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Cemetary › Last confessions
- 1997 • Black mark production BM CD 111 • 1 CD
8 titres - 28:38 min
- 1/ Forever
- 2/ Caress the damned
- 3/ So sad your sorrow
- 4/ 1213/Transcendance
- 5/ Twin reactor
- 6/ Fields of fire
- 7/ One burning night
- 8/ Carbon heart
informations
line up
Mathias Lodmalm (chant, guitare, piano), Anders Iwers (guitare), Thomas Josefson (basse), Markus Nordberg (batterie)
chronique
Ce qu'il y a de bon quand je rentre au bercail, en plus du soleil, c'est de retrouver ma bonne vieille discothèque. Quel bonheur d'admirer ces nombreuses étagères remplies à craquer de cds en tout genres. Certains n'ont pas été mis depuis longtemps, et bien qu'on les connaisse tous bien comme il faut, il arrive qu'on en redécouvre certains que l'on croyait avoir sucé jusqu'à la dernière goutte... Et puis il y a les oubliés, genre ce Cemetary. Une vieille etiquette Cash Converters dessus, un boitier tout pêté. Bizarre ce disque ne me dit rien. Et effectivement il a pas du beaucoup tourner, et je comprend pourquoi. Vous vous souvenez les chroniques expéditives "le Rammstein du pauvre". Et bah ca serait la même chose pour Paradise Lost ici. dire qu'à la base Cemetary donnait dans le death bien nécro... En gros ce disque, déjà c'est un "album" de 28 minutes, contenant 8 titres ultra formaté de metal vaguement sombre. Chant à la Nick holmes, couplet/refrains classqiues, rythmiques up-tempos, quelques passages quand même sympas à la Entombed "Wolverine blues" quand même, une influence new wave assez palpable... Le disque boff quoi. Ca s'écoute mais on se fait vite chier, pas de refrains qui tuent, un "1213 transcendance" horrible avec ses clap de mains, un feeling "cold" que l'on aurait aimé plus poussé, car ici le groupe est à la limite entre quelque chose d'intéressant et la grosse soupe "goth metal" qu'on entend parfois... L'inspiration n'est tout simplement pas là. Trop simple, trop bateau, trop épurée peut-être, "Last confession" n'est donc pas intéressant du tout mais n'est pas asez mauvais pour complètement dégouter du groupe. A noter un dernier morceau vraiment plus sympa et triste, qui semble tiré d'anciennes sessions. C'est toujours ça de gagné, il donne envie de se pencher sur le reste. Tout n'est pas perdu.
note Publiée le dimanche 22 avril 2007
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- dulgb8B › Envoyez un message privé àdulgb8B
Je me souviens d'un album à priori presque tout aussi bon que le (pour moi) très, très bon Sundown. Mais attention il y a une sorte de "suivi" entre les deux, un peu comme si Cemetary avait volontairement cherché à ne pas faire vraiment pareil que Sundown, au moins dans la forme alors que l'esprit musical est toujours aussi fidèle.
Parfaitement fidèle à lui-même Cemetary était un groupe tout à fait singulier qui n'a jamais cherché à faire pareil que les autres ; Paradise Lost y compris, surtout quand on pense au Paradise Lost époque One Second et la très - voir trop - forte emprise de Music For Nations.
Message édité le 10-08-2023 à 12:48 par dulgb8B
- Potters field › Envoyez un message privé àPotters field
re-écouté vite fait, effectivement c'est très très formaté. du HIM avant l'heure, je dirais.
- Potters field › Envoyez un message privé àPotters field
moi qui ne fus jamais un grand fan de paradise lost, ben j'avais pas trouvé desagreable ce disque. bon, j'avoue, quand je l'ai découvert je venais de me faire plaquer, ce qui explique que je n'etais pas tout à fait moi-même.
- gab › Envoyez un message privé àgab
- Ils avaient pas mal de succés dans la presse à l'époque... (lol)
- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
- Pas un grand souvenir de ce disque, ni de Sundown, le groupe qu'a ensuite monté Lodmalm et qui m'avait furieusement ennuyé en première partie de Paradise Lost en 1997.