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The Gun Club › Miami

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Klarinetthor      dimanche 5 novembre 2017 - 03:05
baz      lundi 17 décembre 2007 - 14:17

cd • 12 titres

  • 1Carry home
  • 2Like calling up thunder
  • 3Brother and sister
  • 4Run through the jungle
  • 5A devil in the woods
  • 6Texas serenade
  • 7Watermelon man
  • 8Bad indian
  • 9John Hardy
  • 10The fire of love
  • 11Sleeping in blood city
  • 12Mother of earth

informations

Blank Tape Studios, USA, juin 1982

line up

Ward Dotson (guitare), Terry Graham (batterie), Jeffrey Lee Pierce (chant, piano, guitare, choeurs), Rob Ritter (basse), D.H.Laurence Jr. (choeurs), Walter Sending (violon)

chronique

  • post punk blues rock écorché

Selon moi, 'Miami' est la continuation et l'aboutissement de la démarche amorcée avec 'Fire of love' pour un Gun Club qui a su conserver son aspect torturé, ses influences blues tout en perfectionnant encore la mélodie au milieu des attaques post punk. Difficile de faire mieux pourtant, 'Fire of love' regorgeait déjà de tubes et de maîtrise...D'ailleurs, en écoutant les excellents 'A devil in the woods','John Hardy','Bad Indian' ou 'Sleeping in blood city' pas si éloignés d'un garage à la Cramps, ce sont bien des climats similiaires que l'on retrouve. C'est vrai et il y a de quoi se délécter tant c'est bon (tonnerre, cette adaptation pêchue de 'John Hardy' !). Pourtant, 'Miami' propose aussi une ou deux nouveautés, notamment une incursion dans la chaleur vénéneuse texane ou mexicaine comme on peut la ressentir dans un jeu de percussions plus ethnique sur l'excellent 'Watermelon man', ou encore des envolées lyriques comme sur 'Brother and sister'. C'est pourtant toujours la moiteure malsaine des Bayous et la tristesse du blues qui prédominent comme en témoignent 'The fire of love' ou l'imparable mélancolie slidée de 'Mother of earth'. En Jim Morrison vaudou, Jeffrey Lee Pierce excelle oscillant entre rage passionnée et envolées plaintives à la Jeff Buckely, sans oublier des touches de sensualité bluesy blanches (particulièrement notables sur 'Mother of earth', 'Carry home', sans parler du splendide 'Run through the jungle'). Qu'est ce qui me fait donc préférer d'un poil 'Miami' ? A un tel degré, c'est difficile à dire...un feeling légèrement plus profond ?

note       Publiée le lundi 18 septembre 2006

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Note moyenne        21 votes

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Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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Et Cantat chante la reprise de the fire spirit avec 16 horsepower et elle est pas mal cette chanson!

ProgPsychIndus Envoyez un message privé àProgPsychIndus

bah voila , bon je n'ai jamais été plus loin que tostaky :)

Note donnée au disque :       
nicola Envoyez un message privé ànicola

Ce n’est pas pour rien qu’un morceau de Noir désir s’appelle Song for JLP (la dernière de 666.667 Club).

ProgPsychIndus Envoyez un message privé àProgPsychIndus

je redécouvre ce disque avec un plaisir intense , il me rappelle par moment le Noir Désir des débuts.

Message édité le 05-07-2022 à 16:41 par ProgPsychIndus

Note donnée au disque :       
Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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Le seul que j'ai écouté avec Fire of Love, et de manière intensive. Découvert ce groupe grâce à une reprise de Mark Lanegan puis un concert de Kid Congo à Lyon il y a presque 10 ans de ça (?).