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Klaus Schulze › Ballet 1
- 2006 • Revisited Records SPV 305282 CD - REV 062 • 1 CD digipack
détail des votes
Membre | Note | Date |
---|---|---|
AlainTernet | jeudi 4 novembre 2010 - 15:38 | |
snooky | samedi 7 novembre 2009 - 18:55 | |
jolifuligule | mercredi 31 janvier 2007 - 22:32 | |
Solvant | samedi 7 novembre 2009 - 20:19 | |
gkar02300 | mercredi 29 août 2007 - 21:15 | |
dakota | mardi 8 mai 2007 - 19:55 | |
Parabole | mercredi 23 mars 2011 - 16:45 | |
Phaedream | dimanche 15 octobre 2006 - 20:38 |
3 titres - 76:45 min
- 1 Getting Near 10:43
- 2 Slightly Touched 29:32
- 3 Agony 35:30
informations
line up
Klaus Schulze (claviers, synthétiseurs, percussions et effets), Wolfgang Tiepold : Violoncelle
chronique
- musique Électronique
Initialement paru sur étiquette Rainhorse, dans le coffret Contemporay Works, Ballet 1 est le 3ième cd à être ré éditer, avec un remastering, sur étiquette SPV de ce célèbre coffret qui n’est plus disponible depuis fort longtemps.
Qui dit Wolfgang Tiepold, dit échange d’accords entre synthé un violoncelle et c’est purement dans cet esprit que débute Getting Near. Un titre dont le ballant rythmique tient sur le jeu synchronisé de Tieplod et des strates symphoniques de Schulze. Un titre dans la plus pure des traditionnelles collaborations entre ses deux amis. Slightly Touched démarre avec un cello pleureur, larmoyant sur un synthé mellotronné aux émotions mélancoliques. Graduellement, le tempo prend un peu plus de profondeur, mais reste inlassablement soumis à la tristesse et nostalgie du délire de Tiepold. Un bon titre, qui s’étire un peu trop. Agony est aussi affaire de Wolfgang Tiepold. C’est une longue complainte de violoncelle sur un synthé obscur qui se cache derrière les lamentations de Tiepold. Un long titre que je trouve particulièrement ennuyant.
Ballet 1 démontre l’attachement que Schulze a pour le classique et la musique de chambre. C’est une œuvre pour violoncelle solitaire et nostalgique.
Ceux qui recherchent les longues envolées synthétiques du maître ou encore une œuvre classico-progressif seront peut-être déçus. Selon moi, Schulze a voulu mettre son copain Wolfgang Tiepold en évidence, et ce dernier le lui rend bien. Car au-delà de notre déception face à nos attentes, le violoncelliste laboure ses cordes avec dextérité sur un Klaus Schulze assez effacé.
note Publiée le dimanche 15 octobre 2006
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé àWotzenknecht
Je ne comprends pas ton désamour ici, Phaedream, mais j'imagine que c'est encore affaire de subjectivité. Pour moi 'Getting Near' est une merveille, parfait pour commencer la journée ! Les cinq-six heures de Ballett I-IV sont un sacré monument à la mélancolie, mais ce n'est pas comme si les oeuvres de Schulze baignent dans la lumière pour commencer.
- AlainTernet › Envoyez un message privé àAlainTernet
On peut bien reprocher aux albums de la série Ballett leur mélancolie - qui n'est d'ailleurs pas un défaut en soi - ou le fait que KS se soit éloigné de certains schémas qui plaisent beaucoup à une franche importante de ses admirateurs, il n'en reste pas moins que, à mes oreilles, j'y entends là quelques-unes des plus belles pages de musique - électronique ou non - de ce siècle naissant. Intense et brillant.
- Note donnée au disque :
- Solvant › Envoyez un message privé àSolvant
snooky, je suis complètement d'accord avec toi. D'ailleurs, si un coffret Ballett sort, je serais content de régulariser mes copies.
- Note donnée au disque :
- snooky › Envoyez un message privé àsnooky
Autant vous le dire tout de suite, j'ai beaucoup aimé la série des Ballett.Composé en hommage à Mme Schulze( la maman de Klaus dcd en 1998)et qui fut ballerine de son état, la musique s'y veut très intimiste et non dénué d'émotions.Pour ce volume1,la part belle est faite à Wolfgang Tiepold, violoncelliste et ami de Klaus.Getting Near est classique, échange presque sans surprise entre les deux protagonistes.Avec Slighty touched,les choses s'accélèrent.Wolfgang Tiepold balancent ses arpèges(excellentissimes au demeurant) et Klaus scande le rythme comme un chef d'orchestre surveille ses troupes.Agony est certainement le morceau de bravoure de cet album.Lent, mélancolique et très nostalgique(voire tristounet),Tiepold y déploie tout son talent et l'émotion y est palpable.Musique très belle dans le sens propre du terme et qui pourrait(devrait) s'écouter dans la plus stricte intimité.Au hasard d'un débat houleux, orchestré par l'infâme Sharkan( j'ai pas peur des mots), j"avais dit, en forme de boutade que la série des Ballett était la musique de chambre de KS.Avec le recul, je me demande... Très, très beau disque...
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- jolifuligule › Envoyez un message privé àjolifuligule
- Pour ma part, je suis tombé "en amour" avec le morceau Agony de cet opus.. OK d'accord, KS est effacé mais ça reste très beau à écouter avec juste une petite bougie lampion comme éclairage.
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