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Asphyx › The rack
- 1991 • Century media records 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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metalgrave | jeudi 21 juin 2012 - 15:55 | |
SILENIUS | dimanche 24 juin 2007 - 19:22 | |
dimegoat | mercredi 9 novembre 2022 - 08:22 | |
Yog Sothoth | dimanche 13 mars 2011 - 09:52 | |
metaldemort | dimanche 27 décembre 2009 - 15:49 | |
omnio | jeudi 28 février 2008 - 18:56 | |
Møjo | mercredi 11 juillet 2007 - 00:10 | |
B. | lundi 2 octobre 2017 - 11:17 | |
Dead26 | mercredi 31 août 2016 - 23:27 | |
taliesin | mardi 18 décembre 2012 - 16:57 | |
Karamazov | dimanche 10 juin 2012 - 04:04 |
cd • 9 titres
- 1The quest of absurdity
- 2Vermin
- 3Diabolical existence
- 4Evocation
- 5Wasteland of terror
- 6The sickening dwell
- 7Ode to a nameless grave
- 8Pages in blood
- 9The rack
informations
Harrow productions, Hollande, par Harry Wijering.
line up
Bob Bagchus (batterie), Eric Daniels (guitares), Martin van Drunen (basse, chant)
chronique
- death/doom metal
Vous allez dire que je radote mais c'est quand même fou comme avec le temps, des groupes pas forcément super bons en leur temps peuvent devenir cultes dix ans après. Tenez, au hasard, Asphyx ! Après un premier album résoument death/doom, dont la sortie fut avortée, débarque "The rack" en 91, chez century media tout de même. Et là j'en connais du monde qui se paluche sur ce disque. Alors ok, le chant de Drunen est vraiment bon, sorte de dégueulis sans effet, quelque part entre un chuck schuldiner first era et un Varg que vous connaissez bien. Ok, le son fait vraiment old school, et le riffing d'époque est là. Mais franchement, vous le supportez longtemps ce son metal zone qui agresse les oreilles une fois mis au casque ? Vous les supportez ces riffs sans génies particuliers ? Et vous le supportez le jeu de ce batteur très souvent aux avoines ? Certes, je dois sûrement donner l'impression de tirer à boulets rouges sur cet album, mais mes mots sont à la hauteur de ma déception. Asphyx c'est quand même un peu le groupe de death/doom quoi, le groupe qui n'hésite pas à vraiment ralentir le tempo pour se faire lourd et sombre ("Pages in blood"). Seulement, à mon sens la prod' ne prend que moyennement, notamment dans les passages brutaux, dans lesquels les lacunes techniques des musiciens ne font que s'exacerber. Dommage, car ce disque mérite l'écoute. Il s'en dégage tout de même quelque chose de poisseux, pas si éloigné d'un Autopsy, mais dont le "commun" des riffs et le manque de surprises des compos fait perdre pas mal d'intérêt. Un premier album souvent cité comme référence à juste titre par cette approche sanguinolante et ralentie, voire carrément rampante par moment, mais dont la qualité intrinsèque se révèle fort discutable. L'archétype de l' album qui a mal vieilli...
note Publiée le dimanche 24 juin 2007
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- pokemonslaughter › Envoyez un message privé àpokemonslaughter
Pas de comm' depuis 9 ans ? Ah moi je trouve ça normal, je le trouve toujours aussi chiant. (contrairement aux autres)
- yog sothoth › Envoyez un message privé àyog sothoth
La même année que Warmaster et Like an everflowing stream (et tellement d'autres), il n'avait aucune chance :'(
Message édité le 09-11-2022 à 09:49 par yog sothoth
- Note donnée au disque :
- dimegoat › Envoyez un message privé àdimegoat
Pas de commentaires depuis 9 ans et je suis le seul à l'avoir mis dans mon TOP GUT. Pour un disque qui dégobille du riff tannique et du Van Drunenisme tout droit sorti des dents du fond. Non mais c'est pas croyab' ça !
- Note donnée au disque :
- Potters field › Envoyez un message privé àPotters field
moi aussi, je pensais plutot au côté médiatico-exposatoire de la chose. mais pour être honnête (et c'est un truc qui revient souvent dans nos conferences "le death pour les personnes agées", autour d'un bon cognac), à cette époque il y avait tellement d'albums monstrueux qui sortaient que forcement, les trucs à peine moins bien distribués passaient facilement à la trappe. mais quoi qu'il arrive, asphyx poutre, oui.
- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
Ah mais voilà, moi je pensais pas exposition, je pensais poutrance.