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His Hero Is Gone › Fifteen counts of arson

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Membre Note Date
Hallu      mercredi 12 août 2015 - 14:48
empreznor      vendredi 27 mars 2009 - 00:17
Oldboy      lundi 9 avril 2007 - 00:55
RedFlageolet      mardi 21 février 2006 - 11:26
uncut      vendredi 16 avril 2004 - 19:16
Møjo      lundi 21 avril 2003 - 00:19
taliesin      mardi 27 novembre 2012 - 21:45
vargounet      samedi 24 décembre 2011 - 19:13
EyeLovya      jeudi 8 décembre 2016 - 10:51

24 titres - 35:57 min

  • 1/ Professional Mindfuckers 2:07 - 2/ ... And We Burn 0:53 - 3/ Unleash 0:24 - 4/ 'Leash 1:54 - 5/ Sterile Fortress 1:44 - 6/ Good Samaritan 0:29 - 7/ Hand That Feeds 0:21 - 8/ Raindance 2:42 - 9/ Vountary Amputation 0:52 - 10/ Anthem of the Undesirables 0:58 - 11/ Scalor 1:54 - 12/ Concret Cage 0:37 - 13/ Abandoned 1:25 - 14/ Thieves 1:30 - 15/ End Result of 11 Days in the Mental Hospital 4:42 - 16/ Epidemic 2:33 - 17/ Headcount 0:52 - 18/ T-Minus Zero 0:29 - 19/ Unvisited Grave 1:09 - 20/ Internally Bleeding 1:34 - 21/ Richter 0:46 - 22/ Marry and Reproduce 1:49 - 23/ End Result of 11 Months in Prison 1:11 - 24/ Skinfeast 2:19

informations

line up

Todd Burdette (vocals, guitar) - Paul Burdette (drums) - Carl Auge (bass, vocals) - Yannick Lorrain (guitar)

chronique

His Hero is Gone officie dans un hard/grind core qu'on pourrait vaguement ranger entre les premières productions Neurosis (vaguement hein). Leur musique allie la puissance suicidaire d'un doom, aidée par une basse ultra lourde et très mise en avant (pour du grind entendons nous bien), à une mélancolie que je n'ai jusqu'à présent retrouvée que sur un bon vieux My Dying Bride, c'est dire. La voix est hurlée, et est assez proche de celle de Burton C. Bell (Fear Factory), mais ne cherche pas vraiment à exprimer de la violence, plutôt de la révolte. Les compos sont minimalistes, ne cherchez pas ici 35 riffs différents par morceau et des changements de structures toutes les dix secondes, on a effectivement plus affaire à du hardcore qu'à du grind. Résultat : 24 morceaux courts, violents, révoltants, noirs, mais surtout, excellents. A ma connaissance un premier album (la disco de HHIG restant assez bordélique et obscure) très réussi, talent qui se confirmera avec "Monuments to thieves".

note       Publiée le mardi 29 janvier 2002

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vargounet Envoyez un message privé àvargounet

Très bon, un soupçon moins noir et urbain que le monument des voleurs mais du coup plus instantané et catchy ce qui n'est pas pour me déplaire. Le seul souci comparé au suivant c'est le manque relatif d'originalité. Une très bonne formation anyway.

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empreznor Envoyez un message privé àempreznor

poutre

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Oldboy Envoyez un message privé àOldboy
Ohh sympa que cet album soit chroniqué, ca change un peu tien :) [sauf qu on apelle ca du crust non ? ]
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RedFlageolet Envoyez un message privé àRedFlageolet
Un album qui augure du meilleur ! Je le trouve juste un peu moins digeste que Monuments To Thieves...
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