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Die Form › L' âme électrique

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Membre Note Date
novy_9      dimanche 9 décembre 2012 - 18:24
Tallis      jeudi 4 mai 2006 - 20:47
Richard      jeudi 24 mars 2022 - 22:36
amaterasu      dimanche 20 septembre 2009 - 12:44
Wotzenknecht      vendredi 10 avril 2009 - 20:39
Melodark_2_Netlog      lundi 28 juillet 2008 - 11:41
cimetiere      lundi 26 juin 2006 - 20:57
taliesin      vendredi 5 mai 2006 - 19:29
Dead26      samedi 21 août 2021 - 20:09

cd • 12 titres

  • 1Martyrium 2 (Memorial to Hiroshima)
  • 2Phenomena of visitation
  • 3Rosa aeterna (to Robert Desnos)
  • 4La somnambule
  • 5The hate
  • 6Le rêve 2
  • 7Martyrium 1 (the lovers)
  • 8La machine moderne
  • 9Le rêve 1
  • 10Luminary (l'âme électrique)
  • 11Hallucigenia
  • 12Unreal cinema 1

informations

Red Light Laboratory, France

line up

Philippe Fichot (musique, voix), Eliane P.(chant)

chronique

La quête de la beauté ne cesse de s'affiner chez Die Form. Bien calé dans la formule du duo: Eliane au chant et Philippe aux machines, le groupe explore à fond les possibilités de cette configuration. C'est la première impression qui me vient à l'écoute de 'L'âme électrique', il ne s'agit pas de faire de nouveau mais bien de fouiller toujours davantage les moindres recoins d'un univers qui, aussi étouffant et claustrophobe qu'il puisse paraître, n'en demeure pas moins ouvert à la progression. Sans pour autant délaisser ses habillages cliniques, la musique de Die Form laisse peu à peu la touche humaine infiltrer ses rouages, ce qui se traduit, paradoxalement par une noirceur encore plus prenante et beaucoup de mélancolie qui mettent en valeur le chant de Eliane. Les sons se font plus crépusculaires ('Rosa Aeterna', 'La somnambule'), intimistes (' Martryium'), moins robotiques (même la voix de Philippe est modifiée de manière différente)...Oui, il y a bien une âme au coeur de la machinerie, une âme angoissée qui souffre et qui a mal mais qui, au milieu des nappes sombres et des entrailles électriques mises à nu, cherche encore une lueur. Si 'Suspiria de Profundis' était déjà un album magnifique, celui-ci va encore plus loin dans la beauté en tournant quelque peu le dos aux ambiances dansantes pour perfectionner la mélancolie des climats, affiner la texture des arrangements, les dépouiller pour ne garder que l'essentiel...l'âme !

note       Publiée le jeudi 4 mai 2006

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Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
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Ah La Somnanbule, ah Luminary, à l'opposé du Die Form claustro de Extremum ; celui-ci est une porte ouverte, un appel délétère

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born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo
un des rares que je connaissais pas ; spectral, on dirait presque du cmi de la grande époque
Solvant Envoyez un message privé àSolvant
"Duality" (1997) m'avait bien plu aussi, "Extremum" est suffocant à souhait ...
Tallis Envoyez un message privé àTallis
Et l'artwork est magnifique, comme d'habitude chez Die Form.
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Tallis Envoyez un message privé àTallis
Entièrement d'accord avec la chronique. Mon album préféré avec "Extremum" et le dyptique "In human/Ex human". L'alliance et le contraste entre la voix d'Eliane (une des plus belles que je connaisse) et les machines de Philippe Fichot produisent des merveilles...
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