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Scald › Vermiculatus

  • 2006 • Code666 CODE029 • 1 CD

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Membre Note Date
Yog Sothoth      jeudi 18 janvier 2007 - 21:37
devin      jeudi 18 janvier 2007 - 22:42

1 titres - 47:28 min

  • 1/ Vermiculatus

informations

line up

Peter Dempsey (Basse), Paul McCarroll (Batterie), Michael Tierney (Guitare), Glyn Smyth (Synthés)

chronique

« Progressive sludge grinding doom ». Forcement, présenté comme ça, ça aurait presque de la gueule Scald (ne pas confondre avec l’homonyme russe, ce Scald là est irlandais), ça donnerait même envie de s'y pencher. "One instrumental track, 47 minutes"... Bon ok, c'est parti. Une écoute... deux écoutes... vingt écoutes (le promo traine sur mon étagère depuis une éternité). Et voilà qu'aujourd'hui, 18 Janvier 2007, je ne sais toujours pas quoi dire d'intéressant de ce disque. La musique de Scald se présente globalement comme une espèce de zapping barré de tout ce qui marche à ce moment. On peut oublier le "Sludge grinding Doom", le son ici n'est ni gras, ni crade, et se rapproche bien plus de dissonances et de structures Post rock adaptées à un son limite Meshuggesque, ultra sec et rentre dedans. Une cassure rythmique… 3 mesures… un break planant… un petit coup de pilonnage pour la forme… un trip psyché zarb… *Je me fais chier*… *Ah non, tiens là c’est sympa*… *pfiou ce partage en vrille !*. Vermiculatus se traine pendant ses 25 premières minutes, (volontairement ?) hermétique, (un peu) glauque et (surtout) complètement barré. Quitte à coller une étiquette, je me serai plutôt lancé sur du « Free Progressive Power Metal », mais bon, ça sonnait moins dans le vent. Passé ce cap, le disque bascule progressivement vers une espèce d’Ambient industriel parfaitement creux et insignifiant, à base de bruitages lointains vaguement trafiqués, dont le seul résultat est d’accréditer la théorie selon laquelle le début du disque tiendrait plus de la fumisterie pseudo conceptuelle que d’une véritable démarche artistique « Progressive ». On se retrouve donc avec un album en demi-teinte, qui, de plus, n’ouvre pas vraiment de perspectives pour le groupe, l’effet de ce genre de délire étant en général assez limité dans le temps.

note       Publiée le jeudi 18 janvier 2007

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    Note moyenne        2 votes

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    commentaires

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    juj Envoyez un message privé àjuj
    le tiret est en trop
    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    Come-back.
    Møjo Envoyez un message privé àMøjo
    (soit dit entre-nous, je trouve que l'avis général de ta chronique s'appliquerait également très bien à l'homonyme russe.. comme quoi, pas besoin de se faire chier à se poser la question, en cas de doute chez son disquaire :)
    devin Envoyez un message privé àdevin
    Album en demi-teinte en effet, Scald reste quand même unique et n'a pas de prétentions demesurées (pour croiser frequemment leur batteur je vous le certifie) et ça c'est à saluer. C'est clair que c'est un trip malheuresement "Vermiculatus" devient assez vite barbant. Le précédent a de meilleurs atouts même si il a aussi pas mal de défauts handicapants.
    Note donnée au disque :       
    Powaviolenza Envoyez un message privé àPowaviolenza
    avatar
    Ca a l'air chouette, je vais tester !