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Life Of Agony › Ugly

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born to gulo      lundi 12 décembre 2022 - 10:18
Raven      samedi 13 février 2016 - 20:21
Rendez-Moi      jeudi 30 décembre 2010 - 17:04
Saïmone      vendredi 24 juin 2022 - 10:06
Klozer      lundi 30 novembre 2020 - 23:58
fc      samedi 17 mars 2012 - 16:01
The Gloth      jeudi 20 août 2009 - 16:38
squarepusher      mercredi 17 octobre 2007 - 15:24
lemmytron      vendredi 10 août 2007 - 00:58
tom      jeudi 14 septembre 2006 - 11:33
guyl      dimanche 23 juillet 2006 - 19:54
edenbeast      lundi 24 juillet 2006 - 05:16

12 titres - 53:08 min

  • 1. Seasons
  • 2. I Regret
  • 3. Lost At 22
  • 4. Other Side Of The River
  • 5. Let's Pretend
  • 6. Ugly
  • 7. Drained
  • 8. How It Would Be
  • 9. Unstable
  • 10. Damned If I Do
  • 11. Fears
  • 12. Don't You (Forget About Me)

informations

line up

Keith Caputo (voix), Dan Richardson (batterie), Alan Robert (basse), Joey Z (guitare)

chronique

A force de parler de LOA avec nos amis (enfin, pas tous) internautes, je me suis dit qu'il était enfin temps de s'attaquer au reste de la discographie de ces désormais médiocre agonisants. Mais avant la honte, il y a "Ugly" - et l'ironie du sort fera que l'ignoble ex-futur remplaçant de Caputo provient de l'immonde Ugly Kid Joe, responsable de l'insupportable "Everything About You"; mais passons. "Ugly" donc, sans doute le dernier - déjà ? - album écoutable de LOA. On avait eu la claque grungy-hardcore-metal de Rivers Runs Red, un sommet de plombier lyrique porté par la voix incomparable de Caputo; on a là un album de metal alternatif clairement plus soft, plus mélodique et accessible. Aux oubliettes les riffs moshisants, les choeurs tough guy et les gueulantes chialées jusqu'à plus de larmes. Ici, on bouffe Alice in Chains, on désaipaissit le son, faut qu'ça glisse comme dirait l'autre; et entre nous, ça manque singulièrement de puissance. Pourtant, ça fonctionne. Faut dire qu'il y a "let's pretend", le titre à se repasser 500 fois dans la journée pour être sûr qu'on a pas loupé ce final diabolique à filer la chaire de poule même à Trimalcion. Et puis, il y a le titre éponyme, qui fait penser à du Soundgarden, casquette à l'envers vissée sur la tête, baskets montante et palm mute / solo en son clair en plein milieu. Complètement cliché mais ultra efficace. Il en sera ainsi pendant une cinquantaine de minutes. Et c'est bien ça qui est terrifiant: j'ai envie de ne pas aimer ce disque, car il ne rivalise en aucun cas avec ce premier opus du feu de Dieu. Mais je n'y arrive pas, je succombe aux riffs made in Robert - toujours les mêmes en plus ! - à la voix de "magick" Keith (le plus grand chanteur metal des early 90's ?) et cette ambiance qui réveille les plus belles heures de ma jeunesse - mon adolescence en l'occurence, les boutons, les baskets, l'appareil dentaire, les gros seins des filles qui ont redoublé 2 ou 3 fois, le jean délavé à la javel et déchiré aux genoux... Toute une époque dans ce disque !

note       Publiée le dimanche 23 juillet 2006

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Note moyenne        12 votes

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born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

Tellement le papa du Hangman's Chair d'après HDR, ce disque...

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Cinabre Envoyez un message privé àCinabre
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En effet... je vais aller écouter ça tout de suite, l'ami!

saïmone Envoyez un message privé àsaïmone
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"Sometimes I like to pretend, that she knows me" ça cogne toujours aussi fort, cette phrase

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Raven Envoyez un message privé àRaven
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Putain, cet album bordel! LOST AT 22 BORDEL.

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Rendez-Moi Envoyez un message privé àRendez-Moi

Ce machin là on en parle vraiment pas assez malgré sa prod' un peu dégonflée, il est beau, triste et mélancolique avec LA tuerie que tous les skateurs déprimés voudraient faire : "How It Would Be".

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