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Big Black › Songs about fucking

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kama      vendredi 1 mars 2024 - 16:55
Ultimex      jeudi 12 mai 2022 - 22:53
Seijitsu      vendredi 25 mai 2012 - 22:24
Maldoror      lundi 24 décembre 2007 - 22:30
juj      mercredi 6 décembre 2006 - 08:10
Karamazov      jeudi 18 juin 2020 - 19:32
Dead26      vendredi 15 juillet 2016 - 12:42
TribalCrow      dimanche 10 juin 2012 - 16:59
Abricot      lundi 11 juin 2007 - 18:49
cyberghost      mercredi 6 décembre 2006 - 10:15
Shelleyan      mercredi 6 décembre 2006 - 00:07
Raven      lundi 12 juillet 2010 - 10:44
crygor      dimanche 11 mai 2008 - 17:09
Macbeth      samedi 3 mars 2007 - 23:01
cantusbestiae      vendredi 16 février 2007 - 14:00
ribosome      jeudi 7 décembre 2006 - 00:09
Progmonster      mercredi 6 décembre 2006 - 08:23
Marco      mercredi 6 décembre 2006 - 00:58

cd • 14 titres

  • 1The power of independent trucking
  • 2The model [reprise de Kraftwerk]
  • 3Bad penny
  • 4L dopa
  • 5Precious thing
  • 6Colombian necktie
  • 7Kitty empire
  • 8Ergot
  • 9Kasimir S.Pulaski day
  • 10Fish fry
  • 11Pavement saw
  • 12Tiny, king of the Jews
  • 13Bombastic intro
  • 14He's a whore

informations

line up

Steve Albini (chant, guitare), Dave Riley (David Michael Riley) (basse), Melvin Belli (guitare, chant)

chronique

Big Black, c'est un son, une pulsion, une forme de sexe extrême pour faux nerds à lunettes et baskets All Star...une boîte à rythme identifiable, une basse lourdingue mais encore et surtout un son de guitare sifflant, presque métallique, limite saturé qui pourrait presque donner l'idée de sonner faux...En réalité, ce son est compact, cohérent, et forge l'identité du groupe, coincé qu'il est, sans trancher, entre post punk, noiserock et punk tout court, entre les compos les plus violentes de Alien sex fiend ('Precious thing', 'Tiny, king of the Jews') et certaines formations de chez Alternative Tentacles. Les mélodies sont simples mais tranchantes, les vocaux rageurs mais jamais simplement hurlés, les tempi sont énergiques mais les Big Black n'hésitent pas à nous réserver quelques surprises comme leur bonne reprise, façon saturée, du 'The Model' de Kraftwerk. D'ailleurs, des bons morceaux, 'Songs about fucking' en regorge: 'Kitty empire', 'Colombian necktie', 'He's a whore', 'Tiny, king of the Jews'...et j'en passe. Avant de conclure, il me paraît important de signaler un dernier mais non moins important aspect de la philosophie du groupe: sa production. Nos lascars ne s'en cachent pas et l'affirment sur chaque disque, le digital, c'est le mal, longue vie à l'analogique ! Il est vrai qu'à l'écoute de leur son compact, un brin grailleux, on se dit que le son Big Black avec une production trop léchée y perdrait une bonne partie de son âme et de son jus...

note       Publiée le mercredi 6 décembre 2006

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    (N°6) Envoyez un message privé à(N°6)
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    Et c'est encore meilleurs avec les paroles.

    Reflection Envoyez un message privé àReflection

    Vous avez essayé avec "Rapeman › Two Nuns And A Pack Mule" ? c'est la même mais avec plus de barbelés...

    Seijitsu Envoyez un message privé àSeijitsu

    Ah non, dans le genre musique noisy pour la couette, je préfère Psychocandy ou un bon vieux classique shoegaze. Cela n'empêche pas ce Big Black d'être géant.

    Note donnée au disque :       
    stankey Envoyez un message privé àstankey

    Je crois que ça fait ça chez tous les gutsiens, y a toujours un moment ou ça grince...^^

    (N°6) Envoyez un message privé à(N°6)
    avatar

    Lui peut-être, mais sa copine c'est moins sûr. Je viens de me la mettre (la galette), et bien je prends cher.