSwing      mardi 26 décembre 2023 - 17:27
devin      vendredi 16 février 2007 - 15:00
sergent_BUCK      dimanche 28 août 2005 - 20:31
Nicko      dimanche 5 janvier 2003 - 22:15
Victor      lundi 20 mai 2002 - 11:43
Progmonster      jeudi 16 mai 2002 - 16:13
GinSoakedBoy      dimanche 26 avril 2009 - 20:52
cyprine      samedi 7 novembre 2009 - 12:01

cd • 10 titres • 49:45 min

  • 1The Dark Is Rising
  • 2Tides Of The Moon
  • 3Chains
  • 4Lincoln’s Eyes
  • 5Nite and Fog
  • 6Little Rhymes
  • 7A Drop in Time
  • 8You’re My Queen
  • 9Spiders and Flies
  • 10Hercules

informations

La pochette de l’album a été peinte par une amie du groupe new-yorkais : Jennifer Hathaway.

line up

Jonathan Donahue (chant, guitare accoustique), Dave Fridmann (basse, mellotron), Grasshopper (guitares), Jeff Mercel (batterie, piano)

Musiciens additionnels : Tony Visconti (arrangement orchestre et cordes 3, 7 mellotron & flute 9), Maxine Neuman (viloncelle), Jason Russo (guitare électrique), Marc Guy (cor d'harmonie), Aaron Hurwitz (orgue Hammond), Joel Eckhouse (scie musicale), Rex L. White (pedal steel guitar), Laura Seaton (alto), Martha Mooke (alto), Sarah Adams (alto), Gregor Kitzis (violon), Larry Packer (violon), Amy Helm (choeurs), Bethany Crescini (choeurs), Deb Curley (choeurs), Katie Fox (choeurs), Mary Gavazzi Fridmann (choeurs)

chronique

"All is dream" est sans hésitation, l'album le plus abouti de Mercury Rev ! Il est le digne successeur de "Deserter's songs" malgré une incontestable évolution : les expérimentations psychés sont définitivement rejetées, pour de la pop symphonique pure et dure. Et quel attirail (encore plus surprenant que sur le dernier) , quels moyens ! des chœurs, des flûtes, des violons ,des cuivres ! On ne se fâchera pas du résultat, car ces vagues d'orchestrations offrent une atmosphère vraiment onirique aux chansons.
"The dark is rising" ouvre l'œuvre à la manière d’une BO de film Hollywoodien. Très vite un sobre piano s'impose avant qu'éclate un chœur de sopranos féminins. Le répertoire des compositions couvre une gamme d'ambiances assez large, mais indubitablement romantique. Les atmosphères sont parfois très pesantes et lourdes, parfois très légères. Les mélodies sont nostalgiques, mélancoliques, tristes mais toujours belles. L’ensemble reste mystérieux, voire fantastique (il suffit de regarder le clip de "Nite and fog"). La voix de Jonathan est toujours aussi aiguë, fragile, plaintive, et confère à la musique toute son âme et sa profondeur. On peut dire que Mercury Rev a enfin trouvé son style et son identité, le côté égaré, tâtonnant et irrégulier du dernier album a disparu, les morceaux tiennent la route du début à la fin de l’œuvre.

note       Publiée le dimanche 17 février 2002

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Note moyenne        15 votes

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(N°6) Envoyez un message privé à(N°6)
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A force de viser le ciel, ils ont fini par atteindre le firmament. "The Dark is Rising" est une ouverture tellement inoubliable (utilisé souvent en concert comme fermeture, ça marche tout aussi bien). Le chant de Donahue atteint son summum de mignardise étrange à la Kermit-sous-helium ("Lincoln's Eyes, comme soufflé directement de l'autre côté du miroir), c'est baroque et hallucinatoire, ça pousse au sublime, pop de chambre planquée dans une vieille maison des Catskills, à écouter sous les étoiles exactement.

Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

La Black Session de 2001 présente dans la réédition récente de cet album est fabuleuse.

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Aladdin_Sane Envoyez un message privé àAladdin_Sane

Mais quelle merveille cet album ! Du Mickey Mouse sous acide (ou des lames de rasoirs dans des chamallows si vous préférez).

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cyprine Envoyez un message privé àcyprine

ARG

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nicot Envoyez un message privé ànicot
Cette album est une vraie réussite pour un groupe jusque là pas toujours convainquant même si leur CD précédent Deserter song recèle quelques pépites. Là, Mercury rev commet un album avec une vraie ambiance, prenante, qui ne fait pas trop fabriquée, grâce à des orchestrations vintage et grandiloquentes. On se laisse entrainer, sans se faire violence dès le 1er morceau, et conduire au travers cet album très homogène. Voilà ma foi une musique, avec un fort pouvoir d’évocation, qui a le don de laisser vagabonder l’imagination de ses auditeurs. Un grand regret toutefois que la production et la prise de son soient un peu cheap
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