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Syn › The Glass Bridge

  • 2006 • SynGate CD-R 2094 • 1 CD

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Membre Note Date
Phaedream      mercredi 11 octobre 2006 - 00:49

3 titres - 74:26 min

  • 1 Glass Bridge Parts I
  • III 23:58
  • 2 Shadowfall 30:30
  • 3 Heart Of Orion Parts I
  • IV 19:58

informations

line up

David T. Dewdney : Keyboards, synthétiseurs & FX

chronique

  • musique Électronique berlin school

Syn c’est le synthésiste Anglais David T. Dewdney. En 2002, il avait impressionné avec la parution de son premier opus Soundwave Traveller, classé 5ième meilleur titre de l’année. Lors d’une entrevue, il mentionnait posséder plus de 70 heures d’enregistrement. Glass Bridge fait donc partie de cette gigantesque banque musicale qui repose dans les intrants de sa créativité.
Après une intro très flottante, où les strates synthétiques se multiplient en douceur sur de frugales complaintes, Glass Bridge Parts I-III s’anime vers la 8ième minute avec un séquenceur bouclé qui rappelle étrangement le dialecte analogue de Jean Michel Jarre sur Equinox. Vrillant le rythme progresse sur de belles couches synthétiques mellotronnées, des percussions atmosphériques et un synthé soufflant des accords synthétiques soyeux et aigus, dans le même moule que Jean Michel Jarre sur Magnetic Fields.
Shadowfall est un long titre flottant et très atmosphérique. Un croisement entre Meddle de Pink Floyd et Music for Airports de Brian Eno. Long, flottant et très ombrageux.
Heart of Orion est un long tiraillement entre les atmosphères denses et des éclats musicaux qui surgissent ici et là, sans vraiment prendre de forme.
Glass Bridge de Syn est un opus bien personnel. Le genre de création qui en dit long sur le caractère d’un artiste… Syn a fait de grandes choses, notamment au tout début. Pour une raison que j’ignore, le personnage est devenu plus gros que ses fans, que la musique elle-même. C’est un opus aux atmosphères inachevées. Un titre qui aurait dû rester dans les la banque de Mr Dewdney. C’est en plein le genre de production que fait les délices des journalistes, et chroniqueurs, qui voudrait tomber à bras raccourci sur la MÉ pour décrier que c’est de la masturbation culturelle. De l’art abstrait. Je n’aime pas le négativisme, mais avec Glass Bridge, Syn sert du réchauffé qui a déjà garni, amplement et avec plus d’originalité, d’autres tables.

note       Publiée le mercredi 11 octobre 2006

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